Dépôt d'une signature

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Chapitre 2 : Dépôt d'une signature.

Harry s'appuya contre la porte du vieux bâtiment qu'il avait trouvé quelque jours auparavant. Il lui a fallu tout d'abord, attendre d'obtenir un téléphone et, d'autre part, entrer en contact avec l'agent qui vendait le bâtiment et planifier un rendez-vous.

Déjà, il attendait depuis près d'un quart d'heure, mais il n'était pas trop inquiet à ce sujet, parce qu'il était arrivé tôt après tout. Parfois, une personne qui se promenait le regardait, mais les New-Yorkais, comme il l'avait remarqué/découvert, avaient tendance à s'occuper de leurs propres affaires, mettant rarement leur nez où il ne devrait pas. En effet,Il en avait eu une expérience de premier choix veille. Il avait exploré plus de la ville depuis qu'il avait atterri quand il avait remarqué un mouvement sur une allée alors qu'il passait.

En y jetant un coup d'œil, il remarqua un groupe de quatre hommes battant un cinquième homme. À en juger par les gémissements qui sortent de l'allée, sans parler des bruits sourds qui ont accompagné les gémissements, ça a duré un certain temps et personne n'a osé intervenir. Ignorer quelque chose comme ça n'était tout simplement pas dans l'ADN de Harry. Il détestait les intimidateurs, depuis que son cousin Dudley et ses amis harceler Harry quand ils étaient plus jeunes. Et le fait que, à l'époque, le vieux Tom Riddle et son joyeux groupe n'étaient rien d'autre que des intimidateurs voués à battre des personnes différentes d'elles-mêmes. Ce qui était un facteur important dans la mesure où grâce à Harry ils n'avaient pas réussi.

Harry venait de faire son premier pas dans l'allée pour l'aider, un mouvement de sa main détachant sa baguette de son étui caché au cas où il lui serait nécessaire, quand il sentit une main sur son épaule.

"Nous allons nous en occuper/Nous nous en occupons," a déclaré un grand officier de police alors que lui et son partenaire, des matraques à la main, l'ont dépassé.

Harry hocha la tête, s'arrêtant là où il était. En quelques minutes, les quatre voyous furent arrêtés et l'homme a terre pris en charge. Voyant cela, Harry continua, content de savoir qu'il y avait d'autres qui pouvaient faire le bon choix.

"Monsieur Potter ?" Demanda une voix en le tirant de sa réminiscence.

"Oui," dit-il en se redressant de sa position.

"Je suis Amelia Larson," déclara la femme.

Harry sourit, reconnaissant le nom de l'agent immobilier qu'il avait parlé contacter. Elle semblait plus âgée qu'au téléphone, peut-être à la fin de la quarantaine ou au début de la cinquantaine. Ses cheveux bruns foncés étaient coupés dans un bob qui encadrer son visage ovale. Des minces lunettes en argent mettaient en valeur ses yeux bruns. Et, comme chez la plupart des professionnels de la ville, Amelia portait une jupe bleu marine et une veste avec une chemise boutonnée blanche. Un foulard bleu foncé avec de minuscules points blancs complétait sa tenue.

"Je comprends que vous êtes intéressé à visiter ce bâtiment ?" Demanda Amélie.

"Je le suis," confirma Harry.

"Je suis désolé, mais je dois simplement demander. Êtes-vous sûr, monsieur Potter ? C'est seulement que ce bâtiment a connu de meilleures années, voir vu de meilleures décennies et si c'est un appartement que vous recherchez, alors j'ai en quelques douzaines dont vous pourriez être intéressé ou si c'est un magasin que vous recherchez , alors je connais trois des quatre qui pourraient vous convenir mieux. Et tout à un bien meilleur prix."

Harry cligna des yeux vers la femme. Il était sûr que les agents immobiliers n'étaient pas censés vous échanger contre l'achat d'une place qui vous intéresse.

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