Chapitre 28

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Chapitre 28

Elle n'avait encore rien avoué à Jack, mais avait tout dit à Finn. Ceci était sa réponse :

-Je m'en doutais déjà, et je suis heureux pour toi, Jack est un bon gars, tu devrais lui faire part de tes sentiments.

-Non, jamais ! S'il ne ressent pas la même chose, notre amitié est détruite !

-Peut-être, mais si tu ne lui dit jamais, tu vas jamais savoir s'il t'aime et si oui, tu vas manquer quelque chose de beau.

-J'aime mieux ne pas essayer, c'est pas comme si les relations amoureuse de notre âge allait durer tout une vie.

Ils ne s'en sont plus reparlé, Romy était décidée à cacher ses sentiments.

Son frère et sa soeur étaient partis il y avait quelques jours. Ils l'ont invitée à venir passer Noël chez leur mère et elle avait accepté. Romy n'avait pas encore remarquer comment sa mère lui manquait.

C'est à cause de cela qu'elle se retrouva, à six heure du matin, un vingt-deux décembre dans un aéroport, bagages à la main et amis à sa droite.

-On va s'ennuyer de toi Romy !!! Dit Édith, les larmes aux yeux.

-Je reviens le vingt-neuf, je ne vais pas être partie très longtemps, en plus tu pars dans un chalet pour un dix jours de snow.

-Quand même !

-Oh s'il-te plaît Édith, c'est moi qui est prise toute seule, s'exclama Lilia.

-Peut importe, c'est vrai qu'on va s'ennuyer de toi, j'espère que tout se passera bien, rajouta Finn en lui faisant un câlin.

Les accolades des deux filles suivirent pour ensuite, laisser Jack faire son au revoir.

-Tu vas me manquer, n'a pas peur de m'appeler ou de me texter.

Romy regarda ses yeux verts pour ensuite regarder tout son visage, elle le pris en photo dans son esprit pour se rappeler de tous les petits détails qui formaient se visage si parfait.

Je t'aime, pensa-t'elle.

-Moi aussi, je vais m'ennuyer de toi, dit-elle en lui faisant un câlin.

Elle reposa sa tête dans le creux de son épaules et pris conscience de son odeur, il sentait vraiment bon. Elle finit par le relâcher et partit vers son avion.

Elle regarda le paysage minuscule q'on pouvait apercevoir derrière la petite fenêtre. Elle se rappela de combien elle était triste de venir vivre en Angleterre, comme c'était drôle quand ce moment elle était triste de partir et de retourner à son cauchemars.

Elle se demandait si elle allait revoir Noah.

Et que si oui, est-ce qu'il allait se rappeler d'elle ?

Est-ce qu'il avait changé ?

Aussi, elle s'inquiétait de Henry, ils s'étaient parler, et il s'était calmé, mais es-ce qu'il allait être pareil dans son environnement ?

Trop tôt à son goût, l'avion atterrit.

The Used criait dans ses écouteurs, elle n'entendait point le bruit de ses respirations, des roues de sa valise qui roulaient sur le sol ou même le brouhaha de l'aéroport. Elle cherchait des yeux sa famille.

Quand le diable souritOù les histoires vivent. Découvrez maintenant