la fille de ma classe 28

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#Les chroniques d'Alph@héritier#

*"La Fille de ma classe"*
*Chapitre : 28*

Pdv Edwige

Après le coup de fil de Luc c'était comme si je venais de recevoir une douche froide en plein harmattan je tremblais de tout mon corps et mes mains étaient toutes moites je restai coi un moment pendant que les mots agressé et dans un état critique tambourinaient une mélodie cinique qui me fis plonger dans un mélancolie adulée des sentiments de cupabilité.

Moi qui étais ici a le morfondre, le traitant de tous les noms, pendant qu' il était dans les mains de ses bourreaux entrain de se faire agresser ...

je ne suis même d'ou m'es venu la force de me lever et de me retrouver dans ma chambre car j'étais dans un état second mes pupilles dilaté mes yeux larmoyant ètaient plongés dans ma garde robe je trouvai une robe noire traduisant mon humeur du moment que j'enfilai sur mes chaussures fenty de couleur rouge.

je déballai les marches par quatre je ne sais plus ce qui m'arrive mes sens étaient comme sans contrôle c'était comme s'il y avait un décalage entre mes actes et ma pensée je me retrouvai faisant un sprint pour sortir de la maison je ne me savais pas aussi athlétique nulle t'été la vigilance de notre Virgile j'allais lui rentrer dedans.

Les excuses c'étaient pour plus tard il comprendra. je l'entends me demander ou j'allais aussi tard dans la nuit et pourquoi j'étais aussi tourmenté?

  Ça faisait beaucoup trop de questions et j'ai pas le temps de répondre même si je n'avais pas le contrôle de toutes mes facultés,   une chose dont je suis sûr est que Ed est dans un état critique et qu' il y a une force invisible qui me pousse vers lui.

Pour toute réponse je réussis a lui dire d'informer mes parents que je suis au CHU.

Quelques minutes Après me voila dans un Taxi roulant vers l'hosto mes mains tremblent toujours et ma respiration saccadé le regard sur le paysage routier constitué de maison de boutiques d'immeuble qui défilait au fur et a mésur que la voiture avançait.

- mademoiselle vous allez bien? 

Pour toute rèponse je fais un signe positif de la tête mais celà ne semble convaincre le bon monsieur.

-vous me semblez préoccuper toute pâle et tourmenté. C'est un parent ?

- non! Un ami.

- vous devez vraiment l'aimé pour être dans cet état.

-...

- je Comprends votre mutisme. Je suis aussi passé par là lorsque ma femme a subi un viol collectif perpétré par des individus véreux malintentionnés.
Celà m'a tellement bouleversé que je n'arrivais plus a conversé a personne même pas a ma femme convalescente.
Elle a fini par s'en aller non pas parce qu' elle a succombé a ces blessures mais parce qu'elle a manqué de mon soutient a travers mes mots.
Je ne sais pas ce qui t'arrive jeune fille mais sache que pour cet ami tu dois être forte  tu dois évacuer se chagrin et parler est le seul moyens de te vider cela te permet de te sentir soutenu mais le silence te rongera de l'intérieure jusqu'à te détruire complètement en plus cela n'aidera en rien le souffrant si son entourage est triste.
En effet c'est à vous de lui communiquer la vie a travers votre gaieté. 
Dans les moments difficiles trouve toi un confident quelqu'un qui saura t'écouter te conseiller et te guider mais ne laisse pas le silence te rendre hystérique et anxieuse.  Trouve référence dans les saintes écritures et confie ta situation a Dieu lui seul pouvoira courage...

Je laissai le monopole de la parole au bon monsieur j'avoue que ces conseils me sont d'une utilité inimaginable c'était ce dons j'avais besoin je retrouvai mon calme et le contrôle de mes sens je suis plus sereine du moins ce que je croyais jusqu'à ce que le véhicule ne s'immobilise devant le grand bâtiment du CHU je manquai un battement une peur bleu m'envahi je restai glacé sur mon siège seule la voix du taximan me ramène a la réalité.

- Nous sommes arrivés ma fille

Me voyant sans réaction il poursuit

- Il est temps d'affronter votre peur il vous faut d'être forte non pas pour vous mais pour votre ami courage.

Je lui tends un billet de mille qu' il refuse en me disant qu' il n'est pas un conducteur de taxis c'est a ce moment que je m'aperçois de la climatisation de la voiture et une fois sorti je puis me rendre compte que c'était une voiture personnelle comment me suis je retrouvé dedans je n en est aucune idée.
  Il me tend sa carte  que je pris soin de mettre dans mon sac je le remercie pour tout et pour les conseils en lui faisant la promesse de les suivres il me demanda aussi de ne pas hèsiter à l'appeler  je lui fis comprendre que je n y manquerai pas je le vis s'éloigné avant de rentré tout narquois dans le hall de l'hôpital  je me dirige tout droit vers la réception.

- Bonsoir madame
Dis je une fois au niveau de la réceptionniste.

-Bonsoir mademoiselle que puis je faire pour vous?

- Je recherche un jeune homme  qui a étè amené ici plutôt dans la soirée.

- A quel nom a t-il été enrégistré?

- Eduardo dos Santos enfin je crois .

- Oui oui il est aux urgences dans la salle de réanimation dans le pavillon militaire. Salle 35

- Merci madame.

Sur ceux je m avançai par tâtonnements le coeur meurtri au bout de la dépression mes jambes groemoltant vers la salle en question  le coeur battant  les pats mal assuré me voici devant la fameuse chambre 35  je n'arrive plus a contrôlé ma respiration mon cœur s'emballe je sents ma gorge se noué ma respiration était devenu très difficile je sentis ma pression monté et mon sang bouillonné je transpire a grosse goutte de sueur mais jambes était paralysées et je redoute ce qui pouvais se retrouver dèrrière cette porte tant bien que mal, j' empoignai la porte qui en s'ouvrant fit un bruit grissonnant qui me tétanisa je suis tombé sur la maman d'Ed conversant avec luc alarmé apeuré inquiète ce qui fit monter en moi une tension morbide je pose mon regard sur l, occupant du lit je manquai deux battement je sents mes pieds m'abandonné et mes mains tout tremblant je m'accrochai fermement a la porte mon seul soutien personne je crois ne s'est aperçu de ma présence

-il va mourir si on ne trouve pas de donneur il va mourir.

Cette dernière phrase de maman Ed résonne comme une cloche dans ma tête.

-Mais qui va mourir?

Rassemblant mes dernières forces dans cette phrase puisque je sentis cette dernière m'abandonné je réussis quand même a attiré l'attention sur moi puisque tous se retournaient pour me regarder.

je n' eus pas le temps de rèpéter ma demande que je n'arrive plus a respirer mon regard devenait de plus en plus floue et mes jambes m'abandonnés j'eus le temps de constater que je faisais une chute libre vers le carreau abandonné par mes forces tous les événements se défilait dans ma tête jusqu'à notre dispute et le rendez-vous j'avais prévu le pardonner et faire table rase du passé et si c'était la fin et si il s'en allait sans savoir que je l' ai pardonné?
Il eu un déclic dans mon cerveau  je me vois rentrer dans un spirale sans fin jusqu'à ce que je ne disparaisse complètement dans un trou noire.

À suivre...

*#Alph@héritier#*
#Mario TENOU (Facebook, wattpad, Instagram)
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la fille de ma classeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant