LE MATIN, C'EST LA JEUNESSE DU JOUR. TOUT Y EST GAI, FRAIS ET FACILE. IL NE FAUT PAS L'ABRÉGER EN SE LEVANT TARD.
Arthur Schopenhauer (1788 - 1860)
Je m'étais assoupis, fatigué par l'ennuis qui me rongeait, mon champs de déplacement n'était pas seulement restreint à la grandeur de la pièce, mais surtout à la longueur de la chaîne qui me retenait.
C'est alors à mon réveil je ne sais combien de temp plus tard que les sanglots de bonheur m'avait prit à la gorge.
Ma cheville était certe couverte de plaies ensanglantées, rouge écarlate et me faisait énormément souffrir, mais elle était libre, détachée, et tout mouvement m'était désormais possible.
Au même moment je découvris un papier soigneusement plié, c'est avec délicatesse que je l'attrapa et et le déplia.
"Comme tu l'as vue je t'ai détachée, mais la porte et verrouillée et si tu essaie de sauter par la fenêtre en la brisant d'une quelconque manière tu mourera de ta chute.
Et dieu sait autant que moi que tu à affreusement peur de la mort.
Essaie de ne pas trop bouger, j'ai du m'absenter alors je te soignerais à mon retour.
Bonne soirée Taehyung."
Le "Bonne soirée" me fit tilte, je regarda dehors et y vit effectivement la lune déjà haute dans le ciel. Sur le lit je trouva aussi une montre, une magnifique montre dont la richesse me fit écarquiller les yeux. Je me concentra plus dessus et y lus "23:47". J'avais vraiment dormis longtemps, et ne sachant pas à quelle heure il était partit je ne savais donc pas à quelle heure il reviendrait, peut être était-il même déjà revenu.
Mais je n'étais plus fatigué, alors dormir ne faisait pas partit de mes projets. Je me leva, examinant plus précisément la pièce. j'ouvris des tiroirs, la plupart étant vides, mais certains renfermaient des feuilles, blanches, des stylos plumes. Dans la commode à gauche de la porte il y avait des t-shirt, des pull, des shorts, des sous-vêtement.
Je me dirigea enfin vers la grande armoire qui prenait tout le mur de droite. je me mis devant mais sentit comme une peur soudaine s'emparer de moi, appréhendant ce qu'il pourrait se cacher derrière se grand rideau d'un rouge flamboyant aux bords noir. Je plaça ma main sur le coté de ce dernier et le pris d'une poigne fragile entre mes doigts. J'hésita encore quelques instant, ferma les yeux en espérant les rouvrir et me retrouver dans mon lit, avec mon amour à mes cotés, mon chien, ma maison, et toutes ces choses que, je ne sais pas si je les reverrais un jour. Je re souleva mes paupière, pris mon courage à deux mains et, tira sur le rideaux.
Ce que je vit m'horrifia, les larmes me montèrent à une vitesse fulgurante aux yeux et je recula tout aussi vite, tomba sur le lit mais continuais tout de même à reculer, de gros sanglot écorchant mon œsophage. Ma main venait couvrir ma bouche alors que mes yeux, eux, ne pouvaient se détacher des objets à ma vue.
Des laisses accompagnées de leurs colliers, en tissus, et fer, peu importe, il y en avaient beaucoup. De faux sexe masculins en plastiques, trop, vraiment trop. Et puis des tenue, des tenues obscènes, en cuir serré. De chat, de servante, des jupes courte, des caleçon moulant, des serre tête avec des oreilles d'animal. Ou encore des martinets, des bandeaux de soies, des cravaches, des boules geishas, des menottes. Ca ne s'arrêtait pas... Il y en avait toujours plus, plus effrayant... Plus douloureux...
"Tu a trouvé mes jouets ? Intéressent, sache que tu va bientôt t'embéguiner* de ses magnifique choses. N'est-ce pas magnifique ? "
*S'embéguiner : Être enivré, avoir le béguin pour quelque chose ou quelqu'un.
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-xv.
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addict à toi (vkook/bts)
Teen Fiction(anciennement °ustog)(en réécriture) si tu es ici et que tu ne peux pas partir c'est juste pour que je te montre à quel point je t'aime, pas pour que tu ais peur de moi. -xv. debut; 17/11/2017 kookv _ vkook _ taekook _ tkook _ kooktae° fin; EN REECR...