Le stagiaire

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Pdv extérieur

En ce beau jour de printemps, les deux sœur, Huguette et Marguerite, étaient à la messe habituelle du dimanche. Il parais qu'il y avais un stagiaire qui allais venir, pour en être sûre Huguette, dans un murmure, demandait à son amie si c'était bien le cas.

Huguette : Dit c'est vrai que il y a un nouveau stagiaire qui viendra ?
Marguerite : Oui, vers 15h30 normalement, personnellement je lui souhaite bonne chance... 

Elles riaient doucement pour ne pas se faire attraper par le curé.

Huguette : Il s'appelle comment ?
Marguerite :  Il me semble que c'est-

Elle n'avait pas le temps de finir, qu'elle fus coupée par Gaëtan qui, par agacement, avait frapper sur son pupitre.

Père Gaëtan : Marguerite, aurais-tu l'obligeance de fermer ta gueule ! Merci.
Marguerite : Mais j'ai pas parler azy !
Père Gaëtan : Hé fait pas la maligne avec moi wallah !
Marguerite : Tu va faire quoi ?!
Père Gaëtan: azy t'sé quoi ?! Rendez vous dans mon bureau à 14 heures pile, on va voir si tu fait encore la belle ! Bien reprenons mes sœur.

Huguette était choquée par la situation qui avait dégénéré et par la violence du jeunes curé. La messe s'était terminé dans le calme, il était 13h55, Marguerite devais se rendre dans le bureau de Gaëtan.

Pdv Marguerite

Rha il m'enerve ce curé avec ses air innocent et saint alors que c'est un gros pervers qui convoque des nonnes pour tout et n'importe quoi, parce que je sais très bien ce qu'il se passe dans son bureau quand il se retrouve seul avec l'une d'entre nous. Il est actuellement 13h56 il faut que je me dépèche de me rendre dans son bureau, je cache quand même un cuteur dans ma chaussure on sais jamais, je n'ai pas l'intention de le tuer ou quoi que ce soit mais une coupure par ci par là lui remettera les idées en place. Je sort du dortoirs d'un pas précipité, prèsque en courant et heureusement que c'est pas loin. Je suis enfin devant cette porte en bois avec écrit dessus "Gaëtan Legeux" je toque et sans attendre une reponse je rentre.

Père Gaëtan: Et bah alors Marguerite, il est 13h58, vous etiez préssée de me voir ? Me dit-il avec un sourir pervers.
Moi: Absolument pas, que voulez vous ?
Père Gaëtan: Alons alons Marguerite, on peut se tutoyer, on est suffisament proche pour se permettre ce genre de chose n'est-ce pas ?
Il s'était approché de moi de manière à ce que je recule et que je me retrouve contre son bureau. Je pouvais sentir son souffle sur mon oreille qui me procurait des frissons de dégouts.
Père Gaëtan: Tu as été vilaine pendant la messe, je vais devoir te punir...

Pdv Huguette

J'ai peur pour Marguerite, je sais qu'elle peut largement se défendre toute seule mais avec ce garçon ça peut partir dans tous les sens, ils vont surrement se battre je le sent. Quelqu'un frappe à la porte du dortoir, je me lève de mon lit et ouvre la porte, oh non pas elle...
Sœur Lola: Coucou bébé...
J'ai envie de pleurer.

Pdv Marguerite

Oh putain, ça va chier.
Moi: Si tu t'approche de moi, je te promet que je vais te faire pleurer jusqu'à ce que tu pleure.
Oui je sais j'ai dit de la merde mais j'ai paniquer aussi...
Père Gaëtan: C'est moi qui te fera pleurer tellement tu en voudra encore cochonne...
Alors là s'en est trop, je le pousse et prend mon cuteur que j'ai cacher dans ma chaussure et le pointe vers lui, il essaye de s'approcher de moi mais je lui coupe la joue, je range mon arme dans ma chaussure et pars en courant.
Je dois aller dehor pour prendre l'air parce que je crois que je vais etouffer ici, j'ouvre la porte qui menne à une grande cours, je décide alors de marcher en regardant les feuilles de cerisier tomber gracieusement au sol, je vois quelqu'un au loin sur un banc habillé en noir, oh mais c'est un garçon ! Ça doit être le stagiaire. Intriguée je m'aproche et prend place à coté de lui.
Moi: Bonjour !
Il sursaute en lachant un petit cris, il ne m'a vraiment pas remarquer ?
Le stagiaire: Ah euh b-bonjour...
En regardant son visage, il a les zneuils verts, il est chatin avec de belles lèvres et son regard innocent et perdu qui le rend si craquant, ses joues rouges et- attend pourquoi il rougis ? Et pourquoi son visage est si près du miens ? Oh diantre c'est moi qui me suis rapprochée !
Moi : Ô seigneur ! Pardon j-je voulais pas !
Il rigole, olala son rire...
Le stagiaire: Haha pas grave...
Moi: J'ai entendu parler de toi, juste, rappelle moi ton prénom
Le stagiaire : je suis Paul-André et toi ?
Moi: je suis Sœur Marguerite ! Si tu a besoin de quelque chose, puisque tu est nouveau, tu peux t'adresser à moi car je suis la présidente des sœur. Il y en avais une autre qui s'appelait Alphonsine mais elle s'est pendue dans sa chambre et c'est dans celle ci que tu dormira. Dit-je avec un air détaché devant son air inconfortable qui rendais son visage plus blanc que la neige.
Paul-André : Ah d-d'accord j-je vois...
Moi: bon va falloir que je te laisse j'ai des couloir à surveiller.
Puis je part le laissant comme une couille sur le banc à se poser des questions sur le pourquoi du comment. Je décide de me diriger vers mon dortoir pour voir si Huguette est toujours vivante. Je marche dans les couloir et je repense au garçon avec qui j'ai parlé tout à l'heure. Il est tellement adorable j'ai envie de le croquer avec son air si enfantin, son regard perdu, et son rire si craquant ouf déjà que j'ai chaud de base alors là je fond.

Pdv Huguette

Je veux mourir, pas elle. Juste... Non !
Moi: Q-que me veux tu ?
Sœur Lola: Tu sais très bien ce que je veux chérie...
Elle me pousse et referme violemment la porte derrière elle. Je ne veux pas que ça recommence, elle va encore tenter de me souiller. Elle s'approche de moi les yeux pleins de luxure, prend mon visage entre ses deux mains, et allons savoir où elle les a mise juste avant, et pose ses lèvres sur les miennes. Je crie malgré sa langue dans ma bouche et prise de peur et de dégoût je lui met une gifle. Oh... Seigneur... Non...
Sœur Lola met immédiatement sa main gauche sur la joue rougie. Son air choqué disparait sous un air pervers et très effrayant. Elle s'approche de moi tel une tigresse voulant tuer sa proie, elle me fait sérieusement peur, je ne sais pas à quel moment elle peut me sauter dessus.
Sœur Lola: Tu te rebelle ? Tu sais que me doit de te punir... Remarque, ce côté là me plais venant de toi...
Encore une fois, elle me pousse et j'atteris sur le lit, elle monte sur celui-ci et avance à quatre pattes vers moi montrant encore plus son côté félin. Une fois au dessus de moi elle s'assoit à califourchon sur mon bassin tout en saisissant mes poignets pour ensuite les attacher avec des menottes à froufrous rouges et noir. J'essaye de crier mais elle me met une sorte de boule rouge dans la bouche ce qui fait que je perd le contrôle de ma mâchoire. Et se déshabille devant moi et se retrouve avec des sous vêtements rose transparents. Oh doux seigneur...

Ne vous inquiétez pas, je poste immédiatement la suite <3 à tout à l'heure !

Les nonnes aux mille et une aventure Où les histoires vivent. Découvrez maintenant