Chapitre 1 : Le mystique jardin

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Il y'a près de deux ans, je m'étais retrouvé à une fête pour célébrer l'anniversaire de mon cousin. Je n'eu guère envie de passer une soirée à m'ennuyer devant le buffet sans pouvoir manger à ma faim pour faire bonne impression aux autres, enfin tout cela selon ma mère.
C'était un soir où la lune scintillait de mille couleurs et lumières où on aurait même pu distinguer ses cratères sculptés par la galaxie aux fils des siècles. Sur le chemin pour aller à la fête de mon cousin, je du passer mal heureusement en pleins soir de saisons glacière, en voiture dans la forêt domaniale de Fontainebleau. Sur la vitre du carreau on apercevait l'immense forêt de chênes qui s'accrochaient les uns aux autres qui formé un seule et immense arbre au feuillage gelé recouvert d'un épais manteau enneigé.
Je regardais tout au long de la route la forêt essayant de voir si la lumière réussissait à passer entre les feuilles, en vain.
J'arrivais enfin à cette maison, une magnifique maison jalousement copié sur celle de mes parents et pourtant je la trouvais plus belle la mienne. Une énorme allé avec un grand jardin, richement garnis de diverses fleurs et mêmes de fruits qui semblaient normalement pousser en été et non en hiver. À ma plus grande stupéfaction je remarquais des pommes, des cerises, des figues et mêmes des abricots . J'avançais dans l'allée et mes parents disparurent pendant que je restais étonné devant tant de choses surréalistes. J'étais là, devant la porte d'entré qui me semblaient assez surprenante puisqu'elle était immense, j'eu même eu du mal à réussir à tourner la poignet.
J'entendais des rires et de la musique provenant de l'intérieur mais je n'arrivais toujours pas à entré, je criais de toute mes forces et plus je criais plus j'avais l'impression que le vacarme de la fête était de plus en plus fort. Je fis alors le tour de la maison je ne remarqua aucune lumière allumé et je n'entendais plus la musique non plus, ni les rires et les conversions incessantes des invités.
Je courus vers la porte et le vacarme se remettait à augmenter de volume. Je ne savais plus quoi faire la lune brillait à peine et les fruits de metterent a pourrir, l'herbe à mes pieds se déshydratait à chacun de mes pas. Je ne serais pas vous expliquez que s'est-il passé mais l'immense porte était redevenu normal. Je me réconfortais en me disant qu'au moins je pourrai dès à présent pouvoir rentré mais j'avais comme une sorte de fatigue et je n'arrivais même plus à avançais, plus je mettais mon pieds droit devant et ensuite mon pieds gauche plus la porte s'éloignait fortement à mon plus grands désespoir. Et là devant moi, je n'arrivais pas à en croire mes yeux la maison s'éloignait de moi mais en même temps qu'elle montait en hauteur. Je décida de monter tout en haut, j'étais presque arrivé et j'avais cette fierté comme si un alpiniste avait escaladé l'Everest. Je me mis à courir pour ouvrir enfin cette porte qui m'avait donné beaucoup de travail.

Les portes changeantes ( Réécriture )Où les histoires vivent. Découvrez maintenant