Chapitre 1 : Les jumelles

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Il était une fois, une petite ville au milieu de l'Australie du nom de Révemont. Dans cette petite ville se trouvaient deux filles, elles étaient jumelles mais elles ne se ressemblaient pas vraiment. La plus vieille se nommait Maria, elle était belle, gentille et douce. Elle avait de longs cheveux blonds comme les rayons du soleil, elle avait la peau blanche comme la neige et les yeux comme le sang. La plus jeune quant à elle était aussi belle que sa sœur, mais elle était réservée et mystérieuse. Elle possédait de longs cheveux noires ébène et de magnifiques yeux vert-bleu. Elle s'appelait Ophélia.

Elles habitaient dans une petite maison tout au bout du village, la maison était à l'écart du village. Elle était petite mais accueillante, les filles y vivaient discrètement à l'écart des autres cacher de leurs regards. Le village était très grand et ne manquait de rien, tout y était en passant du commissariat par l'église ou boutiques et marcher et même par l'école. Ce petit village possédait également des bains publics pour le bonheur de tous les villageois.

Les deux sœurs s'entendaient bien avec les villageois, et ne posaient aucun problème. Elles étaient inséparables l'une de l'autre. Les filles étaient orphelines, elles avaient perdu leurs parents très jeunes. Tous les villageois connaissaient leurs situations et les aider du mieux qu'ils pouvaient en leur donnant beaucoup d'amour, le maire quand à lui avait promis à leur mère avant sa mort de veiller sur ses filles ce qu'il fessait avec bienveillance et gentillesse.

Rien ne semblait déranger la vie des villageois de ce petit village paisible, jusqu'au soir où le vieux fermier du village se fit attaquer par une grosse bête féroce qui ressemblait beaucoup à un loup. Ce loup était beaucoup plus grand que les èspèces connues. Le loup le tua sauvagement, on pouvait entendre les cris strident du fermier, puis plus rien, le fermier était mort et le loup l'avait dévoré. La bête disparut à l'arrivée des villageois qui accoururent sur la scène du massacre. Les habitants poursuivirent le loup mais perdirent sa trace à l'entrée de la forêt. Le cadavre fit enterré au petit matin et les prières lui firent donner. Le shérif de la ville décida de mettre la tête de la bête à prix.

Au petit matin Maria avait parcouru la ville comme à son habitude, elle s'arrête surprise à l'entente d'une discussion étrange. Elle entendit les villageois parler du meurtre du vieux fermier par une bête ressemblant à un loup, prise de panique elle fit demi-tour et se dépêcha de rentrer. Sur le chemin du retour elle aperçut la mise à prix sur le loup, elle se mit à courir pour rentrer, une fois arriver elle s'assise en attendant sa sœur. Maria était paniquée et perdue, elle ne pouvait pas s'imaginer une seule seconde que ce soit sa sœur qui est tué le vieux fermier. Elle se sentait impuissante et la seule chose qu'elle pouvait faire pour le moment était d'attendre sa sœur pour en discuter.

Le retour de la mortOù les histoires vivent. Découvrez maintenant