/!\ Lemonade /!\
Cela fait deux jours qu'il pleut. Le ciel est sombre, le vent souffle, rendant l'air encore plus frais qu'il ne l'est déjà. Le soleil est en train de se coucher alors qu'il n'est même pas dix huit heure. Dans les salles de classes du lycée Kaijo, tout le monde était à moitié endormis, à part les professeurs, qui, faisaient cours avec un peu trop d'enthousiasme au goût des étudiants, qui s'endormaient, la paume de leurs mains sur leurs joues, fixant leur feuille de cours. Toi, (T/p) (T/n), observais les étoiles qui entouraient la lune, si lumineuse.
« Cette fois-ci, allez à la page 253. »
Le bruit des feuilles des manuels, se tournant lentement, fit soupirer quelques élèves. Le son de la voix du professeur te parut aussi affreux que celui de ton réveil, et tes paupières, qui s'étaient alourdis, s'ouvrirent un petit peu. Assez pour que la lumière jaune des néons de la salle t'agresse la rétine. Tu entendis alors ton petit ami, assit à ta droite, grogner légèrement. Te retournant vers lui, tu le vis affalé sur sa table, sa tête tournée vers toi, ses beaux yeux dorés à demi clos. Ses billes d'or s'ancrèrent dans tes iris (c/y) et il t'offrit un petit sourire fatigué.
« N'oublie pas que tu viens chez moi ce soir. », baille-t-il.
Pour toute réponse, tu hochas la tête en souriant avant de t'affaler sur la table de la même façon que ton petit copain. Il rit silencieusement et tendit son bras pour attraper ta main.
De là où vous étiez, le professeur ne pouvait pas vous voir, surtout que ceux qui étaient devant vous vous cachaient grâce à leur taille.
La sonnerie retentit enfin, après une attente interminable. Tout le monde devint beaucoup plus énergique qu'avant, il fallait dire que la dernière heure de la journée était toujours la pire, surtout lors de la période d'hiver.
Tu rangeais lentement tes affaires tandis que tout tes camarades autour de toi le faisait avec effervescence. Tu feras à peine ton sac qu'un poids s'abbatit sur toi.
« (T/p)chii tu es si mignonne !
- Hein ? Comment ça ? », demandes-tu avant de bailler.
Cela fit rire Kise qui te prit dans ses bras pour danser bizarrement. Il s'arrêta et te regarda.
« Tu es si mignonne, j'ai envie de te manger.
- Tu... »
Tu relevas la tête puis plantas ton regard dans le sien, les joues en feu, avant de te stopper dans ta phrase, remarquant que Kise te portait un regard amoureux, mais aussi remplit de désir. Bon, vous l'aviez déjà fait le weekend dernier pour la première fois, mais tu ne pensais pas qu'il en voudrait encore. Tu souris, amusés par les pensées que Kise devait avoir en ce moment ou même celles qu'il avait dût avoir durant cette semaine.
« Très bien, allons-y alors Ryouta », ris-tu.
Ses yeux s'illuminèrent et sa main ne tarda pas à attraper la tienne avant de te tirer de force jusque chez lui.
A peine la porte d'entrée et l'absence de ses parents ont été constatées, que tu te retrouvas sur une des épaules de ton petit ami, en route vers sa chambre.
Le basketteur te posa au sol et n'attendit pas une seconde que tu bouges. Ta chemise se fit jeter au sol après avoir été enlevée à toute vitesse, vite rejointe par celle du blond. Celui-ci te regarda malicieusement tout en approchant sa tête de la tienne. Sa main se posa sur ta nuque au moment même où vos lèvres entrèrent en contact. De suite, il te fit basculer doucement sur son lit, se plaçant au dessus de toi. Ses lèvres fougueuses recouvrirent chaque partie de ton cœur et vos vêtements se retrouvèrent vite au sol, vous laissant dans vos tenue d'Adam. Kise tendit alors son bras vers sa commode et ouvrit difficilement le tiroir de celle-ci. Il attrapa un sachet qu'il déchira, puis il mit le préservatif sur son membre. Il te regarda et sourit en voyant tes yeux brumeux de plaisir. Il ne te quitta pas du regard lorsqu'il entra en toi et fut encore plus excité lorsque ta tête bascula vers l'arrière, montrant l'état dans lequel seul Ryouta pouvait te mettre. Il continua ses vas et viens plusieurs fois, gémissant de plaisir et grognant chaque fois que ta voix retentissait près de ses oreilles et que tes mains se fourraient dans ses cheveux ou bien touchaient simplement sa peau.
Décidément, il n'y avait vraiment que toi pour le mettre dans cet état même lorsqu'il te faisait l'amour. Parce que oui, Ryouta ne te disait jamais qu'il avait couché avec toi, ni que vous aviez "baisez", non, à chaque fois, ce qu'il te dit, c'était qu'il adorait te faire l'amour.
Il ne lui en fallut pas plus pour atteindre la jouissance. Il continua quelques mouvements et tu finis dans le même état que lui: haletante, la tête dans le brouillard, les yeux qui ne voyaient qu'une seule chose, l'élu de votre cœur.
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One Shot Kuroko no Basket
FanfictionVoici un recueil x reader sur Kuroko no Basket ! Les commandes sont fermées !