«FINN JE RÊVE OÙ TU AS MIS LE PUTAIN DE NOM DE CETTE VILLE QUELQUE PART SUR LES RÉSEAUX ?, crie ai-je en rentrant dans ma chambre
-Bonjour à toi aussi Laura., dit-il en souriant»Je souffla et m'assis sur le bord du lit.
«Pardon.
-T'es excuses son accepté, maintenant est-ce que j'ai le droit à un petit bisou ?, dit-il en faisant la moue
-Non. Je ne suis pas d'humeur.»Je tourna ma tête pour voir la réaction qu'il aurait et, il était totalement offusqué: les yeux grands ouverts, la bouche entre ouverte.
Je rigola puis il prit la parole.
«Alors ça c'est pas cool Laura, je suis déçu.
-Je suis partis chercher un PUTAIN DE COLIS,
-Et ?
-Et ? Et bah je me demande pourquoi il a une FOULE de TES fann, dis-je en le pointant du doigt, qu'y me disent "t'es bien la copine à Finn ?", "C'est toi Laura ?", "Où est Finn ?" ALORS TU VAS M'EXPLIQUER CE BORDEL !»Il pouffa un rire puis me dit:
«On devrait peut-être officialiser nôtre relation ?
-Sérieusement ça te fait rire ? ÇA TE FAIS RIRE ?
-T'es carrément trop mignonne quand tu t'énerve.»Il s'empressa de m'embrasser, baiser auquel je répondis quelques secondes avant de le repousser.
«Je t'ai dis que je n'était pas d'humeur !
-Ça t'a pas empêcher d'y répondre., dit-il sourire en coin
-Tu m'y a obligé.»Il me fit une mine choqué puis repris.
«Qu'elle menteuse !»
Je rigola puis ajouta:
«Indirectement., dis-je en me levant
-Ah ouais ?, fit-il avec un sourire imbécile
-Tu me faisais pitié., avoue ai-je en partant de ma chambre pour me prendre un verre d'eau.»***
«Chat ?
-C'est moi.
-Demain on va a Paris.
-Cool !
-Je vais pouvoir faire des photos je suis pressée !, dis-je en posant deux assiettes de steak/pâtes
-Cuisinière ?
-Comme tu le vois.»On rigola puis Finn prit la parole.
«Lily n'est pas là ?
-Chez son crush..., dis-je en sourians
-Je...
-Tu ?
-Peux rester que 5 jours.
-Pardon ?
-Enfin, quand le cast sera là je vais devoir rester avec eux... le truc c'est qu'on pourra pas ce voir beaucoup parce je vais avoir beaucoup d'interview alors...»J'avoue que les derniers mots étaient flou; je n'écoutais plus vraiment. Mon regard était vide et ne regardait rien... comme perdu.
cinq jours...
Beaucoup, Beaucoup trop court.
«En gros, on pourra plus ce voir alors que tu seras la ville à côté ?
-Presque plus ce voir...»J'avala difficilement ma salive puis je sentis quelques larmes arriver à la surface de mes yeux.