chapitre 38

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Pdv Nathy

Une vive douleur dans mon cou me reveille. Il m'a mordu. Il doit s'areter, il va me vider de mon sang. Il sait que je suis  l'ami de Klauss, mais je dois sauver ma vie. Tans pis pour la suite. 

Nathy : Je suis... enceinte. 

Sa à marché. Il me lâche surpris. 

Jack : Et que veut tu que sa me fasse. J'ai faim. 

Nathy : J'ai une glacière pleine de poche de sang. Et je pense que si tu me ramene à Klauss tu auras une récompense. Il doit me chercher partout.

Jack : Et pourquoi Klauss aurait pitié d'une humaine enceinte. Tu est amie avec lui, ok. Mais Klauss n'a pas d'amis. Tu est sa poche de sang ambulante. Il se sert de toi ma joli. Hum, tu as dit vrai. Sa te laisse un sursis. Sa va me faire des reserves. Maintenant dort, ou je t'hypnotise pour que tu me pose pas de problèmes. D'ailleurs en y réflechisant on pourrait s'amuser tout les deux. J'ai toute la journée. 

Nathy : Vous ne me toucherez pas. Et où sommes nous. C'est quoi cet endroit. 

Jack : C'est un hotel. Le soleil c'est levé, et pas de chance pour toi il brille beaucoup. 

En deux secondes, il m'avait attaché les mains à la tête du lit. Il commence alors à m'embrasser. Je tente de le repousser mais je n'y arrive pas. Je serre mes levres de toutes mes forces. Il est vraiment répugnant, il me rapelle Loan. Je ne veux pas revivre ce cauchemar. Pourquoi je suis partie. Je le regrette vraiment. Il vent d'arracher mon haut, et presse fortement sur ma poitrine pour la compresser. Il pince mes tétons comme pour les écraser. 

Nathy : AU SECOURS 

Jack : Sa ne sert à rien de crier, j'ai tuer tout le monde. 

Je suis perdue. es larmes coulent le long de mes joues. Je n'ai plus aucun espoir. Mais soudain, je le vois qui commence à bruler. Il se recule et part dans un coin sombre. La porte est ouverte. Je ne vois pas le visage de mon sauveur, je vois juste une ombre entourée de lumière. Jack est acroupi dans le coin. 

??? : Klauss la veut vivante. Tu es un fou. Mais pour m'avoir prévenu, je te laisse la vie sauve. 

Klauss. Il a envoyé quelqu'un pour me chercher. Soudainement un pieu vole dans la pièce et transperce le coeur de Jack. L'homme qui se tenait à l'entrée tombe à terre. Un autre homme est derrière lui. Il tient son coeur dans la main. 

??? : Alors petite chose, je t'ai manqué ? 

Nathy : Dro.. Drogo !!! Comme je suis contente de te revoir. Je suis vraiment désolé je n'aurais pas du ....

Drogo : Chuuut. Viens par là. c'est fini maintenant, je suis là. Calme toi. Je t'avais promis de toujours veiller sur toi. 

  ( Attention scène pouvant heurter certains public)  

Il m'agrippa le bras de sa main gauche et le caressa timidement avec la droite. Ses doigts, habités soudain par une merveilleuse douceur, descendaient de mon épaule à mon poignet, pour remonter ensuite du poignet à l'épaule. C'était comme si il me caressait avec un plumet volatile et humide. Puis il approcha mon bras de sa bouche. Il embrassait d'une façon perverse et savante : d'abord les lèvres serrées, frôlant à peine ma peau, ensuite du bout de sa langue pointant entre ses lèvres entrouvertes et, pour finir, à pleine bouche. Son souffle saccadé, la dure froideur de ses dents et la chaleur humide de sa langue se fondant en une tentation unique qui m'excitait. C'était une sensation diffuse, difficile à définir, mais lubriquement efficace. Un profond frisson parcourut tous les pores de ma peau et je me levai. Saisi d'une véritable fureur sexuelle, j'oubliai mon dégoût et ma migraine, la saleté de la pièce, la laideur de la scène qui se trouvait à mes cotés. Il se serra contre moi, comme l'autre moitié d'un sandwich. Il referma sa bouche avide sur mon cou et je sentis sur ma poitrine la chaleur de sa chair.  

   Débarrassé de ces vêtements, Il me fit de même pour ma chemise, qu'il déboutonna lentement, accélérant mon poul et faisant monter ma température, puis il la jeta à travers la pièce et me dégrafa mon soutien-gorge. Il s'attarda longuement sur mes seins, qui déjà pointaient vers le haut et se courbaient à chaque caresse. Mon souffle se fit plus ardu à mesure qu'il me massait les tétons, et je ne pus retenir un gémissement quand il passa sa langue sur mon sein tendu au maximum. Promenant sa langue partout sur mon corps, il descendit et m'enleva mon string qu'il fit tomber au pied du lit. Une vague d'excitation naquit au creux de mon ventre, j'avais tellement envie d'un cunnilingus ! Et il faut croire que nos pensées se croisèrent, car à l'instant où je formulai cette silencieuse prière,il se baissa soudainement, venant poser sa langue chaude sur ma cuisse. Il s'amusa alors à partir à la découverte de ma jambe, enhardi par mon souffle dans son cou. Il contourna mon genoux, remonta sur ma cuisse, se dirigea un peu sur le côté, mais contournant toujours mon entrejambe. Je me sentais me liquéfier, me n'en pouvais plus, je n'avais plus qu'une hâte, et je le suppliai d'en finir avec moi. Abandonnant son parcours, il posa délicatement la pointe de sa langue sur mon petit bouton, ses deux doigts écartant mes lèvres pour mieux parvenir à ses fins. Cette caresse me produisit une vague de plaisir, et je poussai un gémissement aigu. À chaque nouvel endroit atteint, je gémissais, frémissais. Il me renversa soudain sur le côté . Je savais ce qu'il allait faire et j'en avais envie, çà faisait longtemps que je n'avais pas ressentis de telles sensations.Il avança son sexe qui cognait contre mes fesses, et posa le gland à l'entrée de mon anus. Et il m'enfonça brutalement son membre dans l'anus. Je ne pus retenir un cri de douleur, mais il disparut vite, et quand il commença à me donner de grands coups de reins, ce cri fut remplacé par d'autres cris de plaisir. Il y allait avec puissance, précision, et je sentis soudain mon ventre fourmiller, j'avais chaud, mes muscles se contractèrent, mon corps se cabra, et je jouis dans un immense orgasme, criant mon plaisir et tremblant de tout mon corps.  Nous nous effondrâmes l'un sur l'autre, épuisés mais rassasiés tous les deux. C'était encore mieux que notre première fois. Il était doux, attentionné, il savait comment me procurer du plaisir. Grâce à lui, j'avais oublié l'espace d'un instant le pourquoi de ma venue ici. 

Drogo : Je te ramène au manoir. Tout le monde est mort d'inquiétude.

Nathy : Je ...

Drogo : Ne te tracasse pas. A partir d'aujourd'hui tout va changer. 

Is it love ?    Tome 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant