Chapitre 10: Mes frères...

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Je sens deux autres personnes, je me retourne et vois un homme très fin et squelettiques, il semble très âgé et penne à tenir debout mais il affiche néanmoins un sourire sombre. L'autre lui, est de taille moyenne, légèrement dégarni, il semble très malade et ne cesse d'éternuer.
_ Pestilence, Famine, quelle joie de vous revoir, déclarait-je. Que me vaux ce plaisir?
_ Petite soeur comme on se retrouve, dit Guerre à mon attention. Alors Ketza, ça fait longtemps. En tout cas, tu n'as pas changé toujours à te préoccuper des créatures les plus intéressantes et inutiles de la création. Tu es pitoyable...
J'encaisse le coup, malgré ce que je montre, ils me blessent. Lorsque je me tourne vers Raphaël pour avoir de l'aide, il disparaît, super la famille. Je cours à travers la forêt, je sais que mes frères sont plus puissant que  mais je suis plus stratège. Loki me suis, mais ne va pas assez vite alors je prends sa main et cours plus vite que je n'ai jamais courut quand soudain je me retrouve en plein New-York. Je me tourne et vois deux visages que j'aurais préféré ne pas revoir.
_ Tara, quelle joie de te revoir, dis-je. Toi aussi Stan, je suis heureuse de vous retrouver.
_ Notre maître te demande à ses côtés, m'annonce Tara. Je te demande de nous suivre Ketza.
_ Et bien remerciez votre maître, mais je n'ai besoin de personne, déclarait-je. Puis s'il me veux, qu'il vienne en personne au lieu de m'envoyer ses chiens. Je suis assez grande pour me débrouiller toute seule.
_ Je te demande du respect Immortelle, me hurle Stan. Même si nous n'avons aucun droit sur toi, nous sommes plus puissants que toi.
_ Je respecte les faucheuses, déclarait-je calmement. Il m'empêche que je n'avais pas besoins de votre aide parce que contrairement a ce que vous croyez je suis plus puissante que les faucheuses. Alors dégagez de mon chemins sinon vous le regretterez...
Les deux faucheuses ne bougent pas d'un cils alors je pousse un soufflement et leur brisé la nuque. En passant à coté de leur corps, je chuchote:
_ Sachez que je n'ai pas peur de vous mais que je vous respect. Néanmoins, retenez qu'il ne faut pas s'en prendre à moi.
Je me tourne vers Loki et lui fait signe de venir, il cache son visage d'une illusion et me suis. Dans la foule de New-York, je me dirige vers un endroit que je ne connais que trop bien, j'arrive devant une charmante petite demeure et pousse le petit portail. Des centaines des plantes et fleurs de toutes sortes poussent dans le jardin. Je risque trois fois à la porte quand elle s'ouvre, je fais signe à Loki de me suivre. Je m'avance vers le salon, je vois une vieille femme assise sur un fauteuil à bascule en buvant une tasse de thé quand soudain, j'entends un bruit métallique alors par réflexe, je sors mon épée d'ange et me retourne. Je vois une jeune femme avec de long cheveux blond et un costume noir avec les armoiries des mercenaires, je la reconnais, c'est Sameka.
_ Sameka, mon enfant, relâche nos invités, déclare la vieille femme. Alors Ketza, ma fille, que me faut le plaisir de ta visite. Il doit se passer quelque chose de grave pour que tu vienne me voir avec Loki d'Asgard.
_ Je suis désolé d'être venu à l'improviste mère, dis-je. Mais il se passe des choses très grave là dehors. Les cavaliers de l'Apocalypse me cherchent et...
_ Je sais mon enfant, je le sais, me coupe la femme. Je suis une déesse, je te rappelle.
J'incline la tête face à l'immortelle et regarde l'horloge, il est sept heures du soir, avec toute ce qu'il s'est passé, j'ai l'impression que cette journée en a durée trois. J'observe encore une fois la femme, c'est ironique de se dire que derrière ce visage aux trait tiré se tient Hécate, la déesse de la magie, l'une des femmes que je respect le plus de l'univers.
Un chariot emplie de nourriture arrive dans le salon, d'un geste de la main, Hécate nous invite à manger. Je m'installe à table en compagnie de Loki, la déesse et Sameka qui n'a pas décroché un mot. Le repas se déroule dans un silence de mort, lorsque je prends de la viande, Sam (Sameka) me lance un regard assassin, elle n'aime pas mon attraction pour la chasse.

Après un repas plus que pesant ou un silence de mort à régner sauf quand Sameka m'envoyait des piques sur le fait que Loki est sous ma responsabilité, je monte dans la chambre qu'Hécate m'a prêtée et m'assoie sur le lit. En parlant du loup, il toque à ma porte alors je lui fait signe d'entrer. Il s'assoit à côté de moi,  il ne dit rien jusqu'au moment ou il brise le silence.
_ Pourquoi tu ne m'as livrée à Raphaël, me demande Loki. Tu serais entrer dans ses bonnes grâces et il t'aurait peut être accepter, puis tu n'aurais plus eu à t'occuper de moi.
_ Sache, Loki Laufeyson, que s'il y a une chose que je déteste plus que les dieux psychopathes qui veulent détruire l'humanité, c'est les anges psychopathe qui se fichent de nous, qui veulent me tuer et qui me forcent la main, déclarait je. Puis, honnêtement, si je t'avais livré au Paradis, Odin m'aurait tuée et j'ai bien plus peur de ton père que de Raphaël ou n'importe quel ange.
_ C'est pas mon père, me répond Loki.
Je lui donne une tape amicale sur l'épaule. Je ne rentrerait pas dans ce débat avec lui, sinon je risque de le tuer ou de revenir sur mon décision de ne pas le donner aux anges. Je fixe la fenêtre, je m'apprête à dire quelque chose que je vais regretté toi je l'éternité.
_ Loki, je dois te dire quelque chose, déclarait-je.
_ Quoi, me répond le dieu.
Je me retourne vers lui, prend une grande inspiration et dit:
_ Loki, j...

Avengers malgré elleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant