Poèmes D'amour et D'eau fraîche

Affirmation

Je t'aime à la folie ma dulcinée...
Hé puis merde, marre de chercher,
ces vers et verbes par milliers,
aujourd'hui je veux juste te le montrer.

Je suis a toi comme Einstein est à la science
Comme une sorte d'énorme évidence.
Cette fois c'est décidé je me lance
Je t’écris ces vers pour te montrer ma romance.

A jamais te quitter,
Plus jamais ton cœur blessé,
Ma flamme n'en sera que plus élevée,
Pour ne plus jamais s’engueuler...

Voilà quelques vers pour te faire comprendre,
Que même lorsque tu pense au méandres,
Car comme le Phoenix ou la salamandre,
On renaîtras de nos cendres !

Je t'aime comme jamais ma femme,
Le feu qui brûle est bien plus qu'une flamme,
Avec mon cœur tu as utilisé le sésame,
Tu est entré et as tout brûlé au lance-flamme.

Une envie de te montrer la lune,
De mon amour je montrais une fortune,
La nuit augmenter le volume,
Et que notre peu a peu notre énergie se consume.

Je suis ne suis pas un prince charmant,
Je suis loin d’être un charlatant,
Aujourd'hui c'est le cœur aimant,
Que je t'écris tout en chantant.

Oui, je veux te le démontrer,
Que l'on peut t'aimer, jusqu'à en chialer,
Que l'on peut t'aimer, jusqu'à en crever,
Que l'on peut t'aimer, jusqu'à s'en droguer.

Oui je peux te l'affirmer,
Que l'on peut t'aimer, a ne plus savoir compter,
Que l'on peut t'aimer, a en perdre son identité,
Que l'on peut t’aimer, a ne plus savoir quoi penser.

Je veux que tu le sache,
Que je t'aime, non pas comme un lâche,
Je ne veux pas qu'on se cache,
Te prouver que tu ne fait pas tâche.

Certes, tu est loin d'être parfaite,
Mais pour moi tu est cette femme qui me complète,
A la perfection je dois bien l'admettre,
Pour moi, tu en es la femme parfaite.

Tu est la femme de ma vie,
Reste avec moi je t'en supplie,
Quand je te vois j'en pâlit,
D'autant de beauté réunie.

Seule tu emplis mes pensées,
Même en restant réveillé,
Je pense encore rêver,
Faudrait ptet que j’arrête de te désirer...

J'ai envie de te dorloter,
Puis ensuite pouvoir te câliner,
Peau a peau se serrer,
Et enfin finir par se toucher...

Tu me manques mon amour,
Marre de ce tour par tour,
Ça commencer  me peser lourd,
De ce voir que tout les quinze jours...

Tu me consume mais me crée,
Je suis bien loin de la vérité,
Mais aujourd’hui je veux juste t'aimer,
Et penser au nous de l'éternité...

J'espère bien te le faire lire,
Je veux grandir au rang de sire,
Ne pas rester des statuettes de cire,
Au meilleur, plus le meilleur et pour le pire...