-chapitre 24- J'espère que tu vas bien souffrir

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Kévin avait un air dégouté. Je posa l'ongle que j'avais arraché dans une petite boite. Je m'approcha de nouveau de lui avec un sourir diabolique. Je me mit à lui arracher ses ongles un par un et très doucement, je déposa ensuite les ongles dans la même petite boite. Kévin hurlait fort, très fort. Je ferma cette boite avec un couvercle et pris une étiquette autocollante, j'écrivit dessus "ongles des doigts" et la colla dur la petite boite. Puis, je décala cette boite et je prit une autre petite boite, que j'ouvrit. "Je vais enlever tes chaussures, j'espère que ça ne te dérange pas." Dis je en me dirigeant vers ses pieds. "-Si ça me dérange." Me fit-il, se calmant. D'une voix sec je lui dit "-Ce n'était pas une question et je m'en bat les couilles de ton avis." Je lui retira ses chaussures en mode bat les steaks et les balança à l'autre bout de la pièce. Il ne me dit rien et tant mieux. J'approcha la table roulante, reprit ma tenaille et arracha les ongles des doigts de pieds, toujours un par un et doucement pour bien le faire souffrir. Il se remit à hurler, ce qui me fait rire, ça me fait du bien de torturer... Je ne sais pas ce qui m'arrive, quelle est cette sensation... Et dire que de base je ne me sentais pas capable de faire autant de mal, qu'est ce qui me pousse à faire tout ça ? Le fait que mes parents soient des creepypasta ? Ou que je n'avais pas trop le choix d'en devenir une ? Je ne dis pas que ça ne me plait pas, au contraire. Enfin, je commence à comprendre et je commence à apprécier.


Je posa les ongles des doigts de pieds dans la petite boite, je ferma ensuite celle-ci, je colla une étiquette autocollante et je marqua dessus "ongles des doigts de pieds". Je posa le matériel, je regarda à tour de rôle Kévin et mes outils. Que vais-je lui faire ensuite ? Lui couper les doigts de la main droite puis la main puis l'avant bras puis le reste du bras ou d'abord le pied gauche puis au niveau genou puis la cuisse ? "-Alors ? Tu t'arrêtes à ça ?" Dit le prisonnier, me sortant de mes pensées. Je croisa les bras et le regarda en long et en large, je lui répondit: "Non, pas du tout. Au contraire. Au fait, j'étais en train réfléchir, j'ai tellement d'idées que je sais pas par quoi commencer." Il fixe comme s'il ne me croyais pas, il me dit niaisement:"-Mais oui c'est sa. Ahah arrête de te foutre de moi ! Tu es rigolote, tu sais !" Il est sérieux là ? Qu'est ce qu'il a à rigoler ? Il veut que je le frappe ? Tout en articulant, je dis sèchement; "-Tu as un problème, connard ?! Tout à l'heure tu pleurais pour que je ne te fasse rien et maintenant tu me prends pour une idiote, tu m'expliques ce qu'il se passe ?!"
-Sache ma chère que je n'ai pas problèmes. Quoique je t'apprécie fort mais tu n'as que haine à mon égart, cela me désespère. Tout à l'heure, je ne savais réellement comment réagir, je me suis emporté, pardonnez moi."
Je le fixe, il me fixe.
"- ...
- ...
- Maintenant tu te prend pour un bougeois... Mais tu as pété un cable, ma parole ! Quel mouche t'a piqué ?!
- Comme je te l'ai dit, je vais très bien, je te remercie. Moi, un bourgeois ? Peut-être... Sais tu que j'ai beaucoup étudier la littérature ? Surtout du Shakespeare et tout les grands auteurs. Pour moi, c'est plus qu'un passe temps... Si je n'avais pas été chez ces creepyhunters, j'aurais pu devenir quelqu'un d'important grâce à des romans, à l'enseignement et pleins d'autres choses.
-Mais oui c'est sa bien sûr... Bon, je commence à m'impatienter. Laisse moi réfléchir en paix.
-Parlons plutôt philosophie et littérature, je sais que toi aussi tu aimes beaucoup lire...
-Tais-toi. J'en ai rien à faire." Il me saoule ce mec à parler comme ça, il est casse-couille. Pourtant, il continua à parler...
"-Non mais c'est vrai, j'apprécierais qu'on échange nos opinions sur tout ce que tu veux...
-Mais tais-toi ! Tu veux retarder tes tortures et ta mort, c'est sa ???
-Pas du tout..." Il tourne le regard, je crois qu'en fait si, il veut retarder... Je vais m'ennerver s'il continue !
"-Bah alors ta gueule !
-Mais s'il te plaît, voyons. Voit les choses d'une autre façon... Ne te renferme pas sur toi...

-Qui te dit que je suis renfermée sur moi ?
-Pleins de choses...
-Le temps est dépassé, je n'ai plus de patiente alors ferme ta putain de gueule avant qu'il t'arrive quelque chose...
-Ahah mais oui bien sûr ! Laisse moi rire !"
S'EN AI ASSEZ ! 

"-TA GUEULE !"

Je prit la hache à deux mains et lui coupa le pied gauche, juste devant l'attache de sa cheville. Il se mit se mit à hurler.

Pyromaniac Girl [creepypasta]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant