Je me rends compte que tous les jours, nous effectuons les mêmes gestes machinalement, sans vraiment se préoccuper du résultat: nous devons une sorte de machinerie infernale. Tout ça pour une seule chose: la routine. Ce mot est le symbole de l'horreur. Lorsque l'on se rend compte, de ces gestes maintes fois répétés, encore et encore, on a envie de casser cette boucle. Briser ce cercle infernal, se donner de nouveaux objectifs: on essaie tout simplement de changer. Mais au fur à mesure, les nouveaux gestes deviennent des anciens et c'est reparti pour un tour. Alors on tombe dans une recherche infinie du bonheur. Le bonheur sur quoi est-il définit après tour?
Mon bonheur à moi, je l'imagine par des jours tous différents les uns des autres. Où j'apprends, découvre et m'émerveille. Je ne veux pas d'une vie monotone rythmée par la routine, non je veux d'une vie folle, je veux sentir la liberté couler dans mon sang, et dans celui des autres. Et je voudrais la paix, la paix dans le monde, plus de guerres et de tensions. Plus de crises, de réchauffement climatique. Mais ceci serait la définition parfaite du bonheur.
Hors pour moi, nous n'atteignons jamais complètement ce « bonheur », je pense qu'il est notre rêve, notre motivation pour avancer dans cette longue vie périlleuse.
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My lifetime
Random~2k17/2k18~ Mon Rant Book comprenant trop de parties, et ne me correspondant plus trop, voilà mon Rant Book, à partir de juin 2017.
