la fille de ma classe

la fille de ma classe 34

#Les chroniques d'Alph@héritier#

*"La Fille de ma classe"*
*Chapitre : 34*

Nous étions là tous deux à bavardigeoner de tout et de rien, malgré une certaine nostalgie dans la voix d' Edwige, elle est plus décontracté, plus destressé.

elle vient se plonger dans mes bras , nous restons collé l'un a l'autre comme si l'un de nous allait disparaître.

Nous deux suspendu dans le temps et dans l'espace loin du bruit et de la pollution de la ville, à la belle étoile,  contemplant le ciel étoilé et éclairé par la lumière faible de la lune je payerai tout pour ne pas être ailleurs qu' ici maintenant.

Et nos paroles se ratifient,  que pouvons-nous dire encore? Aucun mots ne peut traduire ce moment féerique. Cette amonie que nous confère dame nature,  ce sentiment qu' éprouve mon coeur, mon amour, ma joie de vivre, mes paroles, mes mots, c'est cette fille je le sais et elle le sais.

Sa tête sur ma poitrine, le regard perdu dans le vide, le visage, scintillant, illuminé par la clarté des étoiles, je la contemple.

Sa beauté si déroutante me fascine, son amour m'émerveille, le temps semble être figé et le monde semble se réduire a nous deux la vie a cet instant.

Notre silence communique plus que nos paroles.

-Edwige tu es sublime ce soir.

Elle se contente de sourire ce sourire suave qui me fais fondre comme du caramel au soleil

-je t'aime Edwige et je t'aimerai pour le restant de ma vie.

-je t'aime aussi Ed

Une larme s'échappe de son œil gauche il fait son chemin en longeant le long de sa joue. Du revers de la main je le nettoie.

-non! Princesse pourquoi tu coule des larmes tu n'as pas le droit de pleurer aujourd'hui je te l'interdit.

- Ce sont des larmes de joie Éd merci de m'aimer autant. merci de me faire vivre ce moment merci Ed.

Pour toute réponse je me saisis de ces lèvres pulpeuse que j'embrassai langoureusement et très sensuellement elle me répond avec fougue.
Devant ces lèvres qui en demande plus je me laisse entrainer.

Elle se lève et vient s'assoir sur moi en califourchon tout en continuant de l'embrasser,  aidé par mes mains je la caresse le dos,  suvis de quelques baisè dans le cou je continue mon travail, mes main longe le long de son corps pour s'arrêter au niveau de ces seins qui pointe déjà leur bout durci par l'excitation.

je les massai tendrement avant de les emprisonner dans mes lèvres a tour de rôle avec ma langue je les lapes tout doucement.

la ferveur est a son comble Edwige gémi de plaisir tout doucement Je l'aide à enlever sa robe fait en satin.

elle est a présent en boxer.  je l'a pose délicatement sur le drap elle délit les ficelles de ma culotte, ce que j'enlève puisqu il gêne mon engin qui s'est déjà durci.

Je l'a caresse le long du corps je lui dépose des baisés un peu partout. Ma main poursuit sa migration exploratoire jusqu'à son entrejambe.

je caresse son minou toujours sous sa pétite culotte que j'enlêve peu après.  je la contemple avec abnégation et sans voix.

elle est belle, son corps si parfait c'est une déesse, ma déesse. Je la ramène vers moi nous sommes tous deux à poils dans la nature.

je glisse mes doigts dans ces cheveux,  l'embrasse a nouveau tout doucement et avec sensualité.  je caresse son ventre, poursuit mon action jusqu'au bas ventre pour la découverte de son entrejambe que je caresse doucement puis a l'aide de mon majeur je m'introduit en elle délicatement.