Chapitre 24

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Je suis réveillé par une petite chipie qui saute sur mon lit. Sa joie déborde, elle rit, elle est magnifique. Je regarde le réveil. Il est 6h. Mais quelle mouche la piquée. 

Nathy : Lorie, il est 6h tu devrais dormir.

Lorie : je peux pas. J'ai besoin de toi. 

Nathy : Pourquoi tu ne vas pas voir ta nourrice ? 

Lorie : Je peux pas. Je l'ai tuée hier, et Nicolae n'a pas eu le temps d'en trouver une autre. Dépêche toi, je t'attends dans la cuisine. 

Nathy : Elle l'a tuée. Je me demande comment il fait pour trouver des nourrices. Un jour les gens vont se poser des questions. Je me lève et m'habille vite fait. Je rejoints Lorie à la cuisine. 

Lorie : On va faire un gros gâteau. 

Nathy : Un gâteau ? Pourquoi faire tu n'en manges pas. 

Lorie : C'est pas pour moi banane. C'est pour ma classe. Aujourd'hui, c'est mon anniversaire, et j'ai invitée toute ma classe à la maison. J'ai 136 ans.

Nathy : Nicolae est au courant ? 

Lorie : Bah, je pensais que tu lui dirais. 

Je leva les yeux aux ciel, et nous commencions à faire deux gâteaux. Un pour la maison et un pour l'école. Lorie est ravie, elle me donne un vrai coup de main, debout sur la chaise. Peter nous observait depuis l'encadrement de la porte. Il souriait.

Peter : Bonne anniversaire ma grande. Tu as réussi à entraîner Nathy la dedans. 

Lorie : Ouiiiii. Regardes, on n'a fait des jolis gâteaux. 

Nicolae : Lorie déjà debout. Comme c'est joli !!

Nathy : Merci, mais c'est elle qui pratiquement tout fait. Lorie a apparemment invité toute se classe à venir ici tout à l'heure. J'espère que tu n'est pas contre cette idée. 

Nicolae : Lorie ! On n'avait dit quoi ? Tu vas annuler toutes ses  invitations. 

Nathy : Ce n'est pas grave, je m'en chargerais. Sa lui fait tellement plaisir. Se sera mon cadeau. 

Peter : Je t'aiderais. Tu est encore faible. Manges un peu. 

Drogo arriva et passa aussitôt derrière moi. Sans aucune gène, il souleva mes cheveux et m'embrassa dans le cou. Ses frères restèrent de marbre. Il me jeta une pomme et m'agita les clefs de sa voiture sous le nez. 

Drogo : Tu compte y aller à pied, ou avec moi. On va finir par être en retard. 

Je ne savais pas quoi répondre. Son baiser m'avait déboussoler. Les mots ne venait pas.  Je décida de le suivre. 

Pdv de Drogo 

Elle était là, je ne voulait pas que les autres me la vole. Elle est à moi . Je lui dépose un chaste baiser pour la chauffer et lui demande de m e suivre. A   peine fut elle sorti que je me jetai sur elle, l'embrassant à pleine bouche. Elle tenta de me repousser, mais elle n'avait pas beaucoup de force. Je l'embrassai, ses lèvres avaient un goût de vanille. Je bandais. J'essayai de forcer le passage de sa bouche pour y introduire ma langue, mais elle maintint les dents serrées. J'appuyai alors violemment sur ses seins pour qu'elle rentre dans la voiture.Je démarra rapidement et parti me garer dans un petit chemin, à l'abri des regards.  Elle geignit lorsque je déboutonnai les premiers boutons de son chemisier et passai mes mains dessous. Elle prit fermement ma main, dans une vaine tentative de la retirer, sans jamais lâcher un mot de protestation. Je fis courir mes doigts le long de ses jambes, puis relevai sa jupe. Elle écarquilla les yeux de frayeur et tenta d'articuler quelque chose, mais aucun mot ne sortit de sa bouche. Elle avait l'air effrayé. Cela m'excita encore plus. Ces jambes étaient blanches et douces et je tentai de me frayer un passage entre ses cuisses qu'elle maintenait désespérément fermées. En vain. J'étais énervé de ne pas parvenir à mes fins. Je pressai mes mains plus fort sur ses genoux, elle se tortilla pour m'échapper, mais elle ne put résister plus longtemps et je parvins aisément à ouvrir ses jambes. Elle tenta de les refermer, mais je la poussai à la renverse sur le siège, les jambes en l'air et lui donnai une grosse fessée. Les événements prenaient une tournure intéressante. Je la sentais tendue, mais ses jambes fléchissaient. Je la fessai encore pour qu'elle comprenne bien qu'elle était ma chose. Puis je glissai ma main entre ses cuisses.

Drogo  : Bien, bien, bien, dis-je avec un sourire carnassier. C'est très intéressant tout ça. On dirait bien que notre petite petite chose est trempée. Sa à l'air de te plaire. Je sentais sa culotte mouillée et l'écartai pour découvrir sa petite chatte rose, couverte d'une fine toison brune. Je me disais bien que c'était ce que tu attendais, en fait, ajoutai-je en introduisant un doigt dans sa moiteur et en l'observant se débattre et gémir. Lorsque je glissai un doigt, elle saisit ma main, mais j'attrapai ses deux poignets d'une main et maintins mon étreinte afin qu'elle ne me gêne plus. Je glissai mes doigts mouillés dans sa fente, et caressai doucement son clito. Elle ferma les yeux et se cambra. C'est ça, fais-toi plaisir petite chose, détends toi. Tu veux que je te mette plus de doigts? Elle fit non, non de la tête et se mordit la lèvre. Je continuai, la doigtai plus ardemment encore. Je trouvai son clitoris, le frottai et fus surpris de le sentir allongé et gonflé. Les yeux fermés, elle gémit et arqua le dos. Je jouissais du pouvoir que j'exerçais sur elle. Je la regardai se raidir, son corps contre le mien. Alors, je m'interrompis.Je ferais mieux d'arrêter, dis-je en lui souriant sadiquement. Je glissai mes doigts dans la bouche. J'aimais son goût. Elle semblait embarrassée et frustrée. Les jambes fermées, elle réfléchissait à ce qu'elle devait dire ou faire.

Drogo Sauf si tu veux continuer. (Je la regardai dans les yeux, mais elle détourna le regard et haussa les épaules.) Tu n'as qu'à me le demander.

A ce moment, on aurait dit qu'elle était sur le point de pleurer. Elle se tenait les jambes, les frottant l'une contre l'autre. 

Drogo  : Si mouillée et si près du but, mais ton excitation est retombée, n'est-ce pas ? Tu sais quoi, je suis vraiment bon avec ces choses-là. Je suis sûr que je peux te faire jouir en un rien de temps. Alors décide-toi rapidement avant qu'il ne soit trop tard.

Nathy : (Elle déglutit.) «Ok»

Drogo : Non, pas Ok. Dis que tu en as envie. Je posai ma main sur ses jambes et les ouvris. 

Je la poussai sur la banquette arrière et l'embrassai sauvagement. Je relevai sa jupe, glissai une main dans sa culotte à la recherche de son clito. Je la retrouvai mouillée. Trempée plutôt. Alors que je la doigtais, je lui pris la main et l'enfonçai dans mon boxer. Elle saisit ma bite en érection, sans bouger ; elle la tenait juste entre ses doigts et sa respiration s'accéléra.Mes doigts étaient brillants de son jus, je lui caressai le clito en appuyant dessus et entrepris un lent mouvement circulaire avec deux doigts.Elle se mit à me branler, doucement, avec hésitation. Elle tenta de glisser contre la banquette, se tortilla pour échapper à mes doigts.

Drogo : Que veux-tu ?

murmurai-je à son oreille, la guidant avec main pour qu'elle me caresse plus vite. Si... près du but.... Elle semblait vraiment le vouloir son orgasme, mais elle luttait pour ne pas crier. Je glissai un doigt en elle. Elle était si étroite, et j'avais de si gros doigts que je crus que je ne pourrais jamais en introduire un deuxième. C'était un charmant spectacle. Elle prit peur quand elle se mit à jouir. Je la doigtai tout en caressant son clito du bout du pouce ; elle mit ses mains à la bouche afin d'étouffer ses cris.Dès qu'elle eut joui, elle sortit en trombe de ma voiture, et parti vomir. 

Elle se releva et me sauta au cou

Nathy : C'était si ... Je ne trouve pas les mots. 

Je souris. Elle remonta dans la voiture et nous nous rendirent en classe. Ses joues avait une bonne couleur, elle était lègere. Je savais que sa lui avait fait du bien.

Is it love ?    Tome 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant