Je me nomme Bactéric. Et ces derniers temps, j'ai vécu les moments les plus intenses de ma vie.
J'était attaché dans un campament millitaire au large du RP. On devait m'emener en prison avec le reste de la RAW, que j'avais aidé à fuir. Oh, ce n'était pas très bien vu par Engouement, mais je ne voulais pas me laisser faire. En plus, Pifeger me devait quelquechose. Quelquechose que je convoitais depuis longtemps. Et je ne devais pas mourrir en tôle pour ça. J'ai donc sauté du convoi. Malheuresement, ce n'était pas la bonne chose à faire. La pente trop raide ma fait dégringoler en bas d'un fossé, je me pris plusieurs branche dans les yeux, mon corps était déchiré de tout les côtés. Les gardes d'en haut, me voyant dans un piteux état m'ont cru mort et m'ont laissé ici. Eh bien à leurs place, je l'aurais cru aussi. Mon torse ouvert en deux me laisser voir mes organes. Mais alors que j'ai cru perdre tout espoir, quelquechose naquit en moi et je me retrouvais avec un corps neuf allongé par terre. Je n'y compris plus rien.
Ce n'est pas comme ci... Enfin, j'ai décidé d'aller sauver mes amis à la prison de Général ou il était emmené. J'ai pris la route avec une couple de marchand en montant à l'arrière de leur charette. Elle était rempli de porcelaine en tous genre, elle même rempli de produit dont je ne pouvais voir le contenu. J'ai pas eu le temps de regarder ce qu'il y avait dedans qu'on ma invité à m'assoir à l'avant. On a pris la route un moment, puis on a monté un camp pour la nuit. En effet, contrairement au puissant moteur à traction de l'armée, ce couple se déplaçait grâce à leur chevaux, et ces derniers devait se reposer. Le matin suivant, on repris la route. Le couple m'informa qu'on allait faire une petit détour pour leurs affaires, mais qu'on rejoindrait Général pour le festival d'ici 2 jours.
Le festival est un évènement annuel à Général où les ventes grimpent en flèche. Des marchands de toute la planète y viennent pour vendre leurs spécialités, et évidemment avoir un permis là-bas de vente est extremement rare, vu le nombre de client qu'il y a, donc beaucoup se place à l'extérieur des villes pour tenter d'amadouer les voyageurs avant qu'il pénètre dans la ville. Je ne sais pas ce que compte faire ces marchands. La politique d'égalité d'Engouement laisse n'importe qui, pauvre ou riche, avoir sa chance de venir.
On s'est arrêté dans la ville de Painbourg, au sud de Général, mais vu que je n'ai aucun talent pour faire une carte, je ne pourrais pas vous montrer exactement, j'espère toujours trouver quelqu'un d'assez talentueux pour dessiner certaines esquisse pour moi. Enfin, il aura qu'a me contacter via ma MP, ma messagerie postale.
Certes charmante bourgade moyennageuse possèdait une auberge qui servait une soupe succulente. Soupe au oignons , miam !! C'est en payant ma chambre que je me suis rendu compte du peu d'argent que j'avais sur moi. J'aurais pu tenter de retourner chez moi, mais Engouement, apprenant la fuite, avait du sécuriser la zone. Tant pis, les jours d'après, je dormirai à la belle étoile. J'ai ensuite aider le couple à décharger 2 amphores, puis ils sont partis dans des ruelles me demandant de les attendre à la charette. Suite à des discussions avec eux, j'ai appris leurs noms. Charlotte et ... Je ne m'en rapelle pas.
Il revinrent, nous profitâmes d'un bon repas à l'auberge et repartîmes le lendemain de bonne heure. C'est là que les choses ont continué à se compliquer. L'homme a décider de prendre un raccourci pour arriver, selon sa carte, 1 jour plus tot à Général. Le chemin qu'il emprunta était très caillouteux, et ce fut le drame. Un rocher un peu trop gros et un vase à l'arrière tomba dans un gros bruit d'éclat de verre. Ils m'incitèrent à rester sur place pendant que je forçais pour aller les aider, et j'eus le dernier mot. Je passa derrière la charette et vis, autour des éclats, ce que j'ai pensé être de la drogue. De leur côté, le couple n'avait pas attendu, et à peine je me retournais que je reçu une balle dans le torse. Ils possédaient un de ses gros vieux pistolet, pas très fiable mais bien puissant. Je m'écroulais donc, sans possibilité de bouger, mais le entendant toujours. Ils me trainèrent à l'exterieur des sentiers connu, surement au milieu des bois, et je finis par m'évanouir suite à une perte trop importante de sang.
Les oiseaux chantaient ce jour, quelle magnifique journée. J'était adossé contre un arbre et entendait du bruit plus loin dans la fôret. Je m'étais déja lever depuis un moment avant de me rapeller la veille. J'allais bien, et je n'avais aucune blessure. Qui aurait bien pu me soigner entre temps ? Je me dirigeait vers les bruits et je vis une foire. J'ai du mettre une heure avant de comprendre que j'étais à la foire de Général.
YOU ARE READING
La recherche du Créateur
HumorAprès avoir détruit BotWinder, il faut trouvé son créateur !