une célibataire à marier avant le printemps

Image de peur 9

Je ne comprenais rien de la vie. Célibataire endurcie. Ceux qui voulaient m'épouser m'avaient laissé, maintenant plus personne ne voulais de moi.
Mon père quant-à lui ne voulais plus s'en mêler mais il n'avait pas oublier son ultimatum.

Il ne restait qu'un seul mois pour me trouver un mari. Je ne pouvais même pas en chercher. Car BOUMEN me manquait. Je me rappelais de ses promesses, surtout celle du soir ou je lui avait proposé notre mariage.
Il m'avait promis de tout faire pour que je l'aime autant qu'il m'aime. Il avait réussi à prendre mon coeur mais le prix à payer c'était son départ du monde des vivants.
Tristesse, amertume, souffrance.
J'essayais de joindre mon oncle ainsi que sa famille mais aucune réponse, Jusqu'au moment où j'étais partis chez eux, mon cousin WENER m'avait accueillis à la devanture et m'avait supplier de ne plus venir chez eux car j'étais un oiseau de malheur.
3 jours après cet affront avec mon cousin, oncle SHAFEL m'avait appelé et m'avait expliqué que la tradition voulais que la veuve avant le mariage ne s'approche de personne pendant 1 an pour éviter une autre tragédie. Je n'avais jamais entendu sa. Mais quelle était cette raison bidon pour se débarrasser de moi. Mon oncle c'était un rêve!
J'étais devenue celle que tout le monde craignait.

La nuit j'entendais la voix de BOUMEN qui me disait de ne pas pleurer. Qu'il était partit pour que je sois heureuse. Qu'il sera toujours là pour m'aimer et me protéger.
J'étais effrayé cette nuit la car j'avais l'impression de l'avoir sentis tout près de moi, par la suite j'étais soulagé car lui il s'avait au moins que je n'était pas porteuse de malheur, ni une sorcière et que je ne l'avais pas tué.

Je regrettais vraiment BOUMEN. Il serait un ️mari parfais si Dieu nous avait laissé une petite chance.
Les jours passèrent et dans une semaine mon père auras le droit de me mettre dehors car j'était toujours célibataire, je ne savais quoi faire. Personne n'était près à me défendre. J'étais seule, je faisais peur.

À suivre .

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