Une Africaine au service d'Un Saoudien

Vingt Deux ( Tome 2 )

•Vingt deux

Longue partie

J'ai directement attrapé Shahid par la taille et je l'ai tirer de toute mes forces. Il a fini par lâcher son frère. Il me regarde avec ce regard qui me fait froid dans le dos.

Shahid: Maintenant tu as compris que c'est plus mon frère.

Shahid sort de la maison. Je regarde Abdellah et le secoue pour qu'il se réveille mais il ne bouge pas. Je lui met une bonne claque et il sursaute. J'avais mis beaucoup de force dans la claque j'en ai en profiter mais juste un peu. Il s'assoit au sol. Je lui apporte un verre d'eau. Il le prend

Abdellah: Merci

Il boit tout d'un coup. Je reprend le verre et je l'aide à se relever

Abdellah: Merci d'avoir essayer Hanifa. Prend soin de mon frère tu es une femme bien.

Il a ouvert la porte et il est partie.

***

Je me fait réveille par les pleurs de mon petit. J'ai très mal dormi cette nuit. Cela fais déjà deux jours que Shahid ne dort plus dans la maison. Je suis seule avec mon fils... Peut être que je n'aurais pas dû essayer d'arranger les choses avec son frère, mais ça partais d'une bonne intention. Au moins j'aurais essayer.

Cela fais deux jours que mon fils ne se sent pas bien. Il fait que de pleurer au début je pensais que c'était son père qui lui manquait mais il a commencé à avoir une vilaine fièvre que je n'ai pas réussi à faire partir.

Je m'occupe de Nour

Nour: Mal

-Ou ?

Il me montre sa bouche

- Fait voir

Je regarde mais je ne suis pas médecin donc je ne sais pas ce qu'il as. Je fini de le doucher j'essaie de le nourrire mais il se met à pleurer

Nour: Maaaal😢

Ça fais vraiment mal de le voir souffrir sans pouvoir rien faire

- Tu ne veut plus du miel

Nour: Non !!!

Il se remet à pleurer

Je prend mon téléphone j'appelle Shahid mais il ne répond pas. Comme d'habitude... J'appelle sa mère

Soumiha: Allo

- Salam aleyki c'est Hanifa tu va bien ?

Soumiha: Aleyki salam. Oui je vais bien et toi comment va Nour ?

- Euh... Dis moi tu es avec Shahid ?

Soumiha : Non il vient de partir

- Il a dormit chez toi ces derniers jours ?

Soumiha : Non, il y avait Abdellah