Blackmail, with Sulivan Gwed [EN RÉÉCRITURE]

Chapitre vingt-neuf

« Je t'aime, et y a que toi que j'ai aimer »

Point de vue, Sulivan Gwed.
Jeudi 12 octobre, 11h43.
Bahut.

C'est le jour J, Aubrey est à la cafeteria avec Andréa et Bryan. Et honnêtement foutu pour foutu, j'ai décider d'avouer la vérité à Aubrey. Putain et dire que j'allais me faire manipulé par une décolorée.

Je sort de la salle de permanence, j'me suis fait exclure de cours, rien à battre. Je fonce à la cantine et je les retrouve assis à la table habituelle. Mon regard change subitement quand je vois la directrice. Elle aussi elle cherche des bites ? Telle mère telle fille.

Je me dirige vers la table et Aubrey me prend dans ses bras en saupoudrant mon cou de baisers. Je la repousse un peu pour pouvoir lui parler.

-Qu'est-ce qui a ? dit-elle
-Il faut que je te dise quelque choses.
-Oui bien s...
-Sulivan !

Candice apparaît nettement à coter de moi. Oh putain c'est pas vrai.

-Je vous interrompt ? Ah t'allais lui dire ? Et bah enfin !
-Me dire quoi ?

Merde. J'ai pas le choix. Sa mère est à coter en plus de ça. Aller Sulivan tu le fait pour son bien. Mais non putain ! Je vais lui briser le coeur, c'est pas pour son bien ça putain. Je me sens impuissant, j'ai le sang glacer, mon cœur bat vite, mon corps est complètement figé. Aubrey me regarde d'un air insistant. Toute la salle est silencieuse, tout le monde nous regarde. Ce n'est qu'un détails mais merde.

-Sulivan ? dis Aubrey
-Bon Sulivan tu te lance ou je le fait à ta place, s'exprima Candice

Putain Candice ta gueule, je vous jure que je vais la foutre dans un coma permanent celle-là.

-Aubrey, dis-je

J'ai pas le choix, c'est pour ses notes, pour son avenir. Elle aura un bel avenir.

-Sulivan tu m'inquiète, dit-elle
-Aubrey il faut qu'on arrête.

C'est sorti tout seul, alors quel semble ne pas comprendre le sens de ma phrase.

-Quoi ? dit-elle
-Je te quitte.

La salle est silencieuse tandis que je vois le visage d'Aubrey ce décomposer et devenir soudainement pâle.

-Aubrey tes notes ont chuter et c'est à cause de moi. Je t'ai causer du mal alors que tu le méritais pas. Vois le bon compter des choses je t'en prie, je ne suis pas fait pour toi. Tu mérite quelqu'un d'autres que moi.

Elle avale mes paroles alors qu'elle commence à pleurer en silence en me regardant dans les yeux. Putain, c'est insoutenable de la voir dans cet état. Elle secoua sa tête de gauche à droite en murmurant des non à elle-même.

-Comment tu peux...?

Elle ne fini pas sa phrase, elle est complètement déboussolée. S'ayez, je lui est briser le cœur. Elle est pâle, très pâle, je la regarde dans les yeux alors qu'elle continue de secouer la tête. Elle arrive pas à le croire, et moi non plus.

Elle éclate en sanglots avant de partir en courant. Merde. Andréa ce lève pour me faire face.

-Tes fier de toi ? Connard.