Bien le bonjour, je vous présente mes excuses pour ces mois d'absences, suite à un problème personnel, je n'arrivait plus à me confier à vous.Aujourd'hui, je vais me lancer, je ne suis pas certaine d'y arriver.
J'ai fais une remise en question.
Sur moi même.
J'ai peur.
J'ai peur de la mort. Et encore plus de la vie. Cette chose que je subis. Je pensais pouvoir la garder en main. Avoir le contrôle sur elle. Savoir quoi faire et à quel moment, savoir faire les bons choix, savoir trouver toujours les bons mots, savoir afficher le meilleur des sourires. Mais en soi, sommes-nous juste pas ses pions, qui doivent lutter contre sa part obscure ? Tout les jours une nouvelle épreuve, tout les jours un obstacle de plus, un mur toujours plus haut à franchir, avec des mains sanglantes prise de vertiges par la hauteur des faits, toujours à se demander si ça en vaut vraiment la peine, sommes-nous vraiment fait pour lutter autant ? Je suis de ceux qui en pense que non. Je suis forcée à les franchir, à les gravir, comme portée par ma propre vie qui se fais seule, je suis extérieure à ma vie, totalement extérieure, éloignée, en dehors de mon propre corps. Tous les jours une routine à respecter, le réveil sonne, se lever en retard, essayer de manger correctement, s'enfiler 2 ou 3 cafés, histoire de tenir toute la journée, aller en cours, entrer la dernière, que personne ne me voie, ne jamais être présente mentalement, toujours dans mes pensées, toujours à fuir le regard des autres, avoir peur de se démarquer. Et pourtant détester suivre cette société. Tu sais, celle qui te répète jour et nuit, à chaque instant, à chaque moment où tu aimerai qu'elle te lâche un peu, oui cet instant là où tu veux lâcher prise, tu sais cet instant où tu aimerai être seul juste toi et toi seul, mais cette salope viens te dire "Sourit. Ne montre pas ta faiblesse. Tu es faible. Tu resteras faible toute ta vie. Tu dois faire comme les autres. Tu n'es qu'un putain de mouton. Un pion. Mon pion. Et je vais prendre en malin plaisir à tu détruire. Jusqu'à que Je décide t'achever. Et si tu ose en décider autrement je vais détruire ceux qui t'aime. Tu sais, ta mère qui a failli mourir pour voir ton premier jour, ton père qui se tue au travail, ta sœur qui te prends comme modèle, ton copain qui compte sur ton amour, tes grands parents qui pense de toi un enfant modèle. Tu vois ces gens là ? Si tu en décide autrement je te fais la promesse de les détruire. Donc suis mes règles, et tout ira pour le mieux. Tu vois, tu es faible, tu te soumets à moi, tes putain de larmes, si quelqu'un les voit, il aura la preuve que tu es vraiment une merde. Donc pose un masque, un beau sourire, ai le dernier smartphone, ai des vêtements de la dernière collection des plus grandes marques, soit populaire et la, tu seras PEUT-ÊTRE un tout petit agent de ta vie." Tu vois, c'est la société, cette salope qui t'impose ça. Comme elle t'impose de réussir parfaitement l'école, avec ton brevet mention très bien, avoir ton bac mention très bien, trouver immédiatement le travail que tu veux à à peine 18 ans, à peine diplômé, qui tu trouve l'amour à 16 ans, que tu fasses ta vie avec un homme grand, beau, fort et riche, que tu ai deux magnifiques enfants, un garçon et une fille, qu'ils soient des enfants parfait, ensuite que tu ai une carrière à refaite et que tu soit à la fois femme parfaite, mère parfaite et professionnelle parfaite. Bien sûr tout en te sentant parfaitement parfaite dans ton corps et dans ta tête.
Bien évidemment tout ceci est impossible. Totalement impossible. Enfin, à une exception près, une chance sur l'infini, soit impossible que ça tombe sur moi. Moi et mon esprit détraqué. Peut-être que la faute viens de moi, ça, juste mon esprit et mon avenir me le diront. Déjà : malentendante. Qu'est-ce que tu veux être parfaite en aillant une audition déjà mauvaise. Ensuite, essaye d'avoir un charme en aillant des lunettes. Ah ! Sans lunettes je vois plus flous que je si j'essayais de voir à travers les vitres opaques ! Et bien évidement ma corpulence ne correspond en aucun cas à ce que la société nous impose pour être "parfaite" : fais au moins un bonnet C, avoir des hanches généreuses, un fessiers arrondi et fermes, tout en aillant une taille fine. Mon seul avantage c'est de ne pas prendre en kilo si je mange, mais ça tourne rapidement et à l'inconvénient puisque mon cerveau se dit nourriture = pas de poids en plus, donc la nourriture deviens très déséquilibrée, mauvaise, grasse salée sucrée, dégueulasse. Enfin bref, un avantage pas trop avantageux. Ensuite cette pute de société nous oblige à faire les moutons, à toujours suivre les tendances, à suivre les mêmes opinions. Et en même temps elle prône la "différence" et l'unité en une seule personne, c'est impossible ! On ne peux pas être un brin différent et en même temps être similaires aux autres ! Bordel de merde.
VOUS LISEZ
Pansexuelle.
AléatoireJe suis pansexuelle. Comme d'autre sont hétérosexuels, bisexuels, lesbienne, gay, asexuels, poly'... ect. Définition : "La pansexualité est une orientation sexuelle caractérisant les individus potentiellement attirés sexuellement ou sentimentalement...