Clarté de mes songes,
Gardien de mes nuits
Qui quand la mort tombe,
S'enfuit sans ressentis.
Tu es l'être humain dans mon miroir,
Celui me ressemblant tellement
L'être vu de tous ces regards,
Celui qui s'exprime en mon nom .
Et quand je ne serai plus, hélas !
On te rappelera vaguement
Les soirées en face du glass
Ils reliront le testament.
À si seulement,
Juste un instant
Tu avais laissé ta place
Peut être que maintenant
Et pour longtemps
J'aurai vécu mon espace.
Vivre en toi est dur
Je laisse venir ces sentiments
Quand tu souille ton visage dit impur
Je crie en ton corps pardon.
Quand tu es monté sur la potence
Que l'on t'a passé le col autour du cou
Je n'ai pas pu retenir ma souffrance
J'ai hurlé à ta place «l'amour rend fou»
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Ce poème parle encore des droits LGBT, je soutiens avec véhémence cette cause.
Cela parle des pulsions non contrôlables du corps mis en place en un jeune homosexuel d'un pays où cela est passible de mort.
C'est pas très flagrant et ce texte n'est pas très joyeux mais ça existe encore, des gens qui pensent que ce n'est pas normal que la personne à choisi d'être comme cela.
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L'Intelligence Primitive
RandomRecueil de poésies Random en tout genre Beaucoup de choses qui ne me plaisent plus lisez plutôt la fin ! (Ps: la photo ne vient pas de moi. Il s'agit de la Nébuleuse de l'Oeil de chat (NGC 6543)
