Inquit, is, n : Dit-il
Zitao frappa contre la porte devant laquelle il m'avait emmené et attendit quelques secondes.
"Entrez."
La voix forte dans la pièce me fit frissonner et vite l'homme à mes coté ouvra la porte, il attrapa mon épaule et me poussa dedans.
Je tomba à terre, je sentais le parquet grincer et bouger sous mes doigts, en relevant la tête, la salle était immense, un bureau au fond, une grand baie vitrée sur tout le mur à droite, une bibliothèque immense à ma gauche, un tapis somptueux, un lustre splendide au dessus de m tête, et un dieu vivant devant moi.
Il dégageait quelque chose, quelque chose d'unique, un carisme, un aspect de dominance qui te surpasse à tous les niveaux, son regard te transpercent, ses yeux te jugent, et plus profondément encore ses mains de blessent, elles t'emprisonnent rien qu'en te caressant, tu te sens à sa merci, tu ne peux lui résister, tu ne peux lui dire non, tu ne peux qu'accepter de subir toute ses tortures, touts ses fantasme, tu lui offrir tout ce que tu as, ton corps et ton âme, oui, il émanait de cette dominance là.
Je baissa la tête, les yeux paniquant, cet homme face à moi, j'avais eu la sensation de mourir rien qu'en plongeant dans ses prunelles, mes doigts tremblaient, à l'exemple de tout mon corps.
"Regarde toi. Pauvre petite bête inoffensive et effrayé, tu fais pitié !"
L'entendre me cracher de tels mots me fit sursauter, je voyais ses chaussures se rapprocher, lentement, et comme par reflex je recula jusqu'à ce que mon dos ne but contre la porte. Une main devant moi pour lui signifier de ne pas venir plus en ma direction, et l'autre frappant contre la porte, hurlant qu'on m'ouvre.
"Qu'est ce que tu peux être mauviette Taehyung ! Jackson m'avait pourtant dit que tu était obéissant. M'aurait-il mentit ?"
Alors que le noiraud devant moi semblait calmement pensif. Je criait à en perdre la voix, pleurant, pour que quelqu'un vienne m'ouvrir. Une reaction excessive me direz-vous, certainement. Mais je voulais partir, courir jusqu'à ne plus avoir de souffle, disparaître et oublier tout ça. Une main saisit brusquement mon bras me forçant à me relever, j'était désormais maintenus d'un bras contre lui.
"Bon tu la ferme maintenant !"
Sa voix si ferme m'avait coupée la voix, je ne sanglotais plus, je ne pleurais plus, je ne reniflais plus, je ne criais plus, tout c'était arrêté d'un coup
Sans plus de cérémonie, ses lèvres, fines et roses, vinrent écraser les mienne. Je ne bougeais pas, pas le moins du monde, ce contact me paraissait sans gout.
On se rend compte qu'on aime quelque chose que quand on l'a perdu.
Cette citation prit sens dans ma tête quand il recula, c'est quand nos lèvres se détachèrent que toutes les émotions vinrent naître dans la bouche. Ses lèvres avait un gout sucrée, elle était douce et se mouvaient à la perfection contre les miennes, de plus, leur touché avait quelque chose d'électrisant.
Cette sensation me manquait.
Je l'embrassa.
-NOUS SOMMES TOUS DES PANTINS, ET C'EST INCONSCIEMMENT QUE DURANT TOUTE NOTRE VIE ON CHERCHE LA PERSONNE QUI SAURA NOUS CONTRÔLER-
-xv.
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addict à toi (vkook/bts)
Teen Fiction(anciennement °ustog)(en réécriture) si tu es ici et que tu ne peux pas partir c'est juste pour que je te montre à quel point je t'aime, pas pour que tu ais peur de moi. -xv. debut; 17/11/2017 kookv _ vkook _ taekook _ tkook _ kooktae° fin; EN REECR...