« Il est difficile d'accepter la vérité, lorsque les mensonges étaient exactement ce que tu voulais entendre... »
Non non non, il est temps de me laisser,
Les mauvaises nouvelles ne font que s'entasser.
Je laisse passer les gens, tout le monde est stressé,
Chacun se bat pour obtenir sa liberta.
Hayath
Aéroport de Orly | 19h17
Aujourd'hui on a eu un peu de monde, étant donné que nous étions en pleine période de vacance scolaire. J'ai passé une journée surchargé ne m'attendant pas à enregistrer autant de passager en une journée, j'étais vraiment exténuée. De base j'étais censée finir à 16h mais au final il est 19h passé, et je viens tout juste de terminer ma journée.
Heureusement pour moi j'ai 4 jours de repos et je compte bien en profiter, je pense qu'ils sont mérités, au vu de tous les heures supplémentaires que j'ai dû faire cette semaine, afin de ne pas rester cloîtrée chez moi toute la journée au vu des évènements passés au quartiers dernièrement.
Ce soir c'est seule que je rentre chez moi, Emma et Tara sont en repos ces veinardes et Yazîd je ne sais pas où il est je ne l'ai pas croisé de la journée. Je suis tellement fatiguée que je ne pense même pas à me changer et reste en tenue de travail. ( Très mauvaise erreur 🙄)
Je récupère donc mes affaires dans les vestiaires et me diriges vers ma voiture avec une seule hâte : rentrer chez moi !
Tans pis pour moi si je devrais me faire insulter une nouvelle fois, toute façon j'ai l'habitude maintenant...
[...]
En bas de chez face à mon bâtiment,
je reconnais quelques têtes des jeunes qui sont souvent présent. Heureusement pour moi ils sont moins nombreux que les jours qui on précédé, où ils affluaient dans le hall pour je ne sais quelles raisons.
Je me dirige d'un pas pressé vers l'entrée, je croise le regard de Nassim qui me fait un furtif clin d'œil, il est accompagné de ses amis dont la plupart je les déteste au passage, son clin d'œil qui se voulait discret mais que tous les garçons remarquent, quand je vous dis qu'ils sont à l'affût du moindre geste je vous ment vraiment pas. Je lui rend un petit sourire tout timide quand d'un coup j'entends....
- HAYATH ! crie une personne au loin.
Ne comprenant pas qui peut bien m'appeler de la sorte, je m'arrête donc net dans mon élan, sans pour autant me retourner dans la direction d'où provient cette voix.
J'entends des pats arriver, plusieurs personnes d'ailleurs et là un grand silence se fait entendre à travers l'entrée de l'immeuble.
Ayant horreur de me faire remarquer face aux gens, je pense que là c'est raté. Je voulais qu'une seule chose partir en courant sans même savoir qui étaient les personnes derrière moi et surtout que me voulaient-ils.
C'est à l'entente de cette phrase que je me retourna très lentement vers mon interlocuteur, le cœur serré et plein de rage.
Que faisait-elle ici bordel ???
- Alors on ne dit pas bonjour ?
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• Mon coeur malade •
Aktuelle Literatur« La maladie n'a qu'un droit, c'est le droit au remède. » Mon cœur est un abîme de souffrance, dont la profondeur est inconnue. On nous dis qu'il n'est guère possible de dissimuler une souffrance ? Et bien sachez que quand la souffrance s'abat sur v...
