J'ai eu l'impression d'être resté pendant des heures dans le néant total, avec l'image des visages de mes parents déformé par la tristesse. Quand la prise sur ma gorge ne fut plus je me suis laissé tomber à genoux, mes mains sur ma tête en train de m'arracher les cheveux. Je craque comme jamais, hurlant toute ma détresse, ma tristesse et ma colère. Je suis morte putain ! Un type en noir venait de m'arracher de mon corps, de ma famille et je n'ai pas réagie ! Je les ai abandonnés !
J'ai si mal, je me consume, je me sans brulé de l'intérieur, ma peau s'arrache de mon corps, des entailles se formé sur mes jambes par une lame chauffé à blanc. Je sentais des mains me parcourir le corps, une présence proche de moi. Je la repousse aussi loin que je pouvais. Je voulais juste qu'on me foute la paix et subir le châtiment que je méritais pour ne pas avoir tenu tête à cette putin de maladie, de ne pas avoir été plus utile à mes parents, de ne pas avoir eu l'occasion de récupérer cette année perdue avec mon petit frère. Il y a tellement de chose que je voulais faire pour eux et que je ne peux plus maintenant !!! Je me déteste, je me dégoute. J'y ai cru jusqu'aux boues à ma guérison pour pouvoir rattrapé de ses années d'inquiétudes que j'ai fait subir à mes parents. Et maintenant c'est trop tard...
J'étais en train de me crée mon néant, mon enfer pour me punir de toute les choses que je n'ai pas faite pour eux, de les avoirs fait souffrir, de les avoirs blessés à vie !!
Mais la présence revenu à la charge et me plaqua contre lui, ne me laissant plus aucune chance de le repoussé. J'eu la soudaine impression d'être plaqué contre a mur de brique, ce qui me sonna un temps. Mais après une minute t'étourdissement, je me rendis doucement compte que je me sentais...bien. Je ne souffrais plus, je n'avais plus mal et une sensation de légèreté me submergea doucement. Mais a contrario, a fond de mon cœur, le sentiment de culpabilité et cette envie de me punir sont belle est bien présent. Cette sensation d'apaisement et de sérénité était forcé, comme si on m'administrait de force un calment. Mais la différence est que la morphine te rend complètement amorphe, alors que je me sentais parfaitement apte à bouger et marcher. Bien que cette sensation d'être libre de mes mouvements devrait me réjouir, après 6 mois, infirme dans un lit, je n'avais pas cette impression. Tout ce que je voulais c'est savoir qui m'avaient sortie de mon châtiment.
Après avoir respiré un grand coup pour me préparer à ce qui m'entoure, je me décide à ouvrir les yeux et a affronté une lumière blanche éblouissante. Après m'être adapté, je peux enfin distinguer les couleurs et les formes.
Dans un premier temps je pus d'instigué un teint lise et bronzé qui ne pouvais être le mien, moi qui est toujours été très blanche. Je conclu vite quelle venais du mur de brique qui m'a plaqué contre lui un peu plus tout. Ce dernier me lâche en toute délicatesse, s'écarte et prend mon visage entre ses deux mains pour me regarder dans les yeux. Quand nos regard se croisent, mon cœur loupa un battement. Ce visage...si lumineux, ses cheveux blanc, mi-long, plaqué en arrière, la barbe naissante tout aussi blanche, un visage carré aux traits fin et raffiné et des yeux d'un bleu claire qu'on penne à regarder. Il est si...impressionnant, si doux et pourtant on pouvait sentir sa connaissance et sa sagesse dans son regard. Rien que de le regardé remue beaucoup de chose en moi, de l'admiration, du respect...
Il relâcha mon visage tout en me souriant, je ne pus m'empêcher de rougir, mais je ne me gênai pas pour le détaillé. C'est un homme grand, fort, un corps musclé par le travail, des cicatrices autour du front, sur les mains et sur les pieds. Il porte une chemise blanche au tissu très fin et léger, si léger quelle semble flotté d'elle-même. Sur ses jambes glisse un genre de...jupe ? Non, un kilt plutôt je pence. Oui sa dois surement être ça, d'un tissu plus léger, Blanc et déchirer à la base.
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I'm not Angel - Tome 1
General Fiction"Quand la vie décide de te laissé une second chance, elle ne te la cède pas si facilement. Tu dois la mérité et faire les bons choix."