Elle a vécue tellement de choses comme, la mort subite de ses parents, son déménagement. Mais pourtant elle va restée forte, elle a du caractère, mais elle est gentille, ambitieuse, généreuse, drôle. Elle possède d'innombrables qualitées. Quand elle...
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On passe une moitié de sa vie à attendre ceux qu'on aimera et l'autre moitié à quitter ceux qu'on aime.
Chapitre précédent :
Elle : Non on va faire plus court, tu me ramènes à l'internat, et tu me fiches la paix.
Moi : Parle moi autrement.
Elle ne fit pas attention à ma remarque, et elle partit en bas. Je la suivis à mon tour, elle ouvra la porte de ma magnifique villa et se dirigea devant l'une de mes luxueuses voitures de marques. ____________________________
Elle : On prends celle là.
Moi : Tu m'exaspères.
Elle : Je sais.
J'aime pas quand on me contredit, j'aimerai faire comme je le fais d'habitude, c'est à dire lui lancé une remarque cinglante. Mais mon loup m'en empêche. Elle me rend totalement fou, mais elle pour moi la plus belle femme à mes yeux tout comme aux yeux de mon loup. Je serai près à mourrir pour elle, je ne saurai vous expliquez mais le lien qui nous unit nul ne peut le nier tellement qu'il est fort. Elle est tout simplement celle qui sera ma femme, ma meilleure amie, ma confidente, ma Luna et la futur mère de mes enfants. Je sais que ça peut paraître égoïste de vouloir la garder que pour moi, alors que je ne la connaît que depuis quelques heures. Mais que voulez vous c'est la déesse qui m'a liée à cette personne et sa pour le restant de mes jours. Je fus interrompu de mes pensées par la voix de ma magnifique moitié.
Elle : La terre est ici pas ailleurs, tu sais ?
Je poussa un long soupire et sans lui répondre je m'engoufrais dans la maison. Je savais que ça l'avais énervée et je fus satisfait. Je passa devant la cuisine et ouvris la porte de mon bureau. Après quelques minutes de recherche je trouva la clés de ma Ferrari et sortit de la pièce, puis de la maison. Quand je La vit dehors assise sur le pallier, je souris en passant que la déesse m'avait donné une âme soeur magnifique.
Elle : Ah ! Enfin, j'ai cru espérée qu'on t'avait tué, dit elle sarcastiquement.
Moi : Toujours la pour te servir ma belle.
Elle : Oui, oui si justement tu n'étais pas là.
Moi : Que veux tu c'est la vie, ce n'est pas auprès de moi que tu devrais te plaindre mais plutôt auprès de celle qui nous a unit en temps qu'âme soeur.
Elle : Peut être, mais sa serait moins drôle. Sinon c'est pas que je m'ennuie enfin si un peu, mais on pourrait pas monter dans la voiture ?