chapitre un 2.0

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*Aller voir le chapitre 1 si vous êtes perdu de pourquoi cette version est la 2.0*

-...erlin!

J'ouvris les yeux, éblouis par la lumière du soleil qui entrait vivement par la fenêtre de ma chambre. Comme à chaque matin, Arthur a besoin de moi. Je du donc quitter mon lit pour allez le voir. Je fis attention de ne pas faire de bruit pour ne pas réveiller Gaius et je partis dans la citadelle, en direction des appartements d'Arthur.

Je ne pris pas la peine de cogner avant d'entrer puisque de toute façon, il m'attend. C'est lui qui m'a appelé après tout! Mon ami se retourna brusquement en m'entendant, une main sur sa hanche, où son épée
est normalement. En effet, il ne l'a pas sur lui le matin, mais il a toujours son réflexe de défense.

-Merlin! Pas trop tôt! Me dit-il sans me saluer. Il relaxa legèrement son corps, sachant que je ne suis pas une menace.

-Bonjour Merlin! Oui j'ai bien dormis, merci de le demander. Dis-je sarcastiquement en marchant vers lui. Arthur roula les yeux.

-J'ai un entraînement matinal, alors dépêche toi de mettre mon armure avant que tu fasses guisse de cible pour les chevaliers.

À mon tour je roula les yeux. Je pris l'armure fraîchement polis et je la fis enfiler à Arthur, comme je l'ai dejà fait des centaines de fois. Pour finir le tout, je lui tendis son épée.

-Allons commencer cet entraînement! Dit-il en me donnant un coup de poing amical sur l'épaule.

Je ris légerement avant de le suivre dehors. Je vais maintenant rester debout à regarder des hommes en sueur se battre comme des animaux pendant une durée de temps inderterminé. Si seulement j'avais un sort pour avancer le temps!

Finalement, une éternité plus tard, l'entraînement se termina. Je suivis Arthur jusque dans ses appartements et je lui enleva son armure.

-Que faites-vous aujourd'hui Sir? Demandais-je.

Alors qu'il allait me répondre, quelqu'un cogna à la porte.

-Tu vois Merlin? Se n'est pas si difficile de cogner avant d'entrer! Me lanca-t-il en marchant vers la porte.

Juste avant d'ouvrir la porte, il se retourna vers moi en fusillant du regard. Il déteste que les gens rentrent dans son intimité sans prévenir, même si je le fais à tout les jours. Il se retourna de nouveau et ouvrit la porte.

-Sir Leon! Vous vous ennuyez dejà de moi? On viens de finir notre entraînement!

-Bien sur que je m'ennuie de vous! Dit-il en souriant. Mais ma vraie raison de ma visite est que le Roi souhaite vous voir.

-D'accord. Merci Leon.

Les deux hommes se saluèrent avant que Arthur referme la porte.

-Est-ce moi ou mon père veut toujours me voir? À chaque fois, il me reproche quelque chose avant de me donner une mission. Je ne veux pas lui manquer de respect, mais il ne me considère plus comme son fils. Me dit-il.

Puis, juste comme ça, Arthur remis son épée en place et il partit dans la citadelle avec moi sur les talons. Qu'est-ce que je pouvais répondre à ça? Je pense qu'il n'y avait pas de réponse en fait. Il avait juste besoin de parler.

Arriver devant la salle du trône, Arthur s'arrêta.

-Veux-tu cogner? Si tu veux, je peux de montrer comment faire puisque tu n'as pas l'air de savoir comment.

Il rit de sa propre blague avant de cogner par lui-même. Il n'attendit pas de réponse et il entra.

-Père. Dit-il en avançant vers Uther. Pour ma part, je me pencha avant de le suivre. Je m'arrêta cependant à mis chemin de la salle alors qu'Arthur continua.

-Arthur! Ton entraînement c'est bien passer? Demanda le roi.

-Oui. Les chevalier sont...

- J'ai entendu que tu y ai aller doucement. Le coupa-t-il. Penses-tu que les chevalier vont s'améliorer quand même leur futur Roi ne montre pas de motivation? Il faut les pousser à devenir plus fort!

-Mais.. Commença Arthur.

-Comment penses-tu qu'ils
vont de voir en tant que Roi? Tu ne peux pas diriger le royaume ainsi. Tu ne dois pas montrer de lâcheter.

-Père. Nous sommes le matin et plusieurs se sont couchés au petit matin. Même si l'ennemi peut attaquer n'importe quand, un entraînement plus doux un matin de temps à autre ne fait pas de mal.

Uther grogna en me dévisageant du regard, avant de retourner toute son attention vers son fils.

-Je ne t'ai pas appellé ici pour te parler de tes entraînements, mais s'il le faut, je vais me charger d'en donner quelques-un.

Je vis les épaules d'Arthur monter lentement et redescendre, signe de découragement. Uther veut toujours que tout soit fait à sa façon tendis que Arthur veut seulement le bien des autres.

-Revenons à pourquoi tu es ici. Hier soir, une patrouille est rentrée en signalant qu'une créature plus grosse qu'un cheval rodait dans la forêt. Il n'ont pas pu l'identifier du à la noirceur, mais le meneur de la patrouille a affirmé qu'elle n'avait rien de naturelle.

-De la magie? Demanda Arthur, sans haine dans sa voix. Pourtant, sa demande me fit frissoner

-J'en ai bien peur.

-Je pars dès la tombé du soleil avec une poigné de chevaliers. Dit Arthur.

-Non. Si tu es ici, c'est que je veux que tu y ailles seul. Tu sera plus rapide et moins visible. La veille religion est dangereuse et tu le sais. Dit-il d'un ton sévère.

Encore une fois, je frissona. Uther parle de la magie avec tellement de haine alors que je suis en face de lui.

Arthur aquissa en saluant son père. Puis, il tourna les talons et partit de la salle en marchant avec des pas rapides. Je me hâta à le suivre, préssé de m'éloigner du roi. Je sais qu'il ne connait pas mon secret, mais cela n'empêche pas l'inconfort que j'ai autour de lui.

Le trajet du retour vers les appartements d'Arthur se fit en silence.

-Apporte tout se que tu songes nécessaire. M'ordonna Arthur alors qu'il poussa la porte.

-Pour combien de jours? Demandais-je.

-Je l'ignore, mais si nous manquons de quelque chose, c'est de ta faute. M'avertis-t-il.

-Qui a dit que je venais? Lançais-je.

Arthur se retourna vers moi en rehaussant les sourcils.

-Moi.

-Mais pourtant, votre père a ordonné que vous y alliez seul. Je pensais donc rester seul avec Gaius à me reposer pendant que vous partiez combattre cette méchante et sûrement dangereuse créature...

Arthur sortit son épée et la pointa vers moi.

-Tu viens avec moi.

-Mais bien-sur! Qu'est-ce que je disais... Dis-je en m'éloigant de lui, puisqu'il n'avait pas l'air de plaisanter.

-Je veux que tout soit prêt avant que l'on parte. Soit en avance. M'ordonna-t-il en s'assisant devant à son bureau. Je hocha la tête et je commença à tout préparer. 

MerlinOù les histoires vivent. Découvrez maintenant