Je suis assise chez moi, sur mon lit. Mes genoux sont regroupé près de ma poitrine. Il fait nuit mais je n'arrive pas à dormir, c'est comme si le sommeil, pour cette nuit n'avait pas voulu m'habiter.
Je suis seule dans cette grande maison, et la seul lumière qui me parvint est celle de la lune qui transperce ma fenêtre ; de faibles rayons bleutés dans lesquelles flottent de fines particules noires. Dehors c'est l'averse, la pluie tombent dehors en de grosses gouttes dont certaines s'écrasent violemment contre ma fenêtre emplissant ma maison de ses plics plocs infernales. Je peux également voir que les rues sont vides dehors, les lampadaires de la rue sont d'ailleurs éteint. Mais qu'elle heure est-il ? Le seul être traversant la rue est cette eaux ruisselant sur les pavés qui semble m'appeler, de laquelle je détourne rapidement le regard ...
Chez moi, tout les objets qui m'entourent, d'habitude vide, sans vie, semblent, grâce au pouvoir de la nuit, prendre vie se mouvant au rythme du plic ploc de la pluie contre ma fenêtre. Le porte manteau, près de ma porte d'entrer, grince et se change en une silhouette noire grandiose et intimidante. Je ne sais trop pourquoi mais il me semble voir cette ombre progresser vers moi quand je ne la regarde pas ... Au pied de mon lit, mes vêtements entassés se muent en petits gobelins grognant et grattant les pied de mon lit ; tous me regarde de leurs larges sourires carnassiers. Je les voie, tous ils se gaussent de moi ! Et cette silhouette, cette ogre, au fond la pièce qui continu de progresser !
Puis des bruits, juste au dessus de moi, je le sais pourtant mes voisins ne sont pas là, néanmoins j'entends bien marché au dessus de moi ; des pas qui tournent en rond, faisant grincer le plancher, ils forment une sorte de cercle au dessus de ma tête. Tout autour de moi n'est que grognement et grincement. Mais pourquoi encore continus-tu d'avancé ? Et vous, n'avez-vous pas finis de vous gausser et de grignoter mon lit !
Je sais que tous me regarde, je vois bien leur yeux rouges, sanguinaire, posé sur moi. Et lui qui est déjà si proche ... Lentement, je vois ses mains sombres s'avancer comme sortant de la nuit, de cette silhouette qui n'est que ténébre, et moi je ne bouge pas, je suis paralysé. Alors ces mains froides s'enroule autour de mon cou, et m'aspire dans leur ténèbres ...
C'est alors que je me réveille en sursaut, la sueur coulant sur mon front ; dehors il fait toujours nuit et pleut remplissant ma maison d'un plic ploc infernale.
Thèmes :
-raconter au choix un cauchemar ou un rêve
-le personnage est seule chez lui, sans aucune source de lumière électrique, il fait nuit.
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Recueil De Nouvelles
Short StoryL'écriture est un art et une forme libre d'expression. Il est parfois plus facile d'écrire que de parler. Alors me voici laissant libre court à mon imagination sous des thèmes imposer vous invitant vous aussi à imaginé votre propre histoire. (Chaqu...