Chapitre 1

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Les mages... Les humains...

Depuis maintenant vingt ans, l'existence des mages a étérendu publique. Si au premier abord ils étaient sujetsd'admirations, très vite ils sont devenus l'une de nos plus grandescraintes. Responsables de multiples crimes et accidents majeures, lesmages sont devenus un danger majeur pour l'espèce humaine. Le mondeest aujourd'hui déchiré en deux bloques bien distincts.

Afin de répondre à ce problème, la BIAM (brigaded'intervention anti-mage) appelée aussi "les chasseurs demages" a été créé.

Au jour d'aujourd'hui, la population de mage représente moinsd'un pourcent de la population mondiale. Si ce nombre paraîtridicules, certains mages ont la capacité de détruire des villesentières.

Face au danger majeur que représentent les mages enversl'humanité, face à leurs minorité, l'Etat oblige tout les mages dese signaler et de se soumettre a un dispositif de surveillance dansl'intérêt de tous. Dans le cas où ils refusent ou encore que deshumains s'allient à leurs causes, la peine capitale sera annoncé...Voilà où en est le monde...

"Salut Greg !

-Salut Paul ! Alors, tu as réussi à avoir des infos ?" Paul était l'un de mes amis les plus proche. On c'est connu il y a cinq ans. Nous étions dans la même promotion d'une école qui allait nous permettre d'intégrer la BIAM.

"Tirer des infos au chasseurs... Je ne sais même pas ce qui m'a pris d'essayer, autant dire que c'est impossible ahah."

Paul était relativement stressé. Vu que nous avons tout deux réussi nos concours, nous allons être affectés à une unité de la brigade dès demain. Ce job était son rêve, il avait le cœur sur la main et était certain de pouvoir redonner une stabilité à notre monde. Pour cela, il voulait travailler directement à la source de tout ce changement: la brigade. Il était un idéaliste.

"Tu imagines si je me retrouve dans la section du caporal Féodor , du caporal Poyer ou encore de l'inspecteur Miller ... Aaaaah ... Lui ce serait le top du top !

-Mouais. Lui ai-je répondu sans vraiment m'intéresser à ce qu'il disait.

-Toujours aussi enthousiaste à ce que je vois. Il n'y a personne avec qui tu souhaite travailler toi ?

-Non pas vraiment, ça m'est égal.

Ma nonchalance avait tendeuse à l'amuser.

-Bon,  faut que je te laisse. On se voit demain, soit à l'heure pour une fois !" C'est il exclamé avant de partir aussi sec. Il était comme ça Paul, toujours plein de vie mais aussi d'un dynamisme sans noms. Il avait raison sur un point : la section dans laquelle nous allons entrer influencera énormément sur ce que nous devrons faire une fois sur le terrain.

Notre remise des diplômes avait lieu dans l'amphi-théâtre de notre établissement le lendemain à 9h. En nous décernant les diplômes, certains chasseurs qui seront venu pour l'occasion, nous annonceront en même temps notre affectation.

Ce jour là, j'étais arrivé dix minutes en retard. En ouvrant les grandes portes centrales, je pouvais entendre des applaudissements avant qu'un grand silence a pris place. Je suis alors passé devant l'estrade où les professeurs remettaient les diplômes, croisant du regard quatre chasseurs qui me fixaient avec mépris, comme l'ensemble des élèves présent dans l'assemblé. Il n'ont pas exprimé le moindre mot, se suffisant de me fixer sans relâche. J'ai monté les escalier sans plus m'intéresser à eux ni me dépêcher avant de m'assoir aux côtés de Paul.

DéchuOù les histoires vivent. Découvrez maintenant