Mafieuse ou pas ?

Xoxo

Un mois plus tard...

  Au premier regard je dégage un air confiante et sûre de moi, mais à vrai dire je n'ai pas confiance en moi, et je suis pas si forte que ça, tout au long de ma vie, j'ai vue ce que l'amour fait aux gens et ces effets néfastes et destructeurs, l'amour transforme les gens. L'amour rend heureux. L'amour rend triste. L'amour rend bon. L'amour rend mauvais. Je ne veux pas changé en tombant amoureuse. Je me trouve très bien comme ça. Il s'est passé un mois, durant le quel nous nous sommes beaucoup rapprochés Ivan et moi. Je n'ai rien essayé de faire pour sortir avec lui, parce que j'ai peur de m'attaché à nouveau, je ne veux plus être abandonner et je ne veux surtout pas le perdre pour une histoire d'amour qui n'en valait pas le coup.

J'aperçois Ivan au loin, je me dirige vers sa direction. Je remarque que ça le perturbe ce qui me fait rire intérieurement. Je ne pensais pas que je lui faisait autant d'effet.

- Salut petit con, ça va ?

- C'est toi la conne, et oui je vais bien merci.

- De rien, moi aussi ça va merci de demandé.

- Tu viens on a cours d'anglais.

En marchant dans les couloirs du lycée, on voit Anna une camarde de classe qui est entrain de pleuré, je me rapproche d'elle et lui demande gentiment ce qui ne va pas.

- Mon...copain m'a....laissée tomber dit-elle hésitante.

- Il faut que tu saches qu'il est primordial de se reconstruire après une rupture, pour donner l'image d'une battante.

- Elle a raison tu dois être une battante Anna. Confirma Ivan.

- Aller essuie moi ces larmes ça te fait une vilaine tête.

- Merci Ilarya je ne pensais pas que tu étais si gentille.

- T'inquiète.

- Ouais moi non plus. Cette fille est un monstre.

- La ferme Ivan.

***

Après les cours on a une après-midi libre j'arrive pas à y croire. Je regarde Ivan qui a l'air perdu dans ces pensées.

- Alors fils de p... beau gosse tu passes l'après-midi avec moi ?

- Ilarya combien de fois,
je t'ai dis d'arrêter de me traumatisé avec ta bipolarité.

- Je le prends pour un oui. Dis-je en lui prenant sa main pour partir.

Je passe à côté de mon gang et ils se moquent tous d'Ivan, que je trimbale avec moi comme un vulgaire sac à main.

Je vais ensuite leur dire que cette après-midi n'était pas libre pour eux et qu'ils ont beaucoup de missions a planifiées, car j'ai l'intention de devenir plus qu'une simple mafieuse, je serais une business woman.

PDV Ivan

  J'attendais Ilarya au loin pendant qu'elle parlait avec sa bande. Et ça avait l'air d'être important vu leur têtes.  Puis Ciro lui passe ces clés de moto. J'en déduis donc qu'on y va en moto. Après quelques instants elle revient vers moi et me fait signe de la suivre jusqu'au parking.

Arrivée devant la moto elle la chevauchée, ce qui lui donnait un côté bad girl tellement sexy. Je monte ensuite derrière elle et sans plus tarder, elle démarre.

***

Je suis entrain de la regarder mangé. Elle le remarque et me sourit, son sourire est tellement beau chez elle tout est beau jusqu'au moindre détail.
Je me demande pourquoi elle a la maison pour elle toute seule souvent, à chaque fois qu'on vient ici y a jamais personne mais je n'ose pas lui demandé de peur de gâché l'ambiance.
Après le déjeuner, elle se lève pour débarrasser la table et je ne peux pas m'empêcher d'admirai ces formes, elle a ce qui faut là où il le faut. Quand je disais qu'elle était parfaite, je n'exagerais pas

- Ivaan on va regarder un film au salon, allume la télé j'arrive.

- Ouais d'accord. Dis-je en marchant vers le salon.

- Me voilà on regarde quoi ?

- Je...

- Ta gueule, t'as vraiment cru, que je demandai ton avis mon pauvre.

- Redit moi encore une fois ta gueule et...

- Ta gueule. Me coupa t-elle encore une fois.

Je la prends par les hanches et la fait tomber. Nous nous retrouvons donc dans une position où elle est allongée et moi au-dessus d'elle.

- Aiie lâche moi espèce de connard.

- Ta gueule. Dis-je

- C'est mon ta gueule t'as pas le droit de l'utilisé

- Siii

- Non

- Sii

Je regarde ces lèvres pulpeuses qui me donne envie de l'embrasser fuguseument, mais non non qu'est ce qui m'arrive ? Elle inverse notre position et je me retrouve allongé et elle sur moi.

- Je suis la reine obéit esclave.

- La reine des garces.

Elle commence à rire, je crois que je ne vais plus pouvoir me retenir encore longtemps, son sourire me fait fondre.
Sans plus attendre j'écrase mes lèvres contre les siennes.