Dans ces moments où tu n'as plus que tes larmes pour pleurer
Que tu as l'impression d'être abandonnée
Quand tous tes espoirs semblent envolés
Qu'il te reste juste assez de force pour gueuler
Que tu as envie de crier
Que tes mains ont tout décimé
Que tes nerfs sont explosés
Que tes mâchoires, à l'extrême, serrées
Que d'épuisement, tu te laisses tomber
Tu ouvres ton coeur défoncé
Et tu cries, à l'agonie, et sans regret
Sans pouvoir ne serait-ce bouger
Merde

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Ceux qui vivent sont ceux qui luttent
PoetryDes textes, des mots, des phrases... ce qui me passe par la tête