Découverte

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Lundi 1 Septembre 2036

Le jour où j'avais envie de connaître un peu plus sur mes parents.

C'était en découvrant une photo de ma mère et de ma tante au fin fond de mon grenier que j'ai décidé d'effectuer une petite escapade à Phœnix.

À 5 heures du matin, l'air innocent.

Ma tante me disait tout le temps de ne jamais sortir dehors sans son autorisation. Seuls les jours où j'avais école étaient des moments de liberté. Elle ne voulait pas que je finisse par perdre un bras ou que je devienne amputé d'un membre. Là-bas, des gens vivaient avec qu'un seul et unique bras humain. De nos jours, les rues sont dangereuses et les gens se méfient de tout le monde. Les trafics de membres semblaient toujours présents et les petites ruelles demeuraient toujours désertes dans les heures tardives.

J'ouvris ma fenêtre avec précaution pour pouvoir m'échapper et ainsi, passant tous les dangers possibles, je devenais ainsi libre de faire tout ce qui était de mon possible. Je franchis de toits en toits, bravant l'impossible, les obstacles qui se présentaient devant moi. J'essayais de passer inaperçue mais je priais, - et j'espérais que ce n'était pas le cas - , de ne pas me faire repérer. 

Les grandes avenues restaient toujours aussi bruyantes. Les voitures éclaboussaient les derniers piétons qui marchaient vers une direction inconnue. Moi même, je ne savais pas quoi faire. Peut-être m'acheter le dernier magazine « Jasmin » ou peut-être m'acheter les dernières bonbons tendances que tout le monde parlaient au lycée ou même rien faire et rester là à contempler Phœnix, comme toujours...

Je me faufilais à travers les rues qui résonne Phœnix en passant partout avec hasard. En marchant sur la plus grande avenue de ma ville natale, je remarquai que les boutiques étaient pleines à craquer de monde et je me rendis compte que tout le monde se ruait sur quelque chose alors d'autres rues semblaient vide de monde. Ma curiosité me possèdait, j'écartai tous ce monde pour voir ne serait-ce qu'un petit peu.

Dans cette boutique inconnu, je remarquai dans le coin de la vitrine que ce n'était pas à cause d'un simple jouet qui allait nous hypnotisé mais une machine aux formes atypiques et aux boutons plutôt étranges

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Dans cette boutique inconnu, je remarquai dans le coin de la vitrine que ce n'était pas à cause d'un simple jouet qui allait nous hypnotisé mais une machine aux formes atypiques et aux boutons plutôt étranges.

Elle était grise, formée de trois parties de commandes et une grande cabine dont les rideaux lui donnaient son aspect chaleureuse.

À sa gauche, se trouvait un petit panneau qui indiquait son nom, son créateur, sa date de fabrication et un court texte qui racontait sa folle aventure.

« Machine à remonter le temps, 2036 »

Je vis devant mes yeux toutes les réponses à mes questions les plus complexes. Le monde qui se situait derrière moi voulait simplement voir l'exposition de la fameuse machine temporelle.

Cette machine révolutionnaire annoncée pour 2032 avait pris quatre ans de retard. Elle devait être utilisée que pour le gouvernement en cas d'erreur catastrophique. Comme une bombe atomique lâché par erreur sur un pays qui fait des millions de morts. Celui qui la créerait remporterait une somme d'argent d'environ un million de dollars. C'était prometteur. Tout le monde se battait pour avoir ce mérite. Et un jour, un homme dont on ne savait pas le nom, l'annonçait qu'elle serait là en 2032. Tout le monde ne le croyait pas évidemment.

Voyage Temporel  {EN PAUSE}Où les histoires vivent. Découvrez maintenant