Texte.

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⚠ disclaimer ⚠
CE TEXTE COMPORTERA UNE TENDANCE ÉROTIQUE ET CERTAINS PASSAGES PEUVENT CHOQUER LES ÂMES SENSIBLES.
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J'ai qu'une envie.
Oh putain une sale envie.
J'ai envie d'être posée, avec toi.
Prendre un premier shot de vodka.
Te dire que je t'aime.
Ressentir la brûlure du liquide qui coule au fond de ma gorge.
Ressentir cette sensation envahissante mais bon dieu qu'elle est satisfaisante.
Te dire qu'on passera au dessus de chacune des épreuves.
Je t'avoue j'ai parfois eu envie de t'abandonner pour te rendre la vie plus simple.
Boire un deuxième shot.
Mais bon dieu que l'amour que j'ai pour toi est plus fort.
Boire un troisième shot.
Commander une pizza.
S'amuser comme des enfants en mangeant.
Enfiler un quatrième shot.
Te dire que je ne regrette rien avec toi.
Te dire que tu es bien celui qu'il me faut.
Boire un cinquième shot.
Sentir l'alcool commencer à me tourner la tête.
Peu à peu.
Rire sans raison.
Te regarder avec amour.
T'embrasser.
Puer l'alcool.
Tu allumes ton joint.
J'allume ma clope.
Bon sang que c'est bon.
Avaler ta fumée, puis un sixième shot, puis cracher l'air envahissant.
Rire encore.
Croiser ton regard.
Bon sang que je t'aime.
Tu es vraiment celui que j'aime.
Finir ma futur source de cancer.
S'en moquer.
Ne vivre qu'une fois.
Envie de se tourner la tête.
Au point d'oublier cette soirée.
Oups, un septième shot.
On s'assoit par terre.
Tout tourne.
Je te regarde.
Je t'embrasse.
Bon sang que je t'aime.
Bon sang que je t'aime.
Oups, huit et neuf se sont ajoutés.
Ça tourne mais bon sang que je suis heureuse.
Je me sens bien.
Je mange un bout de pizza.
Je te réclame un câlin.
Tu me taquine.
Comme si tu voulais me le refuser.
Je te boude.
Tu te jette sur moi pour me consoler.
Bordel que je t'aime.
Toi.
Mon homme.
Mon unique amour aussi fort.
Bon sang que je t'aime.
Dix shots sont dans mon corps.
La brûlure agréable de l'alcool qui embrasse ma gorge.
Je t'embrasse.
Le goût du précieux liquide dans ta bouche m'enivre toujours autant.
Bordel.
Tourne.
Je me cale entre tes jambes.
Tu es ma meilleur cachette.
Tu roules un autre joint.
Je taquine ton cou.
Je te mordille.
Je t'embrasse.
Te croquer le cou.
Bordel ce que j'aime t'embêter.
Je t'aime.
A nous deux, nous sommes à une vingtaine pile de shots.
Bordels que je t'aime.
Tu fumes.
Me regarde comme pour me proposer.
Je te regarde en souriant.
Je tire qu'une fois et te laisse profiter de ton plaisir.
Je reste dans tes bras.
La chaleur de nos corps mélangée à l'alcool est éprouvante.
J'enlève mon sweat.
Et toi ton pull.
Je te regarde comme pour demandé comment tu l'avais supporté.
Bon sang que je t'aime.
J'attrape la bouteille du bout des doigts.
Je ri, en te regardant.
Si tu savais comment je t'aime.
J'avale peut-être 4 ou peut-être 5 gorgées.
Sentir cette brûlure tellement agréable.
Te dire avec regret que je ne supporte pas de te faire supporter ces épreuves.
Te dire que je m'en veux d'être mal entourée.
Te dire que je regrette de t'avoir fait prendre tant de risque à cause de moi.
Te dire que malgré tout je t'aime.
Te dire que je ne supporterai jamais ta perte.
Te dire que j'ai peur que tu me lâche.
Sentir une perle ou deux dévaler mes joues.
Les cacher avec mon visage dans ton cou.
Mon souffle saccadé me trahi.
Il s'écrase lentement et irrégulier sur ta jugulaire.
Je regrette d'être celle que je suis.
Je regrette d'être faible.
Je regrette
Mais il y a bien une chose que je ne regrette pas avec toi.
C'est que...
Je t'aime.
Je t'aime du plus profond de mon âme.
Que tu es le plus important pour moi.
Mon homme.
S'enfiler la moitié de ce qu'il reste de la bouteille.
Grimacer.
Te voir rire.
Te voir te pencher sur moi et m'embrasser.
Me dire de me calmer sur l'alcool.
Me dire de prendre soin de moi.
Me dire que tu m'aime.
Mais tes paroles glissent dans ma tête comme une chanson.
L'alcool m'a déjà beaucoup enivré mais bordel ce que j'aime ça.
Mais je n'assume pas cet état devant toi.
J'essaye de rester convaincante.
"je ne suis pas bourré bébé."
Tu ri, m'attrape les joues et m'embrasses.
Bon sang que je t'aime mon amour.
Mon homme.
Allumer une dernière clope.
Te dire que je t'aime.
N'avoir jamais fumé aussi vite.
Jeter le reste dans ce qui sert de cendrier.
Rire en le voyant se renverser.
Se dire de ne pas oublier de ramasser.
Te tirer sur le canapé.
T'embrasser.
Finir de me mettre à nue devant toi.
Enlever ces choses superficielles.
Me délivrer de ces tissus inutiles.
Te regarder.
Cacher honteusement certains point de mon corps.
Tu attrapes mes poignets et enlevé mes mains de mes cuisses.
Ces cicatrices.
Encore trop rouges.
Encore trop fraîches.
Encore trop nombreuses.
Encore plus nombreuses.
Tu m'en veux je le sais.
Tu ne dis rien.
Mais je le sais.
Tourner la tête.
Ravaler ses larmes.
Oups.
Elles coulent déjà.
"pardon".
Ton pouce caresse mes joues.
Effacés la traînée humide et salée.
Ces perles évocatrices.
Je veux t'embrasser.
Je veux te présenter toutes mes excuses possibles.
Je sais que tu m'en veux.
Tu sais que ça me rends mal donc tu ne dis rien.
Bon sang que je t'aime.
Je ne me rends compte de mon erreur que trop tard.
Je te regarde.
Tu souris et les couvre de tes mains.
Un bisous.
Je tend se bras jusqu'au récipient maintenant presque vide.
Je le fini de moitié t'en laisse la fin.
Cette brûlure.
J'en veux plus.
Mais je te veux encore plus.
Il est l'heure, tu es en moi.
Je me laisse emporter.
Les plaisirs de la chair.
Toujours meilleurs.
Lui.
Je l'aime.
Il m'aime.
Les plaisirs de la chair complémentaires.
Je me sens bien.
Dans notre bulle.
Tu m'embrasses une dernière fois.
Un dernière fois avant de me laisser.
De me laisser aller au doux plaisir de l'acte charnel.
Mon homme.
Mon entière confiance en toi.
Ma moitié.
Je t'aime.
Qu'une envie.
...


Aujourd'hui, il est minuit pile. Et je me souviens qu'à une heure tardive de la nuit. Tu m'avais écrit. Un long texte. Bordel, très long. Et tu voulais que je soit ta copine. Et bordel, je n'ai jamais été aussi heureuse d'avoir accepté et d'avoir trouvé un homme aussi attentionné que toi. Je sais que tu as déjà lu la carcasse de ce texte mais pas le dernier.
Je t'aime fort et aujourd'hui, malgré toutes nos épreuves plus difficiles les unes des autres et je t'en présente mes plus sincères et profondes excuses, aujourd'hui ça fais huit mois de bonheur avec toi.

291117.

Mon amour~

Pansexuelle.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant