Un amour chassé croisé ~ Miraculous Ladybug Fanfiction

Faire tomber les murs qui nous séparent

Le lendemain, marinette avait peur d'aller au lycée. Si elle croissait Adrien, que devait-elle faire ? Après tout ce qu'elle lui avait avouer hier, elle se sentait morte de honte. Elle n'avais pas beaucoup dormit, elle était bien trop occupé à repenser au moment de rapprochement physique qu'elle avait eu avec chat noir, et donc avec Adrien.

Elle se leva lentement, a l'heure cette fois-ci. Elle eu même le temps de déjeuner. La fatigue et les courbatures avaient eu raison d'elle et elle avait le teint pâle et la mine fade.

Devant la grille du lycée, Alya n'était pas encore là, preuve que marinette était bien en avance. Elle sortit son téléphone de la sacoche qui lui pendait sur le flan et pianota sur l'écran quand une main se posa sur son épaule.

- Salut, mari.

Marinette aurais reconnu cette voix parmis des milliards. Elle se retourna lentement et vit qu'Adrien était planté devant elle, ses cheveux blonds étaient légèrement soulevés par la brise matinale. Il lui adressa un sourire et un signe de la main.

- Je voulais que... Que l'on parle de..

- Tais-toi ! Ne le dit pas ici ! Coupa t-elle.

Elle regarda tout autour d'eux pour être sûr que personne ne les avaient entendus ou ne les regardaient.

Adrien ouvrit de grands yeux. Marinette le repousser ? Il était perdu. Pourtant la veille il avait clairement compris qu'elle était amoureuse de lui. Pourquoi agissait-elle ainsi ?

- Mais mari...

- Non Adrien, s'il te plaît... Va t'en... Ce n'est pas le moment, ni l'endroit...

Adrien s'en alla, à contre cœur, rejoindre son ami Nino.

Pendant ce temps, Alya avait rejoint marinette, et elle avait remarqué le teint grisâtre et pâle de marinette. Sa meilleure amie était bizarre ce matin.

- T'est sûr que ça va Mari ? Demandait-elle sans arrêt.

Marinette avait beau répéter que ça aller, sa meilleure amie n'y croyait pas une seconde et posait des tonnes de questions. Toute la journée, Marinette avait évité les regards d'Adrien, et dès qu'il s'approché d'elle, elle partait dans la direction inverse. Elle rougissait terriblement quand elle le voyait, mais elle ne pouvait pas lui parler de leurs vies secrète, c'était trop risquer. De plus, la honte et la surprise qu'elle avait ressentit la veille former un mur qui l'empêchait d'aller lui parler.

A la sortie des cours, Marinette se dirigeait vers la boulangerie de ses parents quand elle entendit quelqu'un courir derrière elle pour la rattraper.

- Marinette ! Attends ! Cria la personne, essoufflé par sa course.

Marinette s'arrêta net. Elle savait très bien qui arrivait derrière elle. Elle n'eut pas besoin de se retourner. Il allait la rattraper de toute manière.

- Adrien... Murmura t-elle.

- Attend, s'il te plaît marinette... Dit Adrien, essoufflé.

Il se plaça devant elle, lui barrant ainsi la route. Elle ne lui échapperait pas cette fois ci. Il plongea son regard émeraude dans celui bleu profond de Marinette.

- Tu m'évites mari ? Dit-il avec un sourire en coin.

- Non, je.. je...

Marinette cherchait une excuse pour expliquer qu'elle avait fuit toute la journée mais elle n'en trouver pas et elle ne pouvait pas lui dire la vérité. La vérité étant qu'elle l'aimer mais pas lui et que ça lui briser le cœur, au point de ne plus vouloir lui parlé.

- Marinette, j'ai essayé de te faire comprendre toute la journée que je voulais qu'on parle et toi tu m'ignore... Dit-il. Je vais reposer la question... Es-ce que tu es déçu que je soit chat noir ?

- Non ! Adrien, non ! Je suis simplement déçu de MOI, tu comprends ! S'écria t-elle, la voix secouée par des sanglots.

- Mais pourquoi mari ?! Demanda Adrien, complètement perdu.

-Parce que tu aimes ladybug ! Et pas moi, Adrien ! Sans ce masque, je ne plus rien ! Je suis invisible... Je devient la maladroite et pauvre petite marinette, timide et coincé, et ça me détruit de savoir que tu aimes l'autre partit de moi ! La partie courageuse, audacieuse et sûr d'elle. Mais je ne suis pas elle, Adrien. La preuve, je suis si faible que je ne t'es jamais dit a quel point je t'aimais...

Marinette ne se contenait plus. Elle hurlait tout ce que son cœur voulait dire, en pleurant tout se que son corps retenait depuis bien trop longtemps. Adrien était là, coincé par ses mots qui lui faisait l'effet de centaine de coup de couteau. Il voulait lui hurlait là, dans la rue, combien il l'aimais et ce qu'il aurait été près à faire pour la revoir sourire et non pleurait. Il sentait son cœur se faire écrasait, doucement.

- Marinette... Dit-il en prenant la tête de marinette dans ses mains, Avec ou sans ton costume, tu est courageuse, audacieuse, et incroyable. C'est pour ça que tu es ma Lady, c'est pour ça que je t'aime tellement, marinette. Je t'aime... Toi... Ou ladybug... Vous êtes la même personne et je n'aimerai jamais plus jamais quelqu'un d'autre aussi fort. Tu es incroyable, ma lady. Je t'aime.. Je t'en supplie, dit moi que tu m'aimes aussi, en tant que chat noir... Lâcha Adrien.

Les larmes lui brûlaient le visage à présent et il tenait les joues écarlatent de marinette entre ses doigts, tremblant de partout. Marinette pleurait toujours. Ses larmes venaient se déposer sur les doigts d'Adrien, qui ne contrôlait plus ses émotions et pleurait lui aussi.

- Je t'aime toi et toute les parties de toi, avec tes défauts et tes qualités, je t'aime Adrien. Murmura Marinette dans un soupir.

Elle venait a peine de finir sa phrase qu'Adrien approcha ses lèvres des siennes et déposa un baiser timide. Marinette se sentit renaître à se baiser. Comme un éclair qui les traversa, les deux adolescents s'étaient fait foudroyé par leurs sentiments. Il recula et lâcha la tête de Marinette, rouge pivoine, leur visage ruisselant de larmes sèches.

- Je doit partir Adrien, j'ai des devoirs a terminer. Dit-elle

- D'accord, alors à demain ma Lady. Dit-il en lui souriant.

Leurs regards se croisèrent une dernière fois, et marinette continua sa route, laissant Adrien encore déboussolé, sur le trottoir.