Désillusion

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Les enfants de la Mère
Voguant sur les mers en furies
Attrapent à la volée des terres
Façonnent des centaines d'abris

Ils s'y cachent attendent le jour
Lâches, tuent les animaux
Rasent les forêts aux alentours
Tentent de soigner leurs maux

Nés de l'eau des rivières
Elle a les parfum de la mort
La couleur si particulière
Semble leur causer aucun remord

Certains essayent en vain
Appellent, façonne les générations
Disant qu'ils tiennent dans leur main
Une peut être nouvelle création

Ils tuent pillent leurs confrères
Leurs paroles de bien pensance
Atteignent une allure mortifère
Elles ont une odeur rance.

Désillusion devant les grandes portes

Les Hommes avec leurs étendards
Se rendent comptent de leur faute
Mais il est déjà trop tard.

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