Chapitre 2

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Ce soir c'est la grande fête d'avant match, j'avoue que j'adore les fêtes plus que tout au monde. L'alcool ce genre de choses c'est génial. Perdre le contrôle en l'espace d'une seule soirée c'est merveilleux. Oublier tout, juste s'amuser. Quand je bois ma timidité s'envole. J'aime ce sentiment de liberté à l'instant ou je franchis le seuil de l'alcoolémie.

- Tu m'écoutes quand je te parle ? 

Je sortis de mes pensée et dirigea mon regard vers mon meilleur ami, Baptiste. 

- Euh, oui je pensais juste à des trucs. 

Baptiste fronça subitement les sourcils et dit :

- Je veux que t'évite d'expérimenté toutes les drogues du monde. Tu vas mal finir Sky. Un jour tu iras trop loin et tu regretteras t'es actes.

Je leva les yeux au ciel.

- Je gère je te dis.

- Quand on se drogue on gère rien, c'est bien ça le problème ! 

Je préféra ne rien dire, je n'ai pas envie de me disputer avec lui aujourd'hui.

- Aller, je vais danser. Dis je en me ruant vers la piste de danse. Je ne vais pas vraiment danser parce qu'en tant que Miss Catastrophe je risque de faire des ravages.

Pour le moment ce qu'il y a dans ma tête c'est la façon dont je vais me procurer ma drogue.


***


- Seigneur, ou suis je. Dis je, mal en point.

Je ne sais pas ou je suis, j'ai terriblement mal, absolument partout. Mes yeux me piques et ma gorge aussi j'ai l'impression que quand je vais les ouvrir ils vont exploser littéralement.

Je me força néanmoins à les ouvris, et la je vis le jardin d'une maison qui n'est visiblement pas la mienne. Tout à coup l'arrosage automatique se déclencha.

- Putain ! Hurlais je, en me relevant précipitamment pour partir, avant de finir tremper.

Je manqua de me ramasser par terre. Je ne sais pas ce qu'il sait passer à la fête d'hier mais j'ai mal absolument partout. J'ai très très mal. Je n'ai jamais eu de black out de ma vie, et je dois avoué que c'est bizarre et très désagréable. Je ne sais pas qu'elle drogue j'ai pris ou ce que j'ai fais, mais je me sens différente. Je n'aime pas cette sensation.

Je sortis péniblement mon iPhone de ma poche et remarqua qu'il n'avait plus de batterie. Fais chier. 

Une fois arrivée chez moi, je brancha automatiquement mon téléphone. Il s'alluma et le nombre de notifications m'affola. Une trentaine de messages de Baptiste, une vingtaine d'une amie à moi se nomment Julia. Tous me demandant ou j'étais, ce que je faisais et si j'allais bien. Seigneur, qu'est ce qu'il c'est passer.

Tout à coup, je remarqua l'heure, il est 16h45, il faut que je me prépare pour le match. Il est or de question que je loupe ce match à cause d'une descente compliquer. 


***



Je progressa à travers les gradins, frigorifiais et très mal en point. Tout mon corps me fais souffrir à chacun de mes pas.

- T'as la gueule d'un mort vivant. Me dis mon amie Adrianne

- Je sais. Le soucis c'est que je sais pas pourquoi. Black out total. C'est affreux.

- C'est affreux, mais t'inquiète normalement ça devrait te revenir. Ça va te remonter le moral de voir Maxime courir après un ballon.

Je souris :

- C'est certain. Moi qui avait espéré aller lui parler à la soirée. 

Tout à coup l'écran géant  s'alluma sur le visage de l'entraineur de notre équipe locale.

- Bonjour lycée de Nostfer ! J'espère que vous êtes chaud ce soir car notre équipe locale c'est bien entrainer et compte bien gagner la saison ! Faites un triomphe à Maxime notre capitaine préféré et son équipe ! 

Tout à coup toute l'équipe entra sur le terrain, je dois avoué que maxime est très beau avec son casque dans une main et habillé de son équipement de capitaine.

- Mais qu'ils sont beau nos joueurs ! Hurla le capitaine. Faites un tonnerre d'applaudissement à l'équipe adverse qui a beaucoup de courage d'oser venir affronter notr...

Tout à coup le micro coupa et l'écran grésilla. Ce n'est pas habituel. Cet écran ne déconne jamais en général.

Et puis, un couple en plein ébats apparu à l'écran. Seigneur c'est affreux comment des gens peuvent se filmer en train de faire ce genre de... de choses ! La fille était en dessous, poussant des cris extrêmement puissant tandis que le garçon, au dessus d'elle avait l'air de bien prendre son pied. Tout à coup le garçon tourna la tête et tout le monde compris de qui il s'agissait. C'était maxime. Bordel, je fus soudain déçu. Mais ma déception fus vite remplacer par un tout autre sentiment une fois le visage de la fille à découvert. Cette fille, c'est moi. Putain de merde, cette fille c'est moi. J'ai couché avec Maxime. 

Tout les gens présents dans les gradins ne purent retenir leurs cris de surprises. 

- Peut-être que tu lui a parler en fait pendant la soirée. Me dis Adrianne.

Je sursauta et lui dis :

- Faut que je parte. Tout de suite. Je crois que je vais faire un malaise là.

Les visages commençaient à se tourner lentement vers moi. Bientôt tout le stades va se retournée vers moi, et la je vais mourrir. 

Je me mis alors à courir aussi vite que possible vers la sortis, ma capuche rabattu sur ma tête. Juste avant de m'engouffrer à l'extérieur je me retourna je vis Leila, la copine de Maxime écraser violemment sa main sur son visage, les larmes inondé son visage. Et puis le regard de maxime dévia vers moi, et la rage déforma soudainement son visage. Il jeta son casque et se rua vers les gradins. Plus précisément vers moi. 

- Regarder ! C'est elle ! Hurla une fille au cheveux rouge dans les gradins plus haut.

Je leva les yeux vers elle et remarqua qu'elle parlait de moi. Je ne perdis pas plus de temps et je me rua littéralement dehors. 

Les larmes commençaient à ruisseler sur mon visage. Je vais changer de pays, c'est la seule solution. 


***


J'arriva essoufflé chez moi. J'ai bien du courir 15 minutes que je n'en peu déjà plus. Je claqua la porte et m'effondra contre celle ci. 

Qu'est ce que j'ai fais ? 

Bordel. 

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