À 16 ans, Élise est une adolescente comme les autres, rien d'anormale. Elle est amoureuse d'un garçon. Mais lors d'une soirée, rien ne va se passer comme prévu, et cette soirée va laisser des traces...
Des traces qui vont rapprochés Élise et Esteban...
Aujourd'hui c'est le grand procès. Beverly et Johnny vont recevoir leur jugement. Les parents d'Estebane garde Allan, je ne voulais pas louper ce procès et Estebane non plus. Quentin à préféré ne pas venir, et Jérémy avait un empêchement.
Je m'installe à côté d'Estebane, y'avait pas mal de gens, la salle d'audience était pleine, y'avait toutes les victimes et les familles des victimes, j'ai comme l'impression que ce procès va être un Bordel !
L'audience est ouverte, les accusé passes les uns après les autres à la barre pour s'exprimer, même si ils sont souvent interrompu par les familles et victimes qui ne sont jamais d'accord. J'avais raison, ce procès est un Gros Bordel !
Les avocats défendent leur client, Axelle se débrouille très bien je trouve, en vrai elle est vraiment faite pour ce métier.
- Mon client ici présent, reconnait ses erreurs, et regrette sincèrement ce passage dans sa vie. Il était aveuglément amoureux de l'accusé principale ici présente, Beverly de Pergeth. Elle a très clairement manipuler mon client, comme tous les autres qui "travaillaient", si on peut dire ça comme, pour elle. Cette femme n'a aucun cœur mis à part pour son argent. C'est elle qui a tout contrôler. Mon client était totalement sous l'emprise de cette femme. Défend Axelle son client.
- Votre client n'était pas obligé "d'obéir" à ma cliente. On ne l'a pas forcé à faire toute ces choses, il aurait pu renoncer à tout cela, on ne lui a pas mis un couteau sous la gorge. Lui répond l'avocat de Beverly.
- Ah nan, mais on a fait bien pire. Votre cliente savait comment le manipuler, elle savait à quel point il était fou d'elle. Au début ce n'était que des petits services de rien du tout, puis après il a dû enlever toutes ses victimes, les vendre sexuellement sur internet, les droguer, tous ça sous les ordres de Beverly. Et si jamais il venait à s'y opposer, alors c'était pour lui une menace, celle de mourir. Répond Axelle.
- Ma cliente a simplement pris peur de la prison, jamais elle n'aurait tué votre client, ce n'était qu'un coup de pression pour lui faire peur. Et je le répète, personne n'a obligé votre client à rentrer dans le jeu de ma cliente. Réplique l'avocat de Beverly.
- Mon client n'a tout simplement pas mesuré les conséquences de ses actes. Sinon, vous vous doutez bien monsieur le juge, qu'il n'aurait jamais accepté de faire tout cela. Dit Axelle.
Ensuite ils ont continués à débattre, ça a duré quelques jours quand même, c'est pas un procès à traiter à la légère, ce sont des choses quand même très graves donc voilà.
[...]
C'est la fin du procès, dernière audience, les juges sont partis délibérés ensemble, on a longtemps attendu. Une heure après, l'audience reprend, et les juges rendent leur jugement.
- Nous avons beaucoup discuté et réfléchi, ça n'a pas été facile. Mme Beverly de Pergeth, suite aux accusations très graves et aux preuves apportés contre vous, la cour vous condamne à 30 ans d'emprisonnement ferme, dont les six mois que vous venez déjà de passer en centre de détention provisoire. Annonce le juge.
Ça commence déjà à parler dans la salle, mais le juge réclame le silence et donc tout le monde se tait.
- En ce qui concerne Johnny Delcourt, vous auriez été victimes d'une manipulation, mais malgré cela les faits reste tout de même très graves. Vous n'êtes pas le premier à enfreindre la loi par amour. Après longue réflexion, la cour vous a condamné à 15 ans d'emprisonnement dont deux ans avec sursis. Continue le juge.
- C'est dégueulasse ! Qu'il aille crever en prison ! Commencent à gueuler les proches des victimes.
- S'il vous plaît silence ! La cour à rendu sont jugement, et c'est ainsi ! L'audience est levée ! Annonce le juge avant de se lever.
On sort donc tous de la salle d'audience, je retrouve Axelle dehors, y'avait pleins de journalistes partout, y'avait même la télé donc c'est pour vous dire, c'était vraiment un très gros bordel.
Axelle se fait interroger par les journalistes, elle passe même à la télé, comment mieux débuter sa carrière sérieux ?!
Un mois plus tard
Je rentre chez-moi, je vais prendre ma douche, ce soir je suis tranquille, y'a pas mon fils, Yannis il doit être avec des potes.
Je sors de la douche, je suis en peignoir, les cheveux dans une serviette sur ma tête, et la je reçois un message de mon chéri.
❣ Chéri ❣ : prépare-t-elle, j'arrive dans un quart d'heure
Moi : Pourquoi ? Il se passe quoi ?
❣ Chéri ❣ : Surprise chérie, j'peux pas t'en dire plus
Moi : oki j'ai hâte ! 😁😊
Je suis super excité, je m'enjayes toute seule, j'ai sauté de joie. Mais bon, un quart d'heure c'est déjà pas très long, donc faut pas que je perde de temps.
Je me maquille, je me sèche les cheveux, je m'habille, robe longue :
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Après je me boucle légèrement les cheveux, je mets mes bijoux, collier, bagues, bracelets, boucles d'oreilles, un peu de parfum. Une petite touche de rouge à lèvres, et c'est nickel !
J'enfile mes chaussures, ma veste, je prends mon sac et pile à l'heure ! Yannis arrive au même moment. Il était grave classe. Bien coiffée, il s'est lissé les cheveux, il a mis une chemise blanche, veste de costume, jeans noir mais très classe, franchement il est trop beau mon chéri.
- T'es prête chérie ? Me demande Yannis.
- Ouais. C'est bon, j'suis prête. Ça va comme ça ? Je suis pas trop moche ? Lui demandai-je.
- Mais nan, t'es parfaite mon cœur. Me dit-il avant de se pencher sur moi pour embrasser mes lèvres.
- On y va ? Me demande-t-il.
- Vas-y, j'te suis. Lui répondis-je.
Il me propose son bras, que je prend avec plaisir, puis on monte dans sa voiture et il m'emmène quelque part, je ne sais où.
On arrive dans un restaurant, monsieur avait tout prévu, honnetement resto grave classe, c'est pas le petit bistrot dans lequel j'ai l'habitude d'aller déjeuner de temps en temps le midi. Sur la table, y'avait des trop belles roses rouges, et la déco de la table c'était tellement romantique, y'avait rien à dire, c'était parfait.
- Alors, t'aime ? Me demande Yannis.
- Ah bah là, t'as assuré chéri. Mais on fait un truc exceptionnel aujourd'hui ? Lui demandai-je.
- Nan, je voulais juste être romantique ce soir. Pour qu'on passe un moment rien que tout les deux. Me répond-t-il.
- Wah ! Bah alors là...je sais pas quoi dire. Dis-je un peu gêné.
- Bah dit rien. Moi par contre j'ai un truc à te dire. J't'aime de ouf ! Me dit-il.
- Moi aussi. J't'aime vraiment très fort. J'ai jamais aimé une personne comme t'aime toi. Lui dis-je
