Léna Blase.
Aucun bruit de parvint à mes oreilles, tout me sembles trop calme et même un peu trop d'ailleurs. D'un regard circulaire, j'analyse l'environnement qui s'offrait à moi. Je pris le temps d'observer chaque petit détail, chaque bruit, chaque objet, il ne fallait laissé aucune preuve, du moins, aucune preuve de pour retracer la personne, moi, qui avait commis le crime.
Je couru le plus vite que je pus en direction de la rue voisine, par mégarde j'y avais oublié mon Beretta 92. Je ne pris pas le temps de regarder autour de moi pour m'assurer que personne ne me voyait car je n'en avais pas le temps, il fallait que je dégage d'ici au plus vite avant que la c'est foutu agent ne vient mêler leurs culs à cette histoire. J'attrapa mon pistolet à terre d'un geste chaste avant de me retourner brutalement et de tirer une balle vers le mur.
Sans surprise, la caméra de sécurité explosa en mille morceau mais malheureusement pour moi, au même moment j'entendis des roues de voitures se garer dans la rue d'en face. Je compris tout de suite de qui il s'agissait et une pointe de stresse naquit en moi.
Il fallait que je trouve un endroit où me cacher le plus vite que possible sinon j'étais cuite. Alors oui, mon habit assez provocatrice, tâché de sang des trois hommes que je venais de salement torturé avant d'abattre ne laissait place au doute. Et je suis convaincu qu'il ne suffirait pas de ma jolie moue de femme émergée par la solitude pour qu'il m'épargne.
J'étais toujours dans la rue, planté tout droit comme un piqué, réfléchissant à mille solution pour me sortir de ce pétrin. Quand soudain, une porte claqua, ce qui me dit légèrement sursauter, non de peur mais de surprise.
Je me retourna brusquement avant de pointer mon pistolet en direction de la porte que je n'avais même pas remarquer dû à ma précipitation. La porte en question était une porte de secours d'un bar qui à cette heure-ci avait dû déjà fermé, d'où le manque de bruit.
Que ne fut ma surprise en découvrant un homme d'environs la quarantaine qui avait l'air à moitié bourrées et une femme, non pour ne pas dire une pute, qui se dévoraient la langue de manière si sauvage que j'en restais béate. L'homme en question passa sa main droite sous la jupe de la pute avant s'accrocher ses fesses et de la plaquer au mur. Tellement occupés, ils ne remarquèrent pas ma présence et encore moins celui de mon Beretta 92.
Trop dégoûtée par le spectacle qui s'offrait à moi, je me décida d'appuyer sur la détente de quoi les effrayés un peu. Un petit sursaut se fit entendre avant que la pute ne décide en relever ses yeux. Dès lors où des iris des marrons banals se posèrent sur moi, la peur envahi tout son êtres, elle resta figée devant moi, ne comprenant sûrement pas pourquoi une inconnue avait un pistolet pointé en sa direction.
Elle essaya de pousser l'homme qui lui, étant dos à moi, n'avait pu remarquer ma présence, ni même entendre le bruit de mon arme, sûrement trop occupé à dévorer le corps de la pute. Il ne l'a lâcha pas pour autant et continua à la dévorer, celle-ci bien trop effrayé finit par céder et resta stoïque face à moi.
J'avais une de ces envies de tirer, juste une seule balle mais il fallait que je fasse abstraction de mes envies car le bruit du coup de feu allait juste attirer l'attention des agents. Alors, il fallait que je fasse sans.
Je m'avance à pas de lion vers mes proies, l'arme toujours pointé vers le crâne de la prostituer. Elle comprit très vite que je ne voulais qu'elle crie, ni même qu'elle prononce un mot au risque de ne pas sortir vivant de cette ruelle.
D'un coup prudent et calculer, j'écrasa violemment le dos de mon pistolet contre le crâne de l'homme et lui tennis la bouche pour qu'il ne puisse crier. Ce simple coup suffit pour le faire crouler à terre en moins de deux.
L'homme était à présent évanouie au sol et la pute toujours là, stoïque à me regarder comme si j'étais Satan et que j'étais venu pour lui faire passer l'arme à gauche.
-- S'il .., s'il vous plaît, ne me faite pas de mal. J'ai un bébé, je ne veux pas qu'il finisse à l'orphelinat, sans personne. Elle chuchote avant de fondre en l'arme ce qui suffit à m'énerver de plus belle.
J'ai toujours haïe les personnes qui se servaient de leurs enfants comme excuse pour tout, à croire que si il avait donné naissance, c'était pour après se servir d'eux pour attiser la porte des gens dans des moments comme celui-ci. Et puis, si je la tuais, ça ne sera que bénéfique pour son enfants, car on pouvait sentir à des milliers de kilomètres qu'elle puait le sexe et ses habits et la scène à laquelle je venais d'assister malgré mon gré, me suffisait pour conclure que son fils ou sa fille se porterait beaucoup mieux dans un orphelinat qu'avec elle, une pute.
Mais malheureusement pour moi, même si je voulais plus que tout la butter, je ne pouvais pas. Un seul coup de feu suffirait à ramener des centaines d'agents surentraînés sur les lieux et cela était ceux à quoi j'aspirais le moins. Je me décida donc à baisser mon arme, ce qui la dit lâcher un soupire sûrement soulagement.
-- Ne te réjouie pas trop vite. Ce n'est pas pour ton histoire de merde que je ne te flingue pas mais c'est juste que l'occasion ne me laisse pas le choix. Commençais-je d'une voix qui faisait penser à celui d'un démon, grave et sérieux. Maintenant, déshabille-toi. L'ordonnais-je tandis qu'elle m'observait totalement ahurie.
-- Qu.. Quoi ? Elle réussit à difficilement articuler une lueur de leur et d'incompréhension dans les yeux.
-- Tu as bien entendue. Fais-le et plus vite que cela sinon je n'hésiterais pas. Je la menace sachant pourtant très bien que je ne pouvais et ne pourrais assouvir mes envies meurtrières.
Elle comprit tout de suite à quoi je faisais allusion et se dépêcha de retirer ses habilles qui puait la pute et le sexe à plein nez sous mon regard de meurtriers avant de me les tendres. Je les attrapa sans brocher tandis qu'elle recouvrait son corps que juste ses sous-vêtements recouvraient avec ses mains. Elle frissonnait dû au froid glacial de ce mois de décembre.
Je me dépêcha d'enlever à mon tour mes habits avant défiler ceux de la pute non sans qu'une envie de vomir me prenne sur le coup. Dès que j'eus finis de m'habiller, je lui jeta mes habitats tachés de sang sur la face. Elle me regarda l'air incompréhensible.
-- Tu vas enfiler ses habits et faire vingts pas jusqu'à la rue en face sans t'arrêter, ni te retourner. Je dis d'un air on ne peut plus sérieux.
Elle me regarda effrayé, tous ses membres tremblaient en voyant l'état de la tenue mais dès qu'elle croisa mon regard électrique, elle se dépêcha d'exécuter rapidement mon ordres.
Des qu'elle avait fini, elle se dépêcha d'exécuter mes ordres, trop effrayé pour conteste. Au moment même où elle eut finit de s'habiller, elle se dépêcha d'entamer sa marche.
-- Une dernière chose, si par accident, tu viens à dire à quelqu'un que tu quelqu'un ta forcé à faire ça, je retrouve ta fille où qu'elle soit et crois-moi, elle sera envoyé quelque part mais pas à l'orphelinat, je te l'assure. Je la chuchote d'une voix rauque et effrayante.
Elle se contenta d'hocher la tête, signe qu'elle avait compris avant de reprendre sa marche, le bruit de ses sanglots muets, résonnant dans la ruelle.
Je me dépêcha de rentrer dans le Var par la porte de secours avant d'entamer une course rapide au milieu du bar désert. Il fallait que je sorte d'ici, de ce bar, de ce quartier et de ce pays le plus vite que possible. On était jamais trop prudent et je ne sais vu cette vielle pute allait garder sa langue dans sa poche et en me connaissant, je serais capable de tenir ma promesse si elle l'ouvrait, donc elle ferait mieux de la-fermer.
J'arrive finalement à sortir de ce bars, et seulement quelques secondes plus tard, j'attendis plusieurs voitures démarrer, ce qui suffit à me confirmer que mon plan avait bien et belle marcher. Un sourire plus que radieux et lumineux apparut sur mes lèvres, et c'est encore une fois si facilement que je réussis à échapper à cette stupide agence à deux balles qui en réalité de valait même pas un clous nommé la CIA.
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Inconciliable
RomansaDepuis déjà dix ans, Léna Blase travaille pour la plus grande agence de meurtre au monde, Rivalry Wood. Depuis ses seize ans, Léna a commencé à comptabiliser plus de crimes que de sourire. A présent, le nombres d'hommes torturés et assassinés dans s...