Maison hantée

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Commencer à écrire votre histoire

- Si tu veux l'entendre, paie-moi un autre verre et pas cette pisse que l'barman ma servit, on a l'impression qu'il a chier dans, hein!!!

Tout le monde connaissaient le vieux Willy et tousse savaient plus ou moins se qu'il avait vécu; et c'est pour cette raison que tousse se méfiaient du vieille homme or mit se jeune journaliste qui voulait entendre l'histoire de vive voix.

- Nous sommes partis un beau matin sans même savoir que seul trois d'autre nous reviendraient. Il avait Jo, un vrai dragueur qui faisait tomber les fille, Dave, le fou de la bande comme on disait, Tony l'aventurier, moi. C'est Tony qui avait eu l'idée comme toute les idées connes qu'ils avaient pu avoir et nous comme des moutons on suivait. Il adorait s'aventurer dans des coins perdu, partir en exploration ou camper dans des lieux interdits. Et se matin là faisait partie de ses explorations quotidiennes. C'est vrai; on était quatre abrutis qui ne se souciaient pas sur quoi ils allaient tomber ou se qu'ils allaient leur arriver. Et nous voilà donc partis vers cette maison que Tony avait repéré dans les bois, nos sac sur le dos et nos lampes torche dans la main. Tony connaissait le chemin et c'était donc lui devant, très vite on se retrouva devant une grille toute rouillée. Ca devait faire plus 100 ans qu'elle était là. Elle était pleins de mousses, de lierres et de toiles d'araignée. De part et d'autre de la grille, deux grandes statuts de lion tel des colosses qui gardent l'entrée et de chaque coté un muret qui faisait le tour de la résidence. Tony nous fit signe que plus loin le muret était détruit et qu'on pouvait passer par là. Nous voilà peut de temps après dans la résidence. Les arbres étaient immense, pour la plus part centenaires. Et au bout d'un chemin qui zigzaguait entre les arbres il y avait une grande demeure sur deux étages. Du lierre recouvrait la façade, à certains endroit il manquait les volets. Les vitres pour la plupart étaient cassées, et des arbres poussaient dans la demeure. En gros la nature reprenait ses droits et sa faisait froid dans le dos. En parlant ça, ça me rappelle une phrase qu'un ami m'a dit un jour: "la nature reprend toujours ses droit" et bah putain fiston j'peux dire qu'c'est bien vrai, c'était le cas. Bref... Un grand escalier donnait assez à l'entrée de la demeure ou de chaque coté se tenait une sculpture de lion. A la droite de la demeure il y avait jadis une véranda mais il ne restait que l'armature métallique, le reste ayant été envahi par la forêt. Derrière la demeure s'étendait un immense jardin recouvert d'un lac et entouré de différentes espèces d'arbres. Nous étions ébloui par cette immensité et toute cette richesse. Surtout quand nous somme rentrait dans la demeure. La porte était en chêne et elle se tenait droit devant nous et je suis sur que encore aujourd'hui à l'heure que je vous parle elle tient toujours. A l'intérieur le silence régnait; il faisait sombre et froid...

Le vielle homme s'arrêta, songeur, bu un coup et reprit son histoire.

Dans l'entrée il y avait un escalier immense qui montait au étage. Les murs étaient recouvert de papier peint qui s'arrachait à certains endroit et un lustre pendait au plafond. A la gauche il y avait les cuisines ou du moins se qu'il y restait. Une partie du plafond c'était écroulé et des poutres et gravats recouvraient le sol. On ne s'attarda pas longtemps dans la cuisine et on préféra se diriger à droite de la demeure dans le salon ou se trouvait la véranda. Le salon était recouvert de tomettes et ornée de tableaux au mur. Au fond, il y avait une imposante cheminée en marbre, c'est là qu'on retrouvera le corps de Tony un peu plus tard. Au centre de la pièce se trouvait une grande table en pin entouré de chaise. On déambulait dans la pièce en regardant tout autour de nous; on avait l'impression que les tableaux nous dévisageaient. Vous voyez ses tableaux qui quand vous bougez vous suit des yeux, et bah là c'était pareil. A' l'étage il y avait 3 chambres puis encore au dessus le grenier. C'était un vieille échelle en bois qui y donnait assez. Le grenier était remplit de meubles et d'objets en tout genre. Le sol craqué, le vent sifflait entre les tuiles dont il en manquait une bonne partie, la charpentes était pourri mais on avait pas peur. On avait trouvé le paradis. On resta plusieurs heures dans le grenier à ouvrir tout les placards; on trouva des albums photos, des livres, des vêtements, de la vaisselles, des peluches et des jouets mes le plus intéressant et se qui à retenu notre attention c'était la figurine en bois qui était posé sur le coin d'une étagère. Elle représentait un soldat en tenue militaire avec sa baïonnette. La figurine était en parfaite état et impossible à daté, on aurait cru qu'elle venait d'être posée là, pas un pète de poussière, rien. Derrière il y avait une clef pour remonter le mécanisme. Tony là prit dans les main; et tourna la clef; d'un seul coup le soldat se mit à bouger dans sa main comme si elle faisait la marche militaire; vous voyez le "une, deux, une, deux" et à présenter la baïonnette. Au moment de tirer ou entendit comme un coup de feu en bas de la demeure. On sursauta et Tony fit tomber la figurine qui se brisa au sol. Je pense que c'est la que ça a commencé. On est tous descendu en bas pour voir par pur réflexe pour voir d'où provenait le bruit. Dans la précipitation et surtout parce que on pensait qu'a nous on à perdu Tony. Il était plus avec nous. On est retourné à l'étage pour voir si il était pas resté dans le grenier mais personne. Puis soudain une odeur de brulé nous est monté au narine comme si on brulait un cochon. On s'est précipité dans le salon ou se trouvait la cheminée et on l'a trouvé là, à plat ventre aussi mort que le feu dans lequel il gisait, poupée de cendre, joues et gorges fumées, vêtements en lambeaux. Il ne restait plus qu'un tat de cendre et quelques ossements. C'était le premier de nous cinq. Terrifié et ne sachant pas quoi faire nous restions planté la comme des cons à regarder le corps puis Jo parla le premier: "faut qu'on parte, depuis le début je le sentais pas cette excursion, c'était qu'une putain de connerie" Calmes toi lui dit Dave, on va passer la nuit ici et on repartira demain. De toute façon là nuit tombe et on risque de se perdre dans les bois si on part tout de suite. Jo finalement se calma et nous voilà partis pour passer la nuit dans cette demeure...

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