la fille de ma classe 08

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#les chroniques d'Alph@héritier#

*"La Fille de ma classe"*
*Chapitre : 08*

J' arrive enfin chez luc.

ding ding je viens d'appuyer sur la sonnerie.je patiente un moment tout en vérifiant si j' avais pris ma carte bancaire.

Mes parents m'avaient ouvert un compte bloqué sur lequel ils versaient de l' argent depuis mon enfance donc maintenant on peut dire que j' ai une pétite fortune qui dormait tranquillement a la banque et qui ne demande qu'à être utiliser . J' ai donc pas faits recours au parents pour les achats à venir je ne les ai mêmes pas informé comme quoi il faut quand même que je me coupe peu à peu du cordon familiale.

La porte tardait à s'ouvrir. Je m impatiente il est entrain de faire quoi?

J' appuie de nouveaux sur la sonnerie et quelques instants, voilà luc qui vient m'ouvrir la porte. il me fit signe de rentrer ce que je fais sans poser de questions.

Une fois à l' intérieur, luc fît volte-face me regarde dans les yeux puis déclare:<< avant que je ne t' autorise à t' assoir tu te dois de tout me narrer dans les moindres dètails. Vas-y je t' écoute>>.

luc avec sa curiosité mais il devait attendre j ai pas du tout l' intention de l'obeïr ni de lui raconter tout ça debout. Je lui lance un regard noir puis je tourne les talons direction la porte.

Surpri, il m' interpella vivement :<<mais tu vas ou comme ça?>>

J'aime bien le narguer une fois en passant j'adore quand il capitule. il fait un de ces visages de chien battu.

  fière de moi je réponds avec ironie:<<là où on m' offrira une chaise avant de me passer à un interrogatoire. >> suivi d'un sourir sadique.

<<Toi aussi tu ne savais pas que ce n' était qu' une blague? Allez vient t' assoir et raconte moi tout>> retorqua ce dernier.

Je savais que ce n' était qu une blague mais il fallait jouer le jeu. J' offrais toujours une opposition à luc ce n'est que comme ça que je pouvais le contenir.

Je m' arrangeais toujours d'avoir le dernier mots.

D'ailleurs c' est a cause de nos différents qu' on est de si bons amis.

Alors tant qu' on y est il va falloir prolonger le suspense.

Luc sera dans l' un de ces états mais il finira par se calmer.

Une fois installé au salon, Luc me fixait dans les yeux sans un mots mais son regard en disait long: allez vas y raconte et moi au lieu de lui faire plaisir je pris un vilain plaisir de le voire se torturer de l' intérieur.

Enfin je brise le silence pas pour lui faire plaisir mais pour sceller de plus belle sa situation.

- eeuh
A ce son je le vois écarquillés les yeux comme un enfant qui attendait impatiemment son cadeau de fin d' année je poursuis donc sur mon lancé

-Luc, je peux avoir un peu d' eau s' il te plaît? Je meurs de soif.

- et merde! tu peux pas le dire plus tôt? Chiala t-il.

- je viens de le dire non? Dépêche! je meurs de soif.affirmai je tout calmement avec un sourire maligne.

Il s' èxécuta tant bien que mal et me rapporta deux bouteilles d'eau . Il à compris que j' étais entrain de jouer avec ses nerfs et a donc décidé d' être prévoyant.

Je tourne alors mon regard vers luc après m' être désaltéré.

- mon frère que veux tu savoir?lui demandai-je

la fille de ma classeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant