une célibataire à marier avant le printemps

Seule contre tous 5

L'homme qui devait faire de moi sa femme m'avait quitté car sa famille l'avait monté contre moi, cette famille me considérait comme une sorcière je ne savais le pourquoi. Mais quel triste sort.
Mon père ne voulais plus me parler car pour lui je déshonorais de plus en plus la grande famille DUME.
Mes tantes aigries en l'absence de mon oncle SHAFEL était venu voir mon père pour qu'il me marie au fils du voisin.
Mon frère SYRE qui appris cette histoire par hasard,m'en fis part.

Me revoilà dans une nouvelle course. Mais c'est quoi cette famille de dingue?
Le fils du voisin qui était pour moi comme un frère. Il avait fricoté avec toutes les petites filles du quartier. Et j'aurais même appris qu'il avait mauvaise haleine.
Mon Dieu malgré toute leur richesse je ne pouvais l'accepter.
Il fallait relever le défit je ne savais quoi faire!
Heureusement ma mère malgré son amitié avec la femme du voisin n'était pas d'accord. Elle m'avait défendue et avait refusé cette stupide décision.
Tout sa juste une semaine après ma rupture avec DICKE. Je ne savais plus où poser ma tête j'étais tellement dévasté. Mais il fallait que je me marie à tout prix car mon père ne me laissera jamais tranquille.
Mon père toujours dans son idéologie du 1er siècle menaçait ma mère de la répudier.
Cette fois ci ma mère était prête à tout pour moi. Mais je ne pouvais le permettre. Détruire le mariage de ma propre mère à cause de mon célibat?
Il fallait que je fasses quelque chose. J'appelais mon oncle mais il ne décrochais pas. Puis 30 min plus tard mon téléphone sonna.
           SHAFEL. : ma fille tu m'a appelé 21 fois
           Moi.  : oncle, les tantes et père veulent me donner en mariage à RIHATE
           SHAFEL. : quel RIHATE ?
            Moi. : le fils du voisin! Aide moi stp
            SHAFEL. : attend. Ne pleure pas .Raccroche ils vont m'entendre
            Moi. : merci mon oncle.

Mon oncle aussi incroyable qu'il était, avait réussi par je ne sais quel miracle effacer ce projet de leur tête. J'étais à nouveau libre de mes choix.

Papi si tu étais là tu aurais pu m'expliquer ce qui m'arrivais.

À suivre .

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