Les bas fond

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Je me souviens de la première fois que j'ai rencontrée Livail, nous étions petit et affamer. J'avais réussi à voler un morceau de pain à un marchand qui me cherchait toujours et au moment de le manger c'est la que je le rencontrai pour la première fois. Vêtu de guenille et aussi maigre que moi, il regardait mon pain avec envie. Nous semblons avoir le même âge à première vue. Vérifiant que mes poursuivant était bel et bien parti, je sorti de ma cachette et m'assit a ses côté. Rompant mon pain je le lui tendis sans rien n'ajouter. Je n'attendais pas de réponse ou quoi que ce soit d'autre en retour. Il le prit et le mangea sans dire quoi que ce soit. C'est alors que mes poursuivant me retrouvèrent et m'attrapant par les cheveux ils me tiraient et me trainèrent dans la boue me frappant jusqu'à m'en faire perdre conscience. Cependant alors que je me préparais à recevoir cet ord de coups Livail avait bondi sur eux et malgré le peu de force qu'il pouvait avoir à cet époque me défendit du mieux qu'il pouvait. S'était la première fois que quelqu'un me défendait. On fut mis minable mais on a réussi à s'en sortir. Ce dernier m'invita à le suivre chez lui afin de nettoyer nos blessures. Je le suivi et entrant chez lui je fis la connaissance de sa pauvre mère. Oui sa pauvre mère qui était tellement maigre que je me demandais comme elle faisait pour survivre. Contente de voir son fils elle se dirigea vers lui et l'embrassa. Il avait de la chance d'avoir une mère aussi aimante. Moi je n'ai pas connu mes parents, ma mère serait morte en accouchant et mon père m'a abandonné à l'âge où j'ai su marcher. Me regardant à mon tour, elle se précipita vers moi et comme si j'était sa fille elle me serra contre elle me remerciant d'avoir aidée Livail. Apparemment il lui avait raconter ce qui s'était passer. Se relevant elle alla chercher une petite bassine d'eau avec un chiffon et nettoya nos blessures. Elle s'excusa par la suite de ne rien avoir à nous donner à manger et se mit à pleurer. Cette femme était à cran et souffrait du fait de ne pas pouvoir nourrir son propre fils mais je ne le compris pas à cet instant-là. Je suis restée quelques jours avec eux jusqu'au jour où nous reçûmes une visite d'un homme « Kenny Ackerman ». Ce dernier était venu prendre des nouvelles de la jeune femme et en vue de son état il décida de repartir avec Livail me laissant derrière. Je suis restée encore quelques semaines avec la mère de Livail qui semblait faiblir de jour en jour jusqu'à s'éteindre en pleine nuit. Pourrais-je dire qu'elle n'a pas souffert. Je n'en sais rien, je sais ce que c'est d'avoir faim donc je ne pense pas qu'elle n'est pas souffert. Et Livail, où était-il ? Seule dans sa maison je décidai de l'emménager autrement tout en continuant à vivre de vol, désoler dans ce cas là je parlerais plus de survie. Les années passèrent et mes talents en tant que voleuse était devenu légendaire. Je fus appelée de nombreuses fois pour divers travaux. On dit que le monde est petit mais les bas fond le sont encore plus. Un jour alors que je faisais du ménage un homme rentra dans la demeure sans y avoir invité et fut surprit de me voir. Il me regarda et observa ce qui était son ancienne maison.

Livail : (t/p) ?!

Moi : Livail !

Un blanc s'installa puis j'ajoute : Bienvenue à la maison, avec un sourire, celui-ci me répondit également d'un sourire et ferma la porte.

Nous formons un quatuor hors pair avec Livail en tant que chef nous avons toujours réussi les missions qu'on nous avait confier dans les bas fond. Je dis bien sur quatuor car Furlan et Isabelle nous avait rejoint au fur et à mesure. Seulement un jour tout allait changer quand on nous confia une mission spéciale qui avait pour but de nous donner un pass pour l'extérieur. Nous avions comme mission d'exécuter le général Erwin et de lui dérober un certains documents qui semblait important. Mais peu importe ce que ça pouvait être tout ce qui nous intéressait s'était de savoir un de nos ancien camarade dans un bon hôpital pour sa jambe et notre liberté. Seulement rien ne se déroula comme prévu. Défier l'autorité militaire était une routine pour nous, sauf que cette fois-ci nous avons eu affaire au bataillon d'exploration. Et ça n'avait rien avoir avec ces miséreux de soldats faible et inutile. Nous tentâmes une diversion afin de les semer et de les diviser jusque là tout allait bien mais quelques minutes plus tard nous furent tous les trois c'est-à-dire moi, Isabelle et Furlan piéger et immobiliser obligeant Livai à se rendre. A genoux devant le général, ce dernier nous questionna mais n'obtint aucune réponse. C'est alors qu'il s'en prit à notre chef Livail en le faisant bouffer le sol sa main agrippant ses cheveux pour l'empêcher de bouger. Comment ose-t-il le toucher avec ses mains dégueulasse !

Livail  x reader " Tout Pour Toi"Où les histoires vivent. Découvrez maintenant