21 Avril 2017

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Quand je me réveilla ce matin là, j'étais particulièrement heureuse pour une raison inconnue. Je me prépara, déjeuna mon fameux bol de céréale. C'est mon petit rituel depuis que j'ai cinq ans à n'importe quel heure ou je peux me réveillé que ce soit a quatorze heures ou a six heures je mange mon bol de céréale donc oui c'est quelque chose d'inintéressant mais bon c'est une petite partie de ma vie. Donc je partis a sept heure trente de chez moi. Comme tout les matins je passa chercher ma meilleure amie elle habité a quelque maison de chez moi. Arrivé au lycée ma journée ce passa normalement cours ennuyant, potins, fou rire avec mes amies...             Il était cinq heure de l'après midi la sonnerie de la fin des cours venais de retentir, comme tout les jours j'attendais Manon ma meilleure amie qui était encore en train de me parler de ses histoire de couple. Des fois je me dit que j'ai vraiment de la chance d'avoir le copain que j'ai car en écoutant ses histoire je me demandé toujours si elle en rajouté où si il était vraiment comme ça!                                                                                                                                                                                                                Quand nous somme enfin arrivais à la barrière du lycée je le vie, avec ça moto et son casque a la main. Mon cœur a commençais a battre, il ne m'avais pas remarqué, toujours le ne dans son téléphone !  Quand je l'appela et qu'il leva la tête je vis son sourire sur son visage, je lui sauta dans les bras comme a chaque fois que je le voyais donc oui certaine personne diront qu'on en faisait de trop mais j'avais beau le voir peut être trois fois dans la même journée j'avais toujours ce même sourire sur son visage, toujours ces papillons dans le ventre quand on s'embrassais. Au final l'amour c'était peut être ça non ? C'est fous mes je ne voyais pas ces défauts, enfin si je l'ai voyais mes je l'ai aimé, je l'ai aimé tellement ces défauts !                                                                                Ce n'étais pas habituel qui viennent me chercher il terminé toujours une heure plus tard que moi donc ce soir là j'étais tellement heureuse est si fière que tout le monde voient a quel point je l'aimais et a quel point mes yeux brillais quand je le voyais.                                                                            On monta sur ça moto et il me ramena chez moi.                                                                                                Ils devaient être dix neuf heure quand il partie un dernier bisous et il monta sur ça moto... ça putain de moto si seulement j'aurais su que ce trajet aurais était fatal pour lui jamais, je dit bien jamais je ne l'aurais laissé partir.                                                                                                                                   Ce fut un soir banale ou je mangea toute seul car mes parents travaillé jusqu'à vingt et une heure ou je me lava et m'endormie devant mes séries, mais non ce ne fut pas une soirée comme les autre il était minuit dix  et mon téléphone sonna, au bout du fil la mère à Théo qui m'annonça en pleure qu'il avait eu un accident de voiture et que son pronostique vital était engagé. A ce moment là je me leva m'habilla a tout vitesse, ma mère entendant du bruit dans ma chambre rentrant et me demanda ce qui m'arrivait je lui expliqua et elle m'emmena a l'hôpital ou il avait été admis. Sur le trajet je me demandé si j'étais en plein cauchemar ou si tout cela était réel quand je suis arrivé je vis Estelle dans la salle d'attente elle m'expliqua je m'assis sur ma chaise et j'attendis... J'attendis... les minutes paraissait des heures.                                    Après deux heure et demi d'attente le médecins  nous demanda de venir dans son bureau, je priais pour qu'il nous dise qu'il allait sans sortir, mais ce fut tout le contraire...                                      " Il est médicalement mort, il vit grâce au machine je suis désolé" à ce moment précis ou c'est mot on était prononcé je n'entendis plus rien, plus aucun mot que le docteur pouvais prononcé je ne l'ai entendis plus. Pourquoi, pourquoi m'enlevé la seul personne qui me retenait ici j'avais l'impression que mon âme était morte, moi qui n'était pas assise car il y avais qu'une seul chaise je m'écroula sur le poids de la douleur. Vous savez quand vous entrait a l'hôpital est que les infirmière vous demande la douleur de 1 à 10 un jours j'avais tellement mal a cause d'une chute que je dit 9 sur 10, après la douleur fini l'infirmière venu me revoir et me dis "je sais que tu es une petit fille courageuse, car la douleur était de 10 sur 10 pourtant tu m'as dit 9" et bien elle se trompais j'ai dit 9 car je savais que un jours j'aurais une douleur plus forte que celle si mais jamais je n'aurais pensé que ce soit cette douleur.                                                                                                Après plusieurs minutes a reprendre mon esprit, nous partions vers la chambre ou il était placer, c'était le moment, ce moment ou tout devait s'arrêtais. Nous devions lui dire adieux. J'entendis toute autour de moi le bruit de ces machines qui ce ralentissais petit a petit jusqu'à avoir un bruit assourdissant, puis ce bruit cessa le docteur ferma les machines et dit : "heure du décée deux heure treize"                                                                                                                                                           Cette fameuse heure ou ma vie s'arrêta. Estelle sans alla de la pièce, après quelque minutes a resté planté devant ce lit à le regardé les yeux dégoulinant de larme, les personnes de la morgue venait l'emmené, l'enlevait loin de moi, je vis le lit partir avec lui le drap sur son corps recouvrant sa tête et le moment où je ne le vis plus je m'écroula. Je n'eus même pas la force de criez je sentie une main sur mon épaule ma mère qui me prononça ces quelque mot : " Hannah, il faut partir maintenant je suis désolé ma fille, vraiment désolé..." 

deux heures treizeWhere stories live. Discover now