Une vie en un jour (partie 2)
Quelques années après la bataille de Poudlard...
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- J'ai toujours voulu t'impressionner, attirer ton attention en faisant des bêtises à tout bout de champs.
Je t'ai trouvé intéressante dès ton arrivé à Poudlard, tu étais cette petite chose fragile et intelligente. Je ne voulais pas te quitter, tu étais ma source de lumière et de bonheur.
Quand tu as été pétrifié, j'ai été plus touché que l'ensemble de mes frères. Je m'étais promis de te protéger, mais j'ai échoué.
Durant ma cinquième année, j'ai compris mes sentiments pour toi, tu étais tellement intrépide et belle. Tu t'étais enfin réveillée.
Lors du Tournois des Trois Sorciers, j'ai voulu t'inviter, mais tu as hurlé à Ron que quelqu'un l'avait déjà fait et que tu avais accepté. Alors je n'ai pas insisté, et quand je t'ai vu arrivé durant le bal, je jure n'avoir jamais rien vu d'aussi beau que toi. Mais, mon frère à gâcher ta soirée, et je ne le remercierai jamais assez pour ça. Ne soit pas fâcher mais c'est grâce à lui que j'ai pu venir te consoler.
Et puis pendant ma septième année, je suis devenu de plus en plus protecteur, j'ai détesté que le crapaud rose s'en prenne à toi, ça m'a mit hors de moi, George en a été témoin.
Et je suis partis, je t'ai laissé aux mains de cette affreuse femme, si tu savais comme je m'en suis voulu !
Mais la vie a continué, nos chemins se sont considérablement éloignés, j'avais le magasin... et toi tu avais encore deux années à Poudlard... Je t'écrivais tout les jours pour conserver ce lien qui nous unisait si bien toi et moi...
Mais toi, tu as décidé de partir... Je ne pouvais pas t'en vouloir, au contraire. Je ne pesais pas dans la balance, entre moi et Harry, tu l'aurais forcément choisi, et je ne t'en aurais pas voulu. Comment le pourrais-je ? Tu as sauvé le monde, tu t'es mise en danger, tu t'es battue contre les plus horribles mangemorts qui puissent exister.
Et tout les jours sur Potterwatch, j'espérais que tu nous écoute de là où tu te trouvais. J'espérais que tu sois derrière la radio à attendre mon petit message quotidien...
Et puis vous êtes réapparu tout les trois chez Bill, quand il nous a prévenu je n'ai pas hésité une seconde pour venir.
Et tu t'en es sortie.Le jour de la bataille tu étais là... Si près de moi... Je suis resté figé en te voyant, les cheveux poussiéreux, le visage amaigri, le sang sur tes mains. Même ainsi tu étais belle.. Puis tout c'est passé très vite, et ce fût le noir complet. Plus rien, plus de sensation... sauf un cri, un prénom, répété maintes et maintes fois, cette voix... ta voix... Je voulais me lever, savoir qui te faisait pleurer et crier ainsi, je ne supportais pas t'entendre souffrir, je voulais te sauver. Alors j'ai tenu, pour toi et soudain je me suis sentis mieu.
Et quand il m'a enfin été permit d'ouvrir les yeux, le décor avait changé, tout étais si blanc, si impersonnel. Si je n'avais pas été aussi perdu j'aurais sûrement fais une remarque sur ce manque se décor ! Je n'étais plus à Poudlard, je me suis assis pour mieu observer les environs. Est-ce que tout ce que j'avais vécu était un rêve ? Je ne voulais pas que tu sois seulement un rêve. Mais la porte c'est ouverte, tu étais là, en pleure mais un sourire aux lèvres. Et tu as courru vers moi, je n'ai pas pu me retenir. Cela a été notre premier baisé, c'était un moment si magique que mon jumeau n'a eu qu'une seule idée, faire tombé sa tasse de café à l'entrée de la chambre...
Et maintenant, nous sommes là, tous réunis pour le plus beau jour de notre vie. Et moi, Frédérick Gideon Weasley, je te prends pour femme, toi, Hermione Jean Granger. Pour le meilleur et pour le pire, dans la richesse et dans la pauvreté, dans la joie et dans la tristesse, dans la santé et dans la maladie. Je t'aime Mione.
Que pouvons nous dire de plus ? Ces deux êtres si différents, si opposés, et pourtant si complémentaires. L'assemblée elle même retenait ses larmes. Si cela n'était pas une preuve d'amour, qu'était-ce donc ? Fred et Hermione se regardaient dans les yeux, ils leur étaient impossible de briser ce contact. La pauvre mariée pleurait, et son presque mari lui essuya les quelques larmes qui faisaient leur chemin sur ses joues. Le Ministre scella leur amour et leva sa baguette.
- Je vous déclare donc Mari et Femme, vous pouvez embrasser la mariée.
Ni une, ni deux, ils s'embrassèrent pour la première fois en temps que M. et Mrs. Fred Weasley.
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Hello !
Désolée du retard de OS, même pendant les vacances j'étais débordée, mais j'arrive avec de nouvelles idées, et si tout ce passe bien, je publierai une histoire assez particulière d'ici la fin de semaine prochaine !
Allé, merci d'avoir lu, salut !
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Les Petites Histoires des Couloirs de Poudlard
FanfictionVoici un recueil d'os sur l'univers d'Harry Potter. Ces histoires peuvent se dérouler avant ou après a guerre, elles peuvent interférer dans l'histoire d'origine et certains personnages peuvent revenir à la vie. Toutes les histoires qui seront écri...