Le soleil se couche, l'obscurité s'abat
On entend venir les atrocités nocturnes,
Les larmes de ces veuves de triste fortune
Pour ces marins perdus qui ne reviendront pas
Et quand enfin le vent cesse de déchirer
Le morne cœur de ces belles âmes en peine
Songeant au sort de ces hommes et capitaines
Qui se font par les vagues lentement bercer
Le souvenir s'en va et réapparaît comme
Les flots du monstre bleu partent pour revenir
Faire violence dans l'écume des marées
Et les griffes dévastatrices de cette Mer
Violente, s'atténuent et cessent de punir
L'homme qui voguait sur le ressac funéraire
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Oxymore de sentiments
PoetryVoici quelques mots, que je n'ai pas pu dire, que je n'ai pas pu montrer, alors je les ai rassemblés dans un recueil de poésie et de lettres. Pour lui, pour elle, pour vous, ce ne sont que quelques mots, mais a mes yeux, ce sont mes sentiment inexp...