Une attaque fatale

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Note de l'auteur : Hey hey, alors oui encore un chapitre qui plante bien le contexte et où il ne se passe pas grand chose je m'en excuse >< Mais a la fin de ce dernier vous verrez que les choses vont devenir interessante et commencer à bouger ! Et le prochain chapitre devrais plus vous plaire =)

Bonne lecture a vous ;)

*****

Où est-ce que je me trouvais ? ça ne ressemblait pas du tout à ma chambre... essayant de me remettre les idées en place je me redressai, il semblerait que je sois à l'infirmerie. Mais comment ça se fait ? Et pourquoi j'était toute seule. M'asseyant sur le bord de mon lit j'aperçu de nombreux bandages autour de mes jambes et de mes bras, puis de ce que je pouvais sentir de ma tête également. Mais qu'était-il arrivé ? Et où est Livail, Isabelle et Furlan ? Posant un pied par terre je fus surprise que mes jambes n'arrivaient pas à me tenir et m'effondra brutalement sur le sol, le choc réveillant les douleurs jusqu'à là endormie. Serrant les dents, je dus utiliser énormément de force et de volonté pour me hisser de nouveau sur mon lit.

« Livail : Cette scène était bien pathétique.

Moi : Livail ! Depuis quand es-tu là ?

Livail : Je viens d'arriver.

Moi : Où sont les autres ?

Livail : Ils vaguent à leurs occupations quotidiennes pourquoi ?

Moi : Ils auraient pu venir me voir ><

Livail : Tu n'es pas leur priorité tu sais ...

Moi : Pourtant toi tu es bien venu.

Livail : Ne mélange pas tout, nous nous connaissons depuis assez longtemps pour que je m'inquiète pour toi.

Moi : A oui et Isabelle et Furlan ne me connaissent pas depuis longtemps eux ?

Lvail : Qu'est-ce que tu racontes (t/p), ils sont morts l'aurais tu oublié, tu étais pourtant avec eux lors du massacre.

Moi : Qu'est-ce que tu dis ! Répondis-je choquer et horrifier par la nouvelle. Livail, dit moi depuis combien de temps je suis sur ce lit avec cette perfusion accrocher à mon bras, dis-je en l'arrachant.

Livail : Tss , depuis une dizaine de jours. Et ne t'en prend pas a cette perfusion, c'est grâce à elle que t'as pu survivre.

Moi : Livail, des larmes commencèrent à couler le long de mes joues, Livail, pourquoi est-ce que je ne me souviens de rien ! Mes derniers souvenir remonte à notre première expédition ! et de ce que je me souviens il ne c'est rien passer de désastreux !

Livail : Tu es visiblement amnésique de quelques mois. Ne t'en fais pas, il ne s'est rien passer d'important.

Moi : Tu... lui saisissant ma manche de sa veste, tu te fiche de moi.

Livail : ?

Moi : Alors pour toi leur mort n'est rien d'important !! Dis-moi ça en face Livail Ackerman !!! Criais-je en le fixant dans les yeux.

Livail : Tu m'ennuie (t/p) lâche moi. Dit-il en se débarrassant de l'emprise que j'avais sur lui.

Moi : LIVAIL !

Livail : Peut importe ce que tu peux dire rien ne changera ce qui s'est passer. Donc arrête de brailler et avance, estime toi contente d'être encore en vie, certains n'ont pas eu cette chance. »

Sur ces derniers mots Livail sorti de la pièce me laissant seule. Comment pouvait-il être aussi insensible ! Ce mec est, et a toujours été la froideur incarner. Je n'arrive toujours pas a croire que je ne les reverrais jamais.

***

Les mois passèrent et je finis par accepter la mort de mes deux amis. Ce fut dur et douloureux mais pas impossible. Seulement j'avais l'impression que ça avait complètement changer Livail, il était devenu encore plus distant et froid qu'avant. Quelle horreur a-t-il pu voir pour se réfugier autant dans sa carapace. Le pire dans cette histoire c'est que j'étais incapable de me souvenir de quoi que ce soit et de ce fait je ne pouvais pas l'aider. Les jours, mois et années passèrent et les soldats entraient et mourraient au point qu'on en devint presque insensible. C'est atroce, j'avais l'impression de perdre mon humanité face à désastre. Avec Livail on a été séparer depuis ce jour tragique, je le voyais de moins en moins et surtout depuis qu'il était devenu caporal-chef, nos conversations ne se limitait plus qu'à un salut ça va. Cela me rendait extrêmement triste. La seule personne encore en vie à qui je tenais encore s'était éloigné de moi au point de me saluer comme il saluait n'importe qui. Soudain un événement allait venir tout bouleverser dans nos vie, l'arrivée d'Eren dans le bataillon d'exploration. J'ai entendu dire que Livail l'avait frappé afin de le sauver de la peine capitale car il serait un demi-titan, c'est-à-dire qu'il serait capable de se changer en titan et de le contrôler enfin contrôler est encore un grand mot. Par la suite je fus responsable de la 104e brigade. Encore des suicidaires me dis-je en les voyants pour la première fois. Hanji et Livail s'occupait de ce fameux Eren tandis que moi organisait toute mes journées a l'entrainement de mes petits nouveaux. Les observants avec attention et minutie je pu enregistrer chaque caractéristique de chacun et ainsi déterminer leur place dans le bataillon. Je notai un excellent élément en une jeune fille du nom de Mikasa. Cependant je ne sais pas pourquoi mais 3 membres de cette brigade me paressait louche et je ne saurais dire pourquoi. Cette brigade en plus d'apporter des éléments prometteurs, elle avait aussi apporté la joie et la bonne humeur dans l'enceinte du fort dans lequel on vivaient. Ce soir-là, ils avaient organisé une petite fête avant la mission du lendemain. Me laissant emporter par Hanji et les verres que l'on me proposait je me retrouvai complétement saoul et dieu sais à quel point je parle beaucoup trop quand je bois. Mais vraiment beaucoup trop !


Livail  x reader &quot; Tout Pour Toi&quot;Où les histoires vivent. Découvrez maintenant