7. Chapitre IV : Le Début d'une histoire réelle

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LE SECRET

Nous étions sur la route pour la maison, c'était déjà tard, nous étions épuisés tous, Marvin et son père étaient partis directement chez eux.

J'avais mon journal sur moi, car je le considérais comme mon meilleur ami.

J'écris pour me souvenir si quelque chose m'arriver ou peut être si je veux juste me rappeler.

A la maison quand je n'avais rien à faire, je me mettais à dessiner dans mon deuxième journal que j'appelle 'Le mystère du dessin'.

En fin nous étions arrivés à la maison. Après avoir fini à dîner avec mes parents, je suis allé dormir ; j'étais honnête pour moi-même, ma sixième sens ne m'a pas trompée : mes parents s'entendaient déjà, je les ai vus de mes propres yeux comment après dîne ils se regardaient mutuellement et puis ils sont allés à l'extérieur tout les deux ensembles admirer les étoiles. C'était exactement comme dans le siècle dernier.

Demain à l'aube du jour, Marvin est venu me réveiller dans un cauchemar que je faisais.

- J'ai rêvé à quoi l'air la suite de l'histoire avait. Dis-moi que ce n'est pas un film américain que tu m'as narré hier?

Marvin était très motivé je ne savais pas pourquoi?

- Quoi?

- Je plaisantais. J'ai toute la journée ici, nos parents vont aller je ne sais où exactement mais je pense que visiter notre ferme peut-être, à leur retour mon père viendra me prendre ici si tu termines tard.

Je me posais multiple questions dans ma petite cervelle, tout ce que je voyais c'était Marvin dans ma chambre à sept heure du matin.

- Désolé Marvin, je viens d'un horrible cauchemar, c'est sérieux. Mais ça va, tu as dormi à quelle heure hier soir pour te réveiller si tôt ce matin?

Je me suis levée de mon lit.

- Comment toujours, à neuf heure du soir. J'ai l'impression que d'aujourd'hui ça sera parfait pour tout le reste.

- C'est rien, mais d'abord seulement un paragraphe et le reste après le petit-déjeuner

-Sans commentaire. Disons que, on peut le dire de cette manière.

J'aime beaucoup ce garçon, il me rendait jalouse de tous les africains.

Dehors le climat était froid, je me suis couvert les jambes et les pieds jusqu'aux orteils avec mon couvre-lit ; Marvin lui s'est assis près de moi au lit, me laissa continuer.

Je lui ai lu deux paragraphes dans cette matinée, les autres seront pendant la journée.

Le jour-j de la soirée, Emmanuel se sentait mal alèse pour avoir abandonné dans sa bataille, il ne voulait pas comprendre rien de plus, il perdrait progressivement son regard souriant ; tous ses compagnons savaient que quelque chose n'aller pas bien chez lui.

Il n'amenait aucune photo pour son édition depuis ce temps-là passé, il perdra encore son job.

LE SECRETOù les histoires vivent. Découvrez maintenant