Bon... Là, c'est du Green Day... Du rock et un classique pour ceux qui ont connu les années 90 et 2000! Voici donc "Oh Love" (le titre passant bien avec l'histoire, j'ai choisi celui-ci)...
Je suis désolée pour le temps que j'ai mis à écrire ce chapitre... C'était vraiment, vraiment difficile à écrire... Parce que ça ne part jamais dans le sens que je veux, je ne sais pas pourquoi... Voilà! Bonne lecture!
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Le samedi arriva assez vite. J'étais assez nerveuse, sans vraiment savoir pourquoi. Je m'étais souvent retrouvée seule avec lui, mais j'avais eu le sentiment que sa demande était spéciale.
J'avais demandé à ce qu'on invite Théodore, mais lorsque j'ai vu l'expression de Jérémy, j'avais abandonné l'idée. Ils s'étaient probablement disputés et je ne voulais pas qu'ils passent une mauvaise soirée.
Lorsque j'étais sortie de la salle-de-bains, ma mère me scanna de la tête aux pieds. Elle sourit en voyant mon pull, celui que je ne mettais qu'en de rares occasions.
- Rappelle-moi avec qui tu sors ce soir?
- Jérémy...
- Oh? En te voyant habillée ainsi et maquillée... J'étais persuadée que tu serais avec Théodore...
Je rougis.
- Pourquoi cela?
- Tu as une manière de me parler de lui différente des autres...
- Ce n'est pas vrai!
Encore plus rouge qu'auparavant, je partis me cacher dans la chambre.
Avais-je vraiment une manière de parler de lui si différente? Agissais-je seulement différemment avec lui?
La nuit commençait déjà à tomber, alors que je jouais du ukulélé. Du moins, que j'apprenais à en jouer. Cela aurait pu donner un rendu poétique, avec le paysage, si je n'avais pas fait autant de fausses notes.
On sonna à la porte, je me levai pour aller ouvrir, mais ma mère m'avait prise de court. Elle salua Jérémy et sa sœur , les invitant à entrer avec un grand sourire. Je fis exactement de même, par réflexe. Les chiens ne font pas de chats. Sauf si ces satanés scientifiques avaient trouvé un moyen pour cela... J'en doutais fortement...
Ma mère me lança un regard plein de sous-entendus lorsque je proposai aux invités à boire, mais que Jérémy, tout particulièrement, refusa et nous hâta tous les trois vers la sortie.
Nous sommes partis et avons fait la course, avec sa sœur. Courir ainsi avec d'autres personnes avait quelque chose de merveilleux. J'avais vraiment apprécié. Je fus celle qui gagna la course, Lydia était loin derrière nous. Elle faisait la tête à cause de cela, d'ailleurs.
Nous nous étions retrouvés près d'un parc, dont les grilles étaient fermées. On sauta au-dessus pour y entrer. Ce n'était pas très bien, c'était même totalement illégal, mais nous nous en moquions. Après tout, nous n'allions pas dégrader les lieux.
Je m'assis sur le banc que m'avait indiqué Jérémy. Il se posa à côté de moi tandis que sa sœur courait un peu partout. Il la rappela pour qu'elle vienne à côté de nous, afin de ne pas rater la comète.
- Je vais demander à avoir une montagne de chocolat, plus tard!
- Si tu nous le dis, ça ne se réalisera pas, Lydia.
Elle croisa les bras et bouda. Cela nous fit rire.
Lorsque la comète passa, plus personne ne disait rien. Lydia avait les yeux qui brillaient, et je pense qu'elle n'était pas la seule. Le ciel était clair, tout était magnifique. L'ambiance était parfaite. C'était vraiment un moment romantique, comme dans ces romans à l'eau-de-rose. Enfin, s'il n'y avait eu que Jérémy et moi, ç'aurait été le cas.
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Enfants de la science
Ciencia FicciónQue dire à part que je ne suis pas normale? oh! Je suis humaine, bien sûre, mais je suppose que vous ignoriez que les scientifiques se sont sentis obligés de faire des expériences sur des êtres de leur propre espèce en insérant divers gènes dans nos...