la fille de ma classe

la fille de ma classe 22

#Les chroniques d'Alph@héritier#

*"La Fille de ma classe"*
*Chapitre : 22*

Pdv Edwige

Ça fait une unième fois que je compose le numéro d'Edouardo mais toujours pas de réponse il ne décroche  pas. Même pas de réponse à mes méssages.

J' ai un mauvais pré-sentiment ce n' est pas dans ses habitudes de ne pas répondre au téléphone. Il ne m'a pas dit qu' il sera occupé. Est-il possible qu'il lui soit arrivé malheur? mon cœur rate un battement juste a cette pensée.

Il faut que j' en ai le coeur nette. J'enfilai rapidement une robe décontractée noire je me saisi de mon sac à main et mon fenty au pied, quelque minutes plus tard me voila engouffré dans un taxi direction le quartier Adjololo vers la frontière beat nine Togo-Ghana espérant trouvé Ed a la maison afin d'avoir la conscience tranquille. Que puis-je faire d'autre?

Quinze minutes plus tard nous voici dépassé le commissariat central engageant ainsi le boulevard avenue Nicolas Grunisky le domaine d'Ed  ne se trouve qu' à quelque kilomètres au bord du boulevard.  mon cœur se serra mes mains deviennent moites mon sang fit un tour. Je restai coi en éssayant de garder mon calme. 

Tout d'un coup,  je suais a grosse goutte j'ai un mauvais préssentiment il y a un truc en rapport avec Ed et moi qui se trame et ça sent pas bon j'en ai presque la certitude mon intuition de femme m'alerte une forme de sixième sens  pourtant j'éssaie tant bien que mal de dominé ma crise de panique en  me disant que ce n'est que mon imagination qui me joue des tours  et qu il  n'y a rien de grave.

Je sursautai en entendant le grincement des pneus du taxi qui vient de s'arrèter juste devant la maison d'Eduardo mon coeur rate un battement l'atmosphère devient relou et l'air de plus en plus irrespirable cette situation n'a fait que duré un peu trop je ne sais pas de quoi il s'agit mais il faut que j'en ai le cœur nette.

Je me jetai hors du véhicule telle une fuirie pour prendre d'assaut la demeure des Dos Santos dans une péripétie pratiquement incommode sentant ma peur monté a chaque avancé mon cœur en feu tellement ses battement étaient accélérer qu' on se croirait sur un champ de guerre mon estomac en vrac mon état d'esprit en vrille,  ma respiration saccadée, plus rien n'était sous mon contrôle j'agie comme un automate aspiré par un votex et dans cette précipitation galvanisée par tout ces sensations,  oubliant ainsi de régler mon addition.  Je suis très vite ramenée à la raison par mon taximan en questions très déterminé a encaissé sa ration. ..

- Hey! Mademoiselle , vous croyez être venu avec la voiture de votre père?

M'interloqua sévèrement  l'homme
toujours assis au volant l'air serein le visage ferme et endurci montrant ainsi que la vie ne lui a vraiment pas fait de cadeau l'indexe tourné en ma direction sous forme de menaces.  Je retounai donc désolé .

-Excusez moi monsieur celà m'a échappé  je suis navré j'avais les idées ailleurs. Lui dis-je en lui tendant un billet de deux mille tout en lui signifiant de garder la monnaie.

-bah moi non!  retorqua le conducteur de sa voix grave. Vous les jeunes d'aujourd'hui vous courez dans n'importe quelle direction oubliant ainsi l' essentiel on aura tout vue avec cette génération.

Après cela il démarre son moteur et parti en trombe en s'engageant dans le circuit   moins dense pour disparaître au large des ruelles de Nyékonakpoè.

Je me ressaisis .il est dix huit heure passé d'une vingtaine de minutes coeur battant l' âme saillant animé par un présentiment aux origine multiforme je vérifie une dernière fois mon téléphone comme pour me rassurer toujours pas de nouvelles j'appuie sur la sonnerie seigneur faite qu' il ne se passe rien de grave je patiente et toujours personne qui se pointe a l'horizon je rééssaie de nouveau cela dure une éternité l'attente était insupportable enfin le grincement de portail je retiens ma respiration ma sensation était à son paroxysme je me demande par quelle force suis encore sur mes deux pied...