Les nonnes aux mille et une aventure

Pas encore !

Pdv Marguerite

Je suis quelques mètres du dortoir et je peux déjà y entendre du grabuge. Mais que ce passe-t-il encore ?
Je suis certaine que c'est cette Lola qui essaye violer Huguette. Mon dieux la pauvre, elle à peur de se défendre car à chaque gestes brusque qu'elle fait, Lola ne fait qu'empirer son sort. Alors moi ça commence à me courir sur l'haricot, puisque je suis la mère supérieure des nonnes, cela veut dire que j'ai le pouvoir et que je peux, et surtout que je doit, punir certaines trainées qui essayent de foutre le bordel dans ce couvent plus qu'il n'y est déjà. Bien évidemment Gaëtan m'a confié sa cravache pour que je puisse m'en servir en cas d'urgence. Et dieux sais que puisque je possède une cravache et le pouvoir, les nonnes me craignent, et plus particulièrement sœur Lola. Je suis à présent devant la porte du dortoir et j'entends des cris étouffé et le rire strident et agaçant de la sœur perverse, la rage monte en moi d'un coup et je donne un coup de pied dans la porte qu'il s'ouvre brutalement, oui comme dans les films américains.
Moi: Par les couilles de Lucifer, qu'est-ce que c'est que ce tatinmarre ?!!
Je vois sœur Lola assise à califourchon sur Huguette se retourner brusquement le visage blanc de peur mais qui fini par être rouge de honte.
Moi: Joli sous vêtements Lola. Mais malheureusement ce genre d'accoutrement est inadmissible ici ainsi que les PUTES dont vous. Veuillez vous rhabiller immédiatement !!
Elle ramasse sa robe noire et l'enfile aussi vite que l'éclair et cela sans broncher. Une fois habillée, elle reste au milieu de la pièce dans un silence lourd avec seul bruit la respiration forte de Sœur Huguette encore bouleversée par les événement. L'autre catin ose regarder Huguette avec un sourire répugnant, pleins de luxure, et lui lancer un clin d'œil ce qui est déjà la goûte d'eau qui fait déborder le vase. Le la prend par les cheveux, ce qui à ma grande satisfaction l'avait fait crier de douleur, et la traine dans le couloir pour l'emmener dans LA pièce. La pièce de la souffrance, la pièce de la punition, la pièce du pardon... L'enfer.
C'est une salle aux murs avec un papier pain vieux et abimé, une petite fenêtre avec deux barreaux rouillés, une croix en bois, un pupitre avec le nouveau testament posé dessus, quelques chaise et une bassine en marbre d'eau bénite accrochée au mur. Une fois arrivées devant la porte de l'enfer, je l'ouvre et fait valser la jeune fille à travers la pièce et referme la porte derrière moi, je sort ma cravache et donne un coup à Lola qui était à quatre pattes essayant désesperement de se relever.
Moi: MAIS TU N'A PAS HONTE ?! Quand est-ce que tu comprendra le malheur que tu lui fait subir hein ?! Tu est répugnante, tu ira en enfers, tu ne mérite que ça !
Sœur Lola: Non s'il vous plaît ! Je ne recommencerais plus ! Je vous le prom- AH !
Le lui coupe la parole en la fouettant au visage

Pdv externe

Marguerite n'était plus la même, quand elle devais punir quelqu'un, la pitié ne faisait plus parti de son vocabulaire. Elle étai à présent sadique et sans scrupule. Mais malgré ça, Lola avait l'air de l'oublier car après toutes les fois où elle avait reçu de nombreux coup de fouet, elle continuait de nuire Huguette. D'ailleurs celle-ci avait fondue en larme après le départ de Marguerite et Lola. Elle n'en pouvais plus, elle ne pouvais pas se défendre, elle avais peur, peur qu'elle fasse pire, peur qu'elle lui fasse vraiment du mal. Marguerite était un miracle, elle ne sais et ne saura jamais comment cette dernière arrive toujours au bon moment, et même Marguerite ne sais pas comment ni pourquoi.
Des heures passèrent, des coups, des coups et encore des coups de cravache que recevais sœur Lola, elle saignait, elle pleurai, elle hurlais d'arrêter et de ne jamais recommencer, mais malgré ça, Marguerite qui étai encore dans son état anormal, continuait de la frapper. Lola est à présent sur le sol froid, recroquevillée sur elle même pleurant des rivières de larmes, Marguerite elle, elle s'était assise sur l'une des chaises en bois pour se reprendre en regardant Lola avec un brin de pitié dans son regard. Malgré le fait qu'elle la déteste du plus profond de son âme, la voir comme ça avais le dont de réveiller le peu de peine qu'elle avais pour elle. Elle soupire bruyamment et se relève.
Sœur Marguerite: Allé, c'est fini. Dit-elle d'une voix à la fois calme et ferme.
Sœur Lola: Veuillez me pardonner Sœur Marguerite, j'ai pêcher, je ne recommencerais plus, promis...
Déclare-t-elle se relevant lentement.
Sœur Marguerite: Ce n'est pas à moi qu'il faut dire ça, c'est au Seigneur tout puissant qu'il faut dire ça. Il faut que tu réfléchisse à ce que tu a fait, si tu veux êtres pardonnée, il faut que tu le regrette du fond du cœur et ensuite demander pardon. Je vais te laisser seule un instant, je reviens dans une heure. Dit-elle avais de quitter la pièce puis refermer la porte à clef laissant la jeune nonne livrée à elle même.

Il est pas un peu long ce chapitre ? En tout cas j'espère que vous avez aimer, j'en publie un autre dans pas longtemps, allé BYE :3